Vive les jours de lessive! [fr]

[en] Venting a bit because of the really lousy way laundry stuff is organised in my block. I was told yesterday evening that I had to share my laundry day (today!) with a neighbour. That leaves us enough time to get organised, doesn't it?

J’ai vécu dans deux immeubles, et à chaque fois le chapitre “lessive” a été une véritable galère. Dans mon immeuble actuel, les jours de lessive tombent de façon irrégulière environ toutes les deux semaines et demie (c’était toutes les trois semaines ou plus pendant très longtemps, mais je crois que mon ancienneté me vaut à présent un peu moins d’attente).

Donc, des fois la lessive c’est le lundi, des fois c’est le vendredi, des fois c’est le mercredi, des fois c’est le samedi… etc. Ça change tout le temps. Facile, donc, quand on est un peu tête-en-l’air comme moi, d’oublier que c’est son jour de lessive.

D’autant plus que le système fonctionne ainsi: si j’ai la lessive le mardi, on me donne la clé au plus tard le lundi à 19h (mais si j’ai de la chance, je la reçois peut-être à 16h!) et je peux déjà commencer la lessive le soir même. Mais pas de lessive après 20h, quand même, c’est le réglement! Le lendemain matin, possibilité de faire la lessive dès 7h, mais attention, à 19h au plus tard la clé doit être dans la boîte au lettres de la concierge pour le client suivant!

Vous l’aurez compris, si vous bossez et que vous rentrez chez vous vers 18h, vous l’avez dans l’os. Heureusement, ça n’a pas été mon cas longtemps (juste quand je bossais chez Orange à Bienne). Ensuite, bien sûr, il y a toutes les fois où la lessive tombe justement sur le jour chargé, celui où on ne peut pas rentrer, le jour du départ en vacances (ou justement pendant les 3 jours où on est loin)… Bref, c’est pas marrant.

Aujourd’hui, c’est mon jour de lessive. Dans le cadre de mes efforts d’organisation, j’ai noté à l’avance les jours afin de ne plus les oublier bêtement. Donc, je savais que ce vendredi était mon jour de lessive, et ça tombait rien, pas d’obligations horaire avant le judo à 18h (pour autant que mes mains ne me fassent pas trop mal pour y aller).

Hier soir, alors que je partais pour la soirée, je tombe par hasard sur ma concierge, qui me rappelle gentiment que demain est mon jour de lessive (comme j’avais oublié la dernière fois). Je la rassure que cette fois, oui, j’avais noté. Et elle ajoute: “Alors vous vous arrangerez avec Mme F., parce que vous partagez avec elle, l’autre machine n’est toujours pas réparée!”

Pardon?!

Nous avons maintenant droit à un demi-jour de lessive, et on me dit le soir d’avant (qui n’est pas vraiment le soir d’avant, si vous regardez plus haut comment ça fonctionne, c’est en fait le début de mon “tour”) qu’il faut que je m’organise avec l’autre locataire pour le partage de la machine? Et si au lieu d’avoir la journée de libre, je n’avais que 3h en rentrant du travail pour faire toutes mes lessives, et elle aussi?

Machine à laver en panne Mais non, j’étais censée savoir, parce qu’il y a encore un mot sur la deuxième buanderie disant que la machine est en panne. C’est vrai que je passe chaque semaine voir où ça en est ces réparations. Et j’aurais dû en déduire que je devrais partager le jour de lessive de quelqu’un, c’est logique. Pas comme ma dernière lessive “partagée” où la concierge est venue me dire si j’arrivais à me débrouiller avec seulement le matin pour cause de machine en panne. Non, ça change de système et on ne me prévient pas!

Inutile de vous préciser (vous l’aurez compris) que j’aurais volontiers arraché la tête à ma pauvre concierge. Je me suis énervée, j’ai râlé (pas très utile, je sais, mais après presque une vie entière à réprimer l’expression de sa colère, on fait comme on peut), et (plus constructif) je lui ai demandé de me donner ce genre d’informations un peu plus à l’avance, tentant d’expliquer que c’était un peu à la der’. Impossible de faire passer le message. Ça tourne en rond. J’étais prévenue, parce qu’il y avait le mot sur la porte de la buanderie.

Bref, en partant de chez moi, j’ai profité du relatif isolement que m’offrait ma voiture sur la Rte de Cery pour insulter copieusement le monde entier (y compris la responsable du “système de lessive” que je subis depuis six ans). Ah! Ça fait du bien!

