J’adorais mon vélo électrique Moustache (Samedi 28 Nuvinci) [fr]

[en] My bicycle was stolen Friday. I really loved it, and I'm finding myself really sad about this loss -- in addition to angry at those who stole.

Vendredi soir, arrivant à la gare après une longue journée de travail, je me paie un épisode “4e dimension”: mon vélo n’est plus là.

Envolé, volé, parti, adieu mon beau vélo.

Alors je dépose plainte, je trouve une solution de repli temporaire (un grand merci, Yan), je mets en route les démarches pour l’assurance, et je tente de faire le deuil de ce vélo que j’adorais.

Vous savez, souvent, quand on acquiert quelque chose, on est tout content de l’avoir et de l’utiliser. L’excitation de la nouvelle acquisition. Et puis ça passe, on s’habitue, et on oublie de s’émerveiller.

Rien de tel avec mon vélo. J’avais toujours un plaisir fou à chaque utilisation. Et pas juste parce qu’il était beau. Il était vraiment merveilleux à l’usage.

C’était un Moustache Samedi 28 Nuvinci. Je n’avais jamais entendu parler de la marque Moustache avant de l’acheter. Pour dire vrai, je ne m’étais jamais vraiment intéressée à l’idée d’acheter un vélo électrique. Mais maintenant je suis fan. Du vélo électrique comme moyen de transport, et de cette marque.

Ce sont des vélos chers. Très honnêtement, le prix était une des choses qui me retenait à m’intéresser aux vélos électriques. Je trouvais que sortir 1500 balles pour un vélo, c’était excessif. Alors quand vous regardez le prix des Moustache…

C’est mon père, en cherchant un pour lui, qui a déniché un revendeur qui déstockait. Et qui m’a “un peu” poussé à en acheter un. C’était une très bonne affaire, alors je l’ai fait, mais sans grand enthousiasme.

Tout ça a changé quand j’ai commencé à l’utiliser. Mon vélo est devenu mon vélo chéri. J’étais la première surprise. Et maintenant, il est soit en pièces quelque part, soit en train d’être revendu dans un autre pays à un client plus ou moins soupçonneux. L’aimera-t-il autant que moi?

Maintenant que j’ai un point de comparaison, voici ce que j’appréciais particulièrement avec mon Samedi 28:

  • le cadre avait la bonne taille pour moi, j’étais vraiment confortable dessus pour pédaler (et l’angle des poignées de guidon)
  • la puissance du moteur et la façon dont il complétait sans accroc celle de mes mollets, super fluide
  • la selle, extrêmement confortable
  • côté sécurité, les freins à disque, les roues réfléchissantes, et les phares costauds
  • la suspension à l’avant et dans la tige de la selle
  • la sensation au pédalier et d’adhérence à la route, même en pédalant sans l’assistance électrique
  • et surtout, surtout, le moyeu Nuvinci pour le changement continu de vitesses.

Alors bien sûr, je suis en train de regarder les modèles actuels, en espérant que l’assurance me rembourse effectivement de quoi remplacer mon vélo par un équivalent. Mais les lignes et les modèles changent, et le modèle précis que j’avais n’existe plus.

Adieu, mon beau vélo Moustache.

Canicule: mes trucs pour rester au frais chez soi ou dans son espace coworking [fr]

[en] Archive of my weekly French-language "technology advice column".

Ma newsletter hebdomadaire “Demande à Steph” est archivée ici pour la postérité. Chaque semaine, un tuyau ou une explication touchant à la technologie numérique, ou une réponse à vos questions! Inscrivez-vous pour recevoir directement la prochaine édition. Voici l’archive originale. Et la page Facebook!

Une fois n’est pas coutume, un truc de geeks qui n’a rien à avoir avec le web, les smartphones, ou les ordis pour “Demande à Steph“. Et puis on n’est pas samedi, mais je vous ai bien négligés ces dernières semaines, alors je tente de me rattraper.

