If You Missed Hearing My Voice… [en]

[fr] Quelques mots au sujet de la différence entre contenu audio et textuel, de ma tentative de m'organiser à la GTD, et mes aventures avec Apple.

Here’s another pretty crappy audio post [5min49]. I promise I’ll try to get better at this content-wise.

Today’s related links:

Tickler File and A-Z reference

Stuff I’ll blab about next time:

  • RSI update (podcasting++)
  • chronic vs. acute pain
  • Odeo and related stuff (audio comments?)
  • things that are on my to-do list (like upload tons of photos to Flickr)
  • … (anything you’d like to hear me speak about?)

J'monte à Jval! Et vous? [fr]

[en] A soon-to-be-ex-collegue of mine (because I'm leaving) is organising a small music festival near Begnins, between Geneva and Lausanne. He was podcast-interviewed by James the Podcaster, and I asked him a few questions by e-mail. Jval Festival will take place on 18-20th August.

Les 18-19-20 août, dans le domaine Serreaux-Dessus (hauts de Begnins, au-dessus de Gland, entre Morges et Nyon, entre Genève et Lausanne — vous situez?) aura lieu Jval Festival, organisé par mon futur-ex-collègue (c’est moi qui pars!) et ami Pierre Nicolas et son frère Laurent.

Vue depuis le domaine de Serreaux-Dessus Comment? Encore un festival? Moi qui n’ai pas encore mis en ligne mes photos de la Cité et de Paléo! Il faut dire que la formule est un peu différente: cadre magnifique, bon vin au bar, groupes locaux, ambiance intime (200 personnes).

Lorsque Pierre m’a dit il y a quelques jours qu’il était occupé à faire la promo de Jval Festival, j’en ai tout de suite touché un mot à Thierry, et voici le résultat: interview (vidéo) de Pierre Nicolas pour Culture Pod. Pierre nous y raconte comment l’idée du festival est née, ce que ça représente et implique d’organiser une telle manifestation, et quels groupes seront présents.

Quand Pierre m’a parlé de ce festival, il y a de longs mois de cela, je sais que ce qui m’intriguait était ce passage entre “fête avec des amis” à “festival public”. Thierry a fort bien invité Pierre à s’étendre un peu sur le sujet, et de mon côté, je lui ai posé quelques questions par e-mail, que je reproduis ci-dessous.

Peux-tu me raconter un peu comment a pris forme, l’année dernière, la première édition de Jval Festival? Quels groupes sont venus jouer, et comment les avez-vous trouvés?

Avec mon frere aîné, on pensait simplement faire un bar quelques soirs pour profiter avec des potes (ou autres) du cadre assez sympa! Finalement, comme mon frère et plusieurs de nos amis sont musiciens, on a decidé de faire venir quelques groupes, et le projet a ainsi petit à petit pris la forme d’un petit festival. Donc dans les 4 groupes qui sont venus jouer, il y avait Superstrings (groupe de mon frère), Just for Funk (groupe d’un de mes potes), For the Passion et Fargo (2 groupes dont s’occupe l’ingenieur du son du groupe de mon frère).

Combien de spectateurs l’an dernier, et combien attendus cette année? Est-ce qu’on pourra acheter les billets sur place, ou bien ça risque d’être complet?

L’année passée on a eu relativement peu de monde parce qu’on a fait la pub quelque chose comme 10 jours avant! En plus, il a plu toute la journee du premier soir et il a plu le deuxième… Au final on a eu 170 personnes le premier soir et environ 80 le deuxieme. Il sera certainement possible d’acheter des billets sur place, mais vu la taille très limitée du festival, autant les acheter avant! Cette année on attend environ 250 personnes par soir.

Comment avez-vous choisi les artistes pour cette édition? Est-ce que la plupart sont des artistes avec des agents, ou bien tu t’es (vous?) retrouvé à tracter directement avec les artistes en question? Comment on s’y prend, par exemple, pour que Lole vienne chanter dans son festival?

Pour tous les groupes c’est la même chose: on se rend sur le site du groupe, on charge la page contact et on ecrit un mail pour connaître les disponibilités et les tarifs du groupe. Pour certains groupes, ce mail parvient directement à l’agent et c’est lui qui s’occupe de nous repondre. Les groupes étrangers ont généralement un tourneur en Suisse (Opus One, boîte appartenant à Paléo, par exemple) qui s’occupe de prendre contact avec l’agent des differents groupes dont ils s’occupent. Cette annee, à part pour Lole, on a negocié directement avec les groupes. Pour Lole, on a simplement pris contact avec son agent, qui est l’organisateur de Festi’neuch (la demoiselle vient de la-bas).

Est-ce qu’il y a des choses à préciser concernant le domaine de Serreaux-Dessus, mis à part la vue?

Alors oui, on mise bien évidemment sur le cadre (domaine viticole éloigné de la circulation, etc.), la vue (de Villeneuve jusqu’a Genève), et sur ce que certains pourraient prendre comme un désavantage: la taille. C’est un tout petit festival, donc on aura droit à des concerts presque privés! Il faut dire aussi que les festivaliers auront la possibilité, pour une fois, de boire du bon vin pendant le festival, ce qui change de Paléo, quand même!