Ce matin, à 9h, on sonne à la porte. J’émerge du demi-sommeil aux rêves bien vifs dans lesquels je préparais le code HTML pour l’intégration de vidéos dans mes billets (sans rire). C’est vrai, je ne suis pas très matinale. Je vous le donne en mille: qui est à ma porte?

Non, pas le voisin aux croissants, pour ceux qui connaissent l’histoire. Ma concierge.

“Alors, euh, il faut que vous fassiez la lessive ce matin, parce que Mme F. a congé cet après-midi.”

Je grommelle quelque chose, lui dis au revoir, et vais voir ma tête à la salle de bains. Bleurk, vraiment pas réveillée. Mais quand y faut, y faut.

Je viens de passer ma matinée à faire lessive sur lessive, et je dois encore sortir la dernière. J’adore. Grmph.

Commentaires sur 20minutes.ch? [en]

Quand mes mains tombent dessus, je feuillette 20minutes, comme c’était le cas ce matin. Je le préfère à son frère assez jumeau Le Matin Bleu, assez bêtement parce que les gaillards qui l’avaient présenté au Cercle de la Presse m’ont fait bonne impression, et que Le Matin Bleu perd des points à cause des manchettes racoleuses de son grand frère orange. (N’essayez pas de faire l’arbre généalogique, ça va se casser la figure.)

Donc, bref, un peu surprise en allant sur le site de 20minutes (qui lui, au moins, existe), parce qu’il me semblait qu’au départ, on pouvait commenter chacun des articles. Quelqu’un se souvient? Ma mémoire me joue des tours? Si je me souviens juste, quelqu’un sait pourquoi ils ont arrêté, et quand?

En tous cas, commentaire sur l’article Charles Poncet a incité les jeunes au vandalisme. Faute de frappe (d’orthographe?) vers la fin du premier paragraphe: [les propos] tenus part Charles Poncet. J’ai aussi aimé, à la page suivante, dans 20 secondes, la bagarre provoquée par un pneu.

Faites gaffe dans les parkings, les pneus cherchent la bagarre!

Mon premier Stamm Genilem [fr]

[en] An evening spent networking on the local business/startup scene. Really interesting.

Suite à un interview, je me trouve invitée au Stamm Genilem sur le site de l’usine des Clées de la Romande Energie. Thème: le développement durable. Cerise sur le gâteau: visite de l’usine. Blonde: tongs et pas de petite laine (on était dehors).

Stamm Genilem Romande Energie (31.08.06) C’était très intéressant: quelques présentations sur le thème du développement durable, entre autres par Julien Perrot, fondateur et rédacteur en chef de La Salamandre, journal entièrement bio 🙂

Ensuite, les personnes présentes (Poulains d’abord!) avaient 15 secondes pour dire en quelques mots qui elles étaient, ce qu’elles faisaient, et ce qu’elles cherchaient. Ça facilite grandement le networking après, autour des pains surprise. Quelques prises de contact intéressantes (entre autres un projet de podcasting en milieu scolaire, DéDOC, des p’tits bonheurs…), une série de photos, et l’envie de revenir.

J'monte à Jval! Et vous? [fr]

[en] A soon-to-be-ex-collegue of mine (because I'm leaving) is organising a small music festival near Begnins, between Geneva and Lausanne. He was podcast-interviewed by James the Podcaster, and I asked him a few questions by e-mail. Jval Festival will take place on 18-20th August.

Les 18-19-20 août, dans le domaine Serreaux-Dessus (hauts de Begnins, au-dessus de Gland, entre Morges et Nyon, entre Genève et Lausanne — vous situez?) aura lieu Jval Festival, organisé par mon futur-ex-collègue (c’est moi qui pars!) et ami Pierre Nicolas et son frère Laurent.

Vue depuis le domaine de Serreaux-Dessus Comment? Encore un festival? Moi qui n’ai pas encore mis en ligne mes photos de la Cité et de Paléo! Il faut dire que la formule est un peu différente: cadre magnifique, bon vin au bar, groupes locaux, ambiance intime (200 personnes).

Lorsque Pierre m’a dit il y a quelques jours qu’il était occupé à faire la promo de Jval Festival, j’en ai tout de suite touché un mot à Thierry, et voici le résultat: interview (vidéo) de Pierre Nicolas pour Culture Pod. Pierre nous y raconte comment l’idée du festival est née, ce que ça représente et implique d’organiser une telle manifestation, et quels groupes seront présents.

Quand Pierre m’a parlé de ce festival, il y a de longs mois de cela, je sais que ce qui m’intriguait était ce passage entre “fête avec des amis” à “festival public”. Thierry a fort bien invité Pierre à s’étendre un peu sur le sujet, et de mon côté, je lui ai posé quelques questions par e-mail, que je reproduis ci-dessous.