Voici comment garder votre appart/maison/bureau/studio au frais durant la canicule (et simplement, quand il fait chaud):

  • fermer complètement toutes les fenêtres dès que l’air extérieur est plus chaud que l’air intérieur (tendre le bras par la fenêtre pour voir, et ne pas se laisser avoir par les “airs” qui peuvent donner une sensation de fraîcheur trompeuse)
  • ouvrir complètement toutes les fenêtres dès que l’air extérieur est plus frais que l’air intérieur (idem)
  • baisser les stores ou fermer les volets (en gardant les fenêtres fermées!) dès que le soleil menace de briller à l’intérieur

Ça paraît contre-intuitif, non, de fermer les fenêtres quand il fait chaud? On veut pas des courants d’air, justement? Alors le problème avec les courants d’air, c’est qu’ils nous donnent une sensation de fraîcheur (en soi c’est bien) mais si l’air avec lequel on fait les courants est plus chaud (c’est souvent le cas), on est en fait en train d’amener plein d’air chaud à l’intérieur et de réchauffer la pièce… Pas top.

Solution? Le ventilateur… ça permet de faire de l’air sans laisser entrer l’air chaud du dehors par les fenêtres.

Un extra? Si vous n’avez pas la clim, tester la “clim du pauvre”, qui utilise le fait que l’évaporation de l’eau est une réaction physique qui consomme de la chaleur, et donc refroidit son environnement (c’est pour ça que transpirer nous rafraîchit ou qu’on a froid quand on est mouillé).

On met un linge mouillé sur le ventilateur: le vent de celui-ci accélère l’évaporation et donc la production de frais. On peut aussi simplement suspendre des tissus mouillés un peu partout, ou mettre des bassines d’eau (mais attention aux moustiques).

Je fais ça depuis des années à l’eclau (si vous êtes à Lausanne et que votre lieu de travail est trop chaud, l’eclau vous ouvre d’ailleurs ses portes cette fin de semaine) et dans mon appart, et ça marche vraiment bien! Ne partez donc surtout pas travailler en laissant vos fenêtres ouvertes et vos stores ouverts. Et n’oubliez pas de boire!

Ateliers pour musiciens: quelques vidéos (séance d’info et interview) [fr]

[en] Virginie very kindly filmed the info session of our workshops for musicians, and interviewed Elisabeth and I on the project. Here are the first excerpts for your (francophone) enjoyment.

Mardi, ce sera la coup d’envoi pour les ateliers de développement de carrière qu’on organise avec Elisabeth. Mini-bilan préalable: les ateliers sont super bien reçus, ils se remplissent (c’est la dernière seconde pour saisir une des quelques places restantes pour le premier atelier, si jamais), la préparation se passe bien, on commence à réfléchir à la suite, bref, on est contentes.

La séance d’info a été l’occasion d’un chouette premier contact avec les participants et d’autres personnes intéressées. Mention spéciale à Virginie qui a très aimablement accepté de filmer la séance d’info, et qui a même fait une petite interview d’Elisabeth et moi. Les premières séquences sont en ligne sur son blog. Du côté des publications autour de cet atelier, Michelle écrit un article où elle montre clairement à quel point la visibilité/disponibilité en ligne d’un artiste est cruciale: ça fera la différence entre assister ou non à un concert.

J’ai aussi découvert avec intérêt le blog Créatif Productif de Renaud Delay et Yvan Richardet, deux compères musiciens férus d’organisation et de productivité, et qui abordent ces thématiques au fil de leurs articles — à l’attention d’autres artistes. C’est très bien et je trouve que ça vient joliment complémentariser (“compléter” ça le faisait pas, là, sorry) les sujets plus “stratégie business et communication” que recouvrent nos ateliers.

Je vous laisse donc consulter les quatre vidéos déjà à disposition. En premier, l’introduction aux ateliers et la présentation de la première séance (“Les mythes du music business”), celle de mardi (aussi sur Facebook):

Ensuite, sans grande surprise, les ateliers 2 et 3 (“Les nouvelles pistes” et “Clarifier son objectif de carrière”):

Puis les ateliers 4 et 5:

Dans cet extrait de l’interview qu’on a donné à Virginie la semaine après la séance d’info, on raconte la genèse du projet et on rentre un peu plus dans les détails du concept de ces ateliers (vidéo sur Facebook):

Finalement, on s’essaye un peu à la concision, avec plus ou moins de bonheur, du moins pour l’une d’entre vous (je vous laisse deviner mais je crois qu’il n’y aura pas de grande surprise, vous connaissez ma tendance à m’étendre!)

Vous pouvez aussi trouver cette dernière vidéo sur Facebook (c’est plus commode pour partager à l’intérieur de Facebook).