Peux-tu me raconter un peu comment a pris forme, l’année dernière, la première édition de Jval Festival? Quels groupes sont venus jouer, et comment les avez-vous trouvés?

Avec mon frere aîné, on pensait simplement faire un bar quelques soirs pour profiter avec des potes (ou autres) du cadre assez sympa! Finalement, comme mon frère et plusieurs de nos amis sont musiciens, on a decidé de faire venir quelques groupes, et le projet a ainsi petit à petit pris la forme d’un petit festival. Donc dans les 4 groupes qui sont venus jouer, il y avait Superstrings (groupe de mon frère), Just for Funk (groupe d’un de mes potes), For the Passion et Fargo (2 groupes dont s’occupe l’ingenieur du son du groupe de mon frère).

Combien de spectateurs l’an dernier, et combien attendus cette année? Est-ce qu’on pourra acheter les billets sur place, ou bien ça risque d’être complet?

L’année passée on a eu relativement peu de monde parce qu’on a fait la pub quelque chose comme 10 jours avant! En plus, il a plu toute la journee du premier soir et il a plu le deuxième… Au final on a eu 170 personnes le premier soir et environ 80 le deuxieme. Il sera certainement possible d’acheter des billets sur place, mais vu la taille très limitée du festival, autant les acheter avant! Cette année on attend environ 250 personnes par soir.

Comment avez-vous choisi les artistes pour cette édition? Est-ce que la plupart sont des artistes avec des agents, ou bien tu t’es (vous?) retrouvé à tracter directement avec les artistes en question? Comment on s’y prend, par exemple, pour que Lole vienne chanter dans son festival?

Pour tous les groupes c’est la même chose: on se rend sur le site du groupe, on charge la page contact et on ecrit un mail pour connaître les disponibilités et les tarifs du groupe. Pour certains groupes, ce mail parvient directement à l’agent et c’est lui qui s’occupe de nous repondre. Les groupes étrangers ont généralement un tourneur en Suisse (Opus One, boîte appartenant à Paléo, par exemple) qui s’occupe de prendre contact avec l’agent des differents groupes dont ils s’occupent. Cette annee, à part pour Lole, on a negocié directement avec les groupes. Pour Lole, on a simplement pris contact avec son agent, qui est l’organisateur de Festi’neuch (la demoiselle vient de la-bas).

Est-ce qu’il y a des choses à préciser concernant le domaine de Serreaux-Dessus, mis à part la vue?

Alors oui, on mise bien évidemment sur le cadre (domaine viticole éloigné de la circulation, etc.), la vue (de Villeneuve jusqu’a Genève), et sur ce que certains pourraient prendre comme un désavantage: la taille. C’est un tout petit festival, donc on aura droit à des concerts presque privés! Il faut dire aussi que les festivaliers auront la possibilité, pour une fois, de boire du bon vin pendant le festival, ce qui change de Paléo, quand même!

Merci, Pierre! En ce qui me concerne, mon début de week-end est malheureusement pris de longue date, mais je monterai à Jval le dimanche 20. Je ne veux pas rater ça!

Comment faire connaître un cours sur les blogs en Suisse Romande? [en]

Voilà une question qui nous taraude depuis quelque temps, Anne Dominique Mayor et moi-même, ainsi que le responsable de Romandie Formation.

Nous avons un joli cours sur les blogs, destiné aux patrons (ou responsables communication) de PME, qui aura lieu dès septembre (le 6 et le 13, pour être précise). Mais comment le remplir? Comment le faire connaître? Nous avons organisé une séance d’information en juin, mais même là, difficile de remplir la salle.

Pour le moment, quand on dit “blog” aux gens, leur réaction est souvent de l’ordre “beurk, non, j’ai pas besoin d’un journal intime en ligne, ça va pas la tête!” Quand on a une chance d’expliquer, là, tout d’un coup, ils sont beaucoup plus intéressés.

Laissez-moi le répéter encore haut et fort: le blog est une technologie, une (des!) culture(s), une machine à ouvrir le dialogue. Ce n’est pas un journal intime. Il peut être utilisé pour faire un journal intime en ligne, mais ce n’est qu’une des nombreuses utilisations possibles de cet outil.

Il peut être utilisé pour faire une “page de news” dopée afin de faire passer des infos aux clients. Il peut être utilisé à l’interne, pour mieux communiquer, collaborer, et stocker l’information utile pour l’équipe. Il peut être utilisé “dans l’autre sens”, c’est-à-dire qu’on peut écouter ce qui est dit de notre produit ou service, comme Robert encourage Nestlé à le faire, et comme je le fais pour le service coComment.