Pour le moment, on n’a pas de site dédié pour ces ateliers, donc le meilleur endroit pour rester en contact et nous suivre c’est la page Facebook des ateliers qu’on a mise en place il y a peu.

Formation médias sociaux et communautés au SAWI: toujours en évolution [fr]

[en] Some information on the evolution of the course on social media and online communities that I direct: it will be starting in February 2014 and ending in October. Next info session in Lausanne: 12th November (the course is in French).

Une formation sur les médias sociaux se doit d’évoluer. On est dans un domaine extrêmement neuf, où le marché mûrit à grand pas et la technologie bouge sans cesse.

SAWI Logo.C’est le cas avec la formation SAWI de Spécialiste en médias sociaux et communautés en ligne que je co-dirige, et qui aura lieu pour la quatrième fois de février à octobre prochain. Vous imaginez bien: le monde a eu quatre ans de plus pour se faire à Facebook et Twitter!

Ce printemps, Yan Luong et moi avons fait un extrêmement important travail de mise à jour du programme de la formation, le retravaillant à partir des objectifs fondamentaux et thèmes principaux à aborder. Le résultat est là: de nouveaux intervenants, de nouveaux sujets, plus de cohérence dans la progression des matières, un meilleur équilibre entre théorie, pratique, et travail sur les projets d’étude. Je suis vraiment très contente de cette version 2014 du programme.

La prochaine séance d’information aura lieu le 12 novembre 18h30 au SAWI. J’aime toujours beaucoup ces soirées où j’ai l’occasion de rencontrer ceux qui envisageant de suivre la formation SMSCL et de répondre à leurs questions. La dernière ayant eu lieu il y a quelques jours, c’est encore assez frais dans ma tête, et voici 2-3 choses importantes à mon avis:

  • Cette formation conçoit les médias sociaux comme le chocolat du gâteau au chocolat: quelque chose à comprendre en profondeur pour l’intégrer à sa pratique professionnelle, son métier, son projet, son entreprise. Ce n’est donc pas juste du “glaçage 2.0” qu’on rajoute quelque part sans toucher au reste.
  • Elle s’adresse à un public large (beaucoup de journalistes cette année, en passant): comme elle est “pur médias sociaux et communautés en ligne” (à la différence de “marketing digital”) elle est donc particulièrement indiquée non seulement pour les personnes ayant un background markom, mais aussi pour des profils plus atypiques, notamment provenant des milieux “non-profit”: culturel, social, politique, médias… Et bien sûr entrepreneurs, PME et indépendants, qui portent souvent de multiples casquettes.
  • Son étalement dans le temps (février à octobre), le travail personnel demandé entre les modules, et en particulier le projet d’étude à mener en parallèle aux cours assurent une assimilation durable de la matière du cours, centrée sur la pratique.
  • De plus en plus d’employeurs cherchent à engager des personnes ayant des compétences solides concernant le monde en ligne et les médias sociaux. Cette formation large qui vise à vous donner une spécialisation “2.0” (si on ose encore ressortir ce terme), quel que soit votre métier, est un investissement précieux pour le futur de votre carrière.

Voici les dates des modules:

  • Module 1: du 12 au 15 février 2014
  • Module 2: du 26 au 29 mars 2014
  • Module 3: du 08 au 10 mai 2014
  • Module 4: du 25 au 28 juin 2014
  • Module 5: du 03 au 06 septembre 2014

Si vous voulez en savoir plus sur la formation de Spécialiste en médias sociaux et communautés en ligne du SAWI, n’hésitez pas à vous inscrire à la séance d’information du 12 novembre ou à m’appeler (078 625 44 74) pour en parler directement. Le délai d’inscription est fixé au 30 novembre.

Se former en médias sociaux à Lausanne (SAWI) [fr]

[en] Info-session next Thursday for the course I co-direct in Lausanne on social media and online communities. Tell people around you!

Le 4 juillet (jeudi prochain) aura lieu la prochaine séance d’info pour la formation que je co-dirige avec Yan Luong au SAWI: Spécialiste en médias sociaux et communautés en ligne. C’est à 18h30 à la Maison de la communication.

C’est la quatrième année qu’aura lieu cette formation. Le temps file! Chaque été, on reprend le programme et on met à jour — parce que dans notre business, ça évolue tout le temps. Je peux déjà vous dire que je suis extrêmement contente de la mouture 2013-2014, et qu’on a une jolie brochette d’intervenants (venant parfois de loin) au programme.