Le blog est peu cher, prend certes du temps, mais nous offre une prise directe sur ce que l’on montre sur la toile, et un vrai canal de communication avec “l’extérieur”. Les personnes que j’assiste dans la mise en place de leur blog sont en général bluffées par la simplicité de la publication. C’est vraiment facile, pas juste “facile-pour-informaticiens”. On veut changer une virgule, rajouter une phrase? Pas de problème. Inutile de déranger le webmaster pour cela.

Je sais qu’un tel cours (et d’autres, on est déjà en train de comploter) a sa place, mais je me demande si on n’est pas un peu tôt… Et vous, qu’en pensez-vous? Un cours comme celui-ci vous paraît-il adapté? Et éternelle question, comment aider ceux qu’il pourrait intéresser à nous trouver?

Je suis bien consciente que ce billet (que j’ai envie d’écrire depuis plusieurs semaines), publié alors que 24heures parle de blogs et de “yours truly”, et que les employeurs de la Petite Anglaise viennent de se ridiculiser en la virant à cause de son blog… bien inoffensif, c’est déjà un premier bout de réponse à la deuxième question…

PS: si jamais, messieurs-dames journalistes et autres, c’est Stephanie sans accent. J’ai des origines britanniques et comme c’est à peu près le seul endroit où ça se voit, j’y tiens 😉

Lisez Ollie! [fr]

[en] You should read Ollie's blog if you're interested in corporate blogging. Some pointers to recent articles of his that I particularly liked.

Une petite page de pub pour un camarade blogueur dont je trouve les billets de plus en plus pertinents: lisez le blog à Ollie! En particulier, si les rapports entre blogs et business vous interpellent, il est à mon avis incontournable. Quelques billets récents qui m’ont favorablement impressionnée:

Bonne lecture, et merci encore à Ollie pour son blog!

Trois nouveaux blogs romands [fr]

[en] Announcing the works of some of my blog-pupils. Amongst them, my sister!

Il y a quatre mois presque jour pour jour, je vous encourageais à rendre visite à un de mes “élèves-blogueurs”. Chronique de l’Abrincate prenant en ce moment des vacances bien méritées, il est temps que je vous présente deux nouvelles dans la blogosphère.

Tout d’abord (restons chronologiques), Catherine Martinson, qui alimente son blog depuis un peu moins de quatre mois. Elle y aborde des sujets touchant à l’environnement, ouvrant parfois la fenêtre sur des instants volés ou une journée ordinaire au WWF.

Deuxième blogueuse, double, car deux blogs, et pas n’importe qui: ma soeur Isabelle. Sur son blog, elle parle de numérologie (une de ses nombreuses passions!) et aussi de la vie tout court. Elle a tellement “mordu” qu’elle a ouvert un deuxième blog, pour le centre de loisirs dont elle est responsable depuis bientôt quinze ans: visitez le blog du CRAB! En alimentant ce dernier blog, elle a découvert à quel point c’était facile d’ajouter des photos en utilisant son compte Flickr. Franchement, pour quelqu’un qui n’avait pas particulièrement d’atomes crochus avec les ordinateurs… chapeau, Isa!

Donc, un grand bravo à ces trois “élèves-blogueurs”. Vous pouvez être fiers de vous!

Superlocal.ch [fr]

[en] Superlocal is a somewhat intriguing local news site. The Vevey and Lausanne parts of it seem to be clearly separated, the latter clearly managed by 24heures, and the former seemingly more "citizen journalism" oriented.

Je connaissais superlocal.ch/vevey pour m’y être retrouvée people-isée une petite moindre (pardon my French!).

Je découvre aujourd’hui superlocal.ch/lausanne, qui reprend un extrait de l’excellent billet de Virginie sur la fermeture du Ciné Qua Non.

Un peu de perplexité, tout de même: la version “Lausanne” affiche clairement les couleurs de 24heures, alors que la version “Vevey” ne semble pas dépendre d’une publication quelconque, et fait la part belle au journalisme très citoyen (coucou Sebi, en passant). Et pourquoi est-ce que depuis Vevey, on ne peut pas aller directement à Lausanne — et vice-versa? Quand je tape “superlocal.ch” dans mon navigateur, j’arrive directement sur Lausanne, alors qu’il y a moins de deux mois, j’arrivais à Vevey. Qu’est-ce que c’est donc, dites-moi, que cette jolie entreprise quelque peu bifide? Et si on voulait faire un blog “Lausanne” à la sauce “Vevey”?