Si vous avez dans votre entourage des personnes qui s’intéressent aux médias sociaux, ou qui devraient se spécialiser dans ce domaine, invitez-les à participer à la séance d’info du 4 juillet. La formation commence en septembre, finit en mai, comporte 5 modules-blocs de 4 jours (à la suite), et un projet d’étude à mener en parallèle.

Yan et moi présenterons à la séance d’info la formation, sa structure, comment ça fonctionne, on parlera du contenu, et on répondra à toutes vos questions. (Et je peux déjà vous répondre ici, si jamais!)

Lors de l’ouverture de la formation j’avais écrit un argumentaire qui est toujours d’actualité. Lisez-le si vous avez besoin de convaincre quelqu’un que cette formation est pour vous.

3e #back2blog challenge (4/10), avec: Brigitte Djajasasmita (@bibiweb), Baudouin Van Humbeeck (@somebaudy), Mlle Cassis (@mlle_cassis), Luca Palli (@lpalli), Yann Kerveno (@justaboutvelo), Annemarie Fuschetto (@libellula_free), Ewan Spence (@ewan), Kantu (@kantutita), Jean-François Genoud (@jfgpro), Michelle Carrupt (@cmic), Sally O’Brien (@swissingaround), Adam Tinworth (@adders), Mathieu Laferrière (@mlaferriere), Graham Holliday (@noodlepie), Denis Dogvopoliy (@dennydov), Christine Cavalier (@purplecar), Emmanuel Clément (@emmanuelc), Xavier Bertschy (@xavier83). Follow #back2blog.

J'aime mes paniers de légumes (lejardinpotager.ch) [fr]

[en] I get a veggie basket of local products every week.

Chaque jeudi je reçois un panier de légumes bios de la région. C’est grâce à la coopérative Le Jardin Potager. Je suis fan.

3rd and last basket of veggies for the summer

Tout à démarré en août de l’an dernier. C’est la faute à Pierre Crevoisier, qui demandait si qui que ce soit était intéressé à reprendre les paniers de coopérateurs en vacances. J’ai sauté sur l’occasion et le test était concluant. Ce printemps, je suis devenue coopératrice à mon tour.

Le “petit” panier me coûte 19.80 CHF par semaine. Pas énorme:

  • c’est bio et local (vous avez vu le prix du bio à la Migros?)
  • ça couvre mes besoins de légumes pour la semaine, plus ou moins (parfois j’ai trop et je donne, parfois il me manque ceci ou cela et j’achète)

Il y a des points de distribution un peu partout. Le mien est juste de l’autre côté de la route.

J’aime le fait qu’on ne choisit pas le contenu de son panier. Je passe mon temps à choisir ce que j’achète, comment je le cuisine, ce que je mange — j’aime bien pouvoir déléguer une partie de ces décisions. Le contenu du panier de la semaine suivante est annoncé sur le site. Il y a une liste des légumes avec fiches description et recettes (histoire de savoir quoi faire avec les panais, les radis noirs, les scorsonères, l’aïl d’ours, les orties et autres topinambours). J’ai découvert des tas de nouveaux légumes.

Si vous avez envie de tester, profitez de l’été et des coopérateurs en vacances pour reprendre un, deux, trois ou quatre paniers. J’ai la liste et je vous forwarde l’e-mail sur demande!

La seule chose qui manque? Un groupe facebook, ou au moins une page. Un groupe serait mieux, parce qu’on pourrait y échanger recettes et tuyaux pour les légumes du panier de semaine en semaine. Je connais deux autres coopérateurs, pas tout à fait assez pour démarrer un groupe, mais si on est plus, je lance l’affaire!

20.09.2013: le groupe est lancé!

Médias sociaux chez Orange: rencontre-discussion pour blogueurs [fr]

Le prochain Expert Interview chez Orange, sur les médias sociaux, aura lieu le 13 mai (initialement planifié pour le 30 avril, mais on a déplacé à cause de eComm). Voici le formulaire d’inscription:

Loading…

On a remarqué lors de notre premier Expert Interview consacré au service clientèle qu’il y avait un très fort intérêt pour les activités d’Orange touchant aux médias sociaux. Pas étonnant de la part de blogueurs…

Du coup, après un deuxième Expert Interview consacré au réseau (pour le bonheur des geeks et moins geeks), on a décidé de mettre dans la chaise de l’expert Christoph, spécialiste des médias sociaux chez Orange, et avec qui (accessoirement!) je travaille sur ce mandat. Je suis sûre qu’il pourra satisfaire votre curiosité et je me réjouis de la discussion.