Addendum: en plus du Léman, du blog de Salem et du salon un peu vide, facilement trouvables depuis Lausanne-en-ville, je découvre encore le photoblog et le blogosphérique (merci Technorati). Faudra d’ailleurs m’expliquer pourquoi il porte ce nom, le dernier, là. Y’en a d’autres qui se cachent encore entre les dossiers?

Journée au Forum des 100 de l'Hebdo [fr]

[en] I'm spending my day at the Forum des 100 (a selection of 100 local personalities by l'Hebdo, a regional weekly magazine). My computer is still being repaired, and to top it all I've (temporarily) lost my internet connection at home.

J’ai piqué à  Anne Dominique (assise à  côté de moi) le joli Powerbook qu’elle a amené au Forum des 100. Comment?

  1. Mon ordinateur est toujours en réparation, et je n’ai depuis quelques jours même plus de connexion à  la maison (dans quelques semaines/mois, cependant, je devrais être l’heureuse propriétaire d’un nouveau Macbook.

  2. Il y a quelques semaines, j’ai reçu une lettre m’annonçant que je faisais partie des fameux “100” de l’Hebdo et que j’étais donc invitée à  passer mon jeudi 18 mai (aujourd’hui!) dans l’Amphimax de l’UNIL.

Quelques premières impressions:

  • que de mecs en costard! (bienvenue en Suisse Romande, me dit ma voisine.)
  • les verres dans lesquels on sert le jus d’orange sont vraiment petits, probablement pour nous forcer à  faire des allers-retours…
  • un webcast de la conférence (le lien est en haut à  droite) est disponible, vous pouvez donc la suivre depuis votre ordinateur
  • le modérateur (et néanmoins blogueur!) Bruno Giussani a annoncé lors des informations pratiques le tag à  utiliser pour les personnes couvrant la conférence sur leurs blogs: forumdes100
  • pas d’accent sur mon prénom, ni sur le badge, ni sur la liste des participants (malgré les nombreuses autres coquilles que j’ai pu voir!) — et ils ont même épelé “blogueuse” correctement (contrairement à  la lettre d’invitation qui m’a propulsée “blogeuse”…)

Ah oui! Bruno a aussi attiré notre attention (je suis assise à  côté de l’équipe de lift06) sur le fait qu’il y avait des fontaines à  eau dans la salle et des points d’alimentation pour laptops dans la salle. (Il se souvient des mes premières impressions de lift06…)

Voilà ! Je vais rendre l’ordinateur à  sa propriétaire. Passez une bonne journée!

PS: ah oui, pas de photos, je suis encore en train d’essayer de récuperer les dernières photos effacées de ma carte mémoire, qui ont péri avec le disque dur de mon iBook…

Franchement, PostFinance! [fr]

[en] I tried to open a Post Office account online. Filled in a bunch of forms. Now, a few days later, I finally receive a letter telling me I need to go to the office itself and fill in the forms. Great. The website could have told me that. Had I known, my account would have been open by now.

Inspirée par l’exemple d’Anne Dominique, j’ai décidé d’ouvrir un Compte Jaune.

C’était samedi. D’abord, j’ai pensé que j’allais faire simple, et faire un saut à  la poste du quartier. Mais, doute. Quelles étaient les heures d’ouverture? Après avoir perdu près de quinze minutes sur le site à  chercher l’information (je sais qu’elle y est, je me souviens l’avoir trouvée il y a quelques mois), j’ai renoncé et appelé le numéro de service. Ouverture de 9h-11h, j’étais un peu tard.

“Tant pis!” me dis-je, je vais faire ça en ligne. J’ai donc rempli des tas de formulaires pour demander l’ouverture d’un compte.

Aujourd’hui, mercredi, je reçois un courrier de la poste. Génial, c’est sans doute le contrat à  signer et renvoyer! Que non. Un tas de documentation, et une très gentille lettre qui me remercie de mon intérêt et qui m’annonce qu’il n’y a rien de plus simple que d’ouvrir un Compte Jaune. Il suffit de compléter les documents d’ouverture (lesquels? je refais trois fois le tour du contenu du courrier, rien en vue) et de les remettre à  un guichet de poste en présentant une carte d’identité.

Ben franchement, pour qu’on me dise ça, il n’y avait pas besoin de me faire remplir trois formulaires. J’aurais préféré que le site me dise tout de go qu’il fallait que j’aille au guichet. Ce serait fait, maintenant, si j’avais su. Grmph.