Mes bons plans "restaurant" à Lausanne [fr]

[en] Restaurants I like in Lausanne.

L’autre jour, un post de Laurent sur Facebook recommandant un restaurant lausannois a déclenché une série de commentaires pleins de bons restaurants lausannois. Voici les endroits où j’aime manger à Lausanne, sans ordre particulier:

  • L’Indochine, près de chez moi, pour manger vietnamien (bon repas en soirée)
  • La Bossette, où je ne suis pas retournée depuis trop longtemps (miam à midi et le soir, y compris le dimanche)
  • La Brasserie du Château, pour leurs pizzas
  • Le Lyrique, à midi quand j’enseigne au SAWI
  • Le Coccinelle Café, au centre de Lausanne
  • Chez Rony, pour la fondue et les plats très délicieux du Bangladesh, généralement lors d’un Bloggy Friday
  • L’Abyssinia pour manger éthiopien/érythréen au Valentin, et il y a aussi Lalibela de l’autre côté de la route, même proprio
  • Délices Indiens aussi au Valentin — moi qui ne mange indien quasi nulle part en Suisse, j’y mange et j’aime (buffet de midi et lunch à l’emporter pour 10.-)
  • Le Baz’Art, pas loin de chez moi non plus, pâtes et pizzas et plat du jour à midi, petite carte mais tout est excellent (ils livrent aussi)
  • Découvert récemment grâce à une de mes étudiantes, le Vapiano en face de la gare, où je retournerai (pâtes et pizza, système innovant de carte pour l’addition qui permet de ne pas se prendre la tête, on cuisine devant vous, aussi ouvert le dimanche)
  • Café Saint Pierre pour le brunch du week-end
  • à Morges, il faut absolument aller manger au Balzac à midi et y goûter leurs merveilleux cacaos — ils font également brunch le week-end.

Bon, je vais certainement devoir rajouter un restau ou deux à cette liste après avoir publié, mais c’est déjà un début!

2ème Back to Blogging Challenge, jour 5. Bloguent aussi: Nathalie Hamidi(@nathaliehamidi), Evren Kiefer (@evrenk), Claude Vedovini (@cvedovini), Luca Palli (@lpalli), Fleur Marty (@flaoua), Xavier Borderie (@xibe), Rémy Bigot (@remybigot),Jean-François Genoud (@jfgpro), Sally O’Brien (@swissingaround), Marie-Aude Koiransky (@mezgarne), Anne Pastori Zumbach (@anna_zap), Martin Röll (@martinroell), Gabriela Avram (@gabig58), Manuel Schmalstieg (@16kbit), Jan Van Mol (@janvanmol), Gaëtan Fragnière (@gaetanfragniere), Jean-François Jobin (@gieff). Hashtag:#back2blog.

Nouvelle gare du LEB Union-Prilly: dommage [fr]

[en] They moved the closest LEB station from my place, and made it closer. Except that you have to do a huge detour to cross the road. What a pity! Watch the video to see with your own eyes.

Update: il paraît qu’il y aura un passage sous-voie au milieu de la gare… j’attends confirmation!

Depuis plusieurs mois, il y a en bas de chez moi des travaux. La gare du LEB Union-Prilly a été entièrement refaite, déplacée une centaine de mètres en contrebas, et une deuxième voie ajoutée pour que les trains puissent passer à une cadence plus élevée.

L’emplacement de la gare est maintenant parfait pour moi: droit en face du chemin par lequel on débouche sur l’Avenue d’Echallens (qui s’appelle peut-être déjà Route de Neuchâtel à ce niveau-là).

Sauf que… il faut faire un détour de plusieurs centaines de mètres pour emprunter le passage piétons souterrain qui traverse la route. Toujours le même.

Située à 5 mètres à vol d’oiseau lorsqu’on est en bas du chemin, la gare est en fait encore plus loin qu’avant.

Faudra pas s’étonner ensuite que les habitants de l’autre côté de la route traversent celle-ci et les voies entre le bas d’Ombreval et la gare.

Je me lamente peut-être pour rien (espérons), les travaux n’étant pas tout à fait finis. Mais je crains… je crains.

Une explication en images et commentaire avec la vidéo ci-dessous.

Pêle-mêle de début juillet [fr]

[en] A bunch of random stuff.

Je n’arrive pour le moment pas à m’organiser pour prendre le temps de bloquer “correctement”. Je vous fais du coup le coup (!) de l’article “nouvelles en vrac”. Old-style.

Quintus au balcon sur fond de tomates

C’est le moment d’acheter votre billet pour la conférence Lift à Genève les 6-7-8 février 2013, avant que le prix ne prenne l’ascenseur. Lift, c’est à ne pas manquer. (Si vous avez participé à une édition précédente de Lift, vous avez reçu un code pour le prix “super early bird” de 625 CHF, valable encore un jour ou deux! Ne laissez pas passer le délai!)

C’est aussi le moment, si le coworking est quelque chose qui vous parle, de prendre votre billet pour Coworking Europe, qui aura lieu cette année à Paris les 8-9-10 novembre. Je suis à l’affiche d’un des panels du premier jour.

La Muse ouvre les portes de son espace lausannois, avec pique-nique tous les mardis.

Toujours au chapitre coworking, il y a de la place à l’eclau, tant pour des indépendants/freelance que des startups. Venez visiter!

J’ai pris part pour la première fois à En ligne directe, émission de la RTS qui démarre la veille au soir par un débat sur Twitter (hashtag #EnLD), repris dans le direct du matin avec des invités. Je trouve le concept génial. Le sujet du soir où je suis restée pendue à Twitter (plus que d’habitude) était “faut-il interdire/punir le téléchargement illégal“. Vous imaginez la suite. Pirater n’est pas voler, c’est toujours valable en 2012. Je suis effarée par la mauvaise foi et/ou le lavage de cerveau dont font preuve les “opposants”. Croire que le monde dans lequel on évolue (physique, numérique) et ses caractéristiques ontologiques n’est qu’un point de détail pour débattre d’éthique ou d’économie, qu’économie de rareté vs. économie d’abondance ne change rien à la morale, c’est faire preuve d’une naïveté et d’une simplicité de réflexion affligeante. Le tout repris par Magali Philip dans un Storify magistral.

Le Port de Vidy fait très fort avec ses nouvelles portes high-tech sécurisées.

Un chouette Bloggy Friday a eu lieu en juillet, après celui de juin. Les gens d’internet qui se rencontrent offline, il paraît que c’est le truc nouveau super-tendance de l’été. (Les rencontres IRC d’il y a 15 ans ça compte pas, hein. Ni les rencontres blogueurs, pendant qu’on y est. Ni les rencontres Twitter qui existent depuis des années.) Quelqu’un se lance pour faire l’hôte ou l’hôtesse pour le mois d’août? Ce sera durant ma semaine de déconnexion.

Hercule Poirot cherche toujours un nouveau foyer en Angleterre. Quintus, lui, s’installe bien en Suisse et explique au jeune Tounsi comment respecter ses aînés avec pedigree.

Les plantes sur mon balcon et dans mon appart poussent bien. J’ai des piles de photos, à mettre en ligne et à commenter ici pour vous. En attendant, il y a un groupe Facebook “Petites plantes de balcon et d’ailleurs“, si c’est votre genre.

Ah oui, c’est aussi le moment de vous inscrire pour la troisième session menant au diplôme SAWI de Spécialiste en médias sociaux et communautés en ligne. Dernière séance d’info le 21 août.

Et aussi le moment de postuler (jusqu’au 16 juillet!) si vous pensez être la personne qu’il faut pour prendre la tête du SAWI en Suisse romande. Et je suis toujours ouverte à des candidatures de blogueurs motivés pour le blog de voyage ebookers.ch.

Côté boulot, je suis pas mal bookée, mais j’ai encore de la place pour un mandat long terme de “blogueuse en chef” (ou “redactrice en chef de blog”, si vous préférez).

Inspiration, sur Kickstarter: Bridegroom et Amanda Palmer.

Google aménage ses cafétérias pour encourager ses employés à manger plus sainement. Fascinant.

La plaie des infographies.

Pourquoi les femmes ne peuvent (toujours pas) tout avoir.

Passer du temps à ne rien faire, pour mieux faire.

Et pour finir: l’été de mon chat. (Non, pas le mien, celui du journaliste du Temps.)