Merci, Pierre! En ce qui me concerne, mon début de week-end est malheureusement pris de longue date, mais je monterai à Jval le dimanche 20. Je ne veux pas rater ça!

S'abonner à une publication audio/video dans iTunes [fr]

[en] How to add a podcast to your iTunes podcast list: you need to copy the RSS feed address of the blog/podcast you want to subscribe to, and then in the "Advanced" menu in iTunes, select "Subscribe to podcast" and paste the URL in there.

Vous avez peut-être déjà entendu parler de podcasts. En fait, un podcast, ce n’est rien d’autre qu’un blog sous forme audio ou vidéo. Mes deux derniers billets, si l’on veut, ce sont des podcasts. Tout comme on peut s’abonner à un blog pour être averti rapidement lors d’une nouvelle publication, sans avoir à consulter compulsivement la page web du blog pour voir s’il y a du nouveau, il est possible de s’abonner au contenu audio/video d’un blog avec iTunes.

Tout d’abord, installez iTunes si vous ne l’avez pas. C’est très sympa pour écouter de la musique, transférer ses CDs sur son ordinateur, etc. Et ça n’est pas réservé aux amateurs Mac, il existe une version Windows que j’utilise d’ailleurs ces jours. Ensuite, rendez-vous sur le blog/podcast auquel vous voulez vous abonner, et copiez l’adresse du flux RSS de celui-ci. Arghl?! Pas si complique: chez moi, c’est dans la colonne de droite, en bas. Il y a un lien qui s’appelle “RSS 2.0”. On fait un ctrl-click dessus et on choisit “copier le lien” (ou quelque chose comme ça). Sur d’autres blogs, vous verrez peut-être une petite étiquette orange avec les lettres “RSS” ou “XML” dessus. Même opération.

Bref, voici l’adresse pour ce blog: https://climbtothestars.org/feed/.

Ensuite, dans iTunes, allez dans le menu “Avancé” et choisissez “s’abonner au podcast”. Dans la fenêtre qui apparaît, collez le lien que vous avez sauvegardé (faites ctrl+v si vous aimez les raccourcis clavier). Une fois que vous avez fait “OK”, le blog/podcast en question devrait apparaître dans votre liste de podcasts. Chaque nouvelle publication sera automatiquement téléchargée, et vous pourrez la consulter quand vous voulez.

Ensuite, on peut faire des trucs sympa comme s’arranger pour que les nouveaux podcasts soient automatiquement transférés sur son iPod, pour pouvoir les écouter en voiture ou dans le train, par exemple — mais je vous raconterai ça une fois que j’aurai reçu mon iPod!

Version française du semblant de podcast précédent [fr]

[en] A French version of this post: This Is Supposed To Be a Podcast.

Bon, allez, je suis bilingue, il faut que j’assume (hein Thierry)! Je viens de mettre en ligne un billet audio en anglais, et voici donc une version française qui recouvre à peu près ce dont je parle. C’est plus facile de faire deux versions par oral que par écrit.

[5min39]

Pour les liens relatifs à ce que je mentionne dans ce bla-bla, visitez la version anglaise de ce billet. En bonus pour la version française:

Si vous avez un truc pour qu’il y ait moins de bruit dans le micro, volontiers. J’ai essayé de l’éloigner de ma bouche mais le résultat n’était pas terrible.

This Is Supposed To Be a Podcast [en]

[fr] Un embryon de podcast, en anglais. Quelques banalités comme la difficulté de parler à "personne", malgré mon experience de dictée avec Dragon, un peu de pub pour coComment et mes vidéos d'Inde, et ma première publication audio en novembre 2002. Il y a une version française maintenant.

Well, here we are. Sorry for the air in the microphone, I’ll get better at this.

[5min42]

Download the audio file or use the widget above.

Errata: I mentioned coComment in , not #joiito; I finally used a 48kbs mp3 format instead of 128kbs.

Links I mentioned:

Thanks to leftjustified, I will soon be optimising the mp3 file you’re listening to. I’ll blog the instructions separately.

Dear Apple [en]

[fr] Lettre ouverte à Apple. Trois mois et demie depuis la panne de mon ibook et toujours pas de MacBook commandé depuis deux mois, ça commence à suffir.

Dear Apple,

I told you again more than six months ago how much I loved my ibook. Ever since my ibook moved in with me, I’ve become such an enthusiastic Apple user that my dad makes fun of me. I’ve turned my back on over a decade of faithful Windows use and even started recommending you to my friends. Over the last two years, a whole bunch of them have bought ibooks — or are now buying MacBooks.

A bit over a year ago the first cloud interrupted my honeymoon with my ibook. The motherboard died and I spent 6 weeks without it while it got repaired. I was glad I had given in and paid the “Apple Tax” (also known as “AppleCare”), because the motherboard died just about a year after I had bought my shiny new ibook.

Even though this had taken a long time, and there wasn’t any French speech recognition software for OSX, my ibook was pretty, and I still loved it, so I was not shy to let myself be photographed with it to illustrate interviews I gave.

Six months later I had to replace my power cable. But I still loved OSX and my ibook was still pretty, so my dad had many an occasion to continue making fun of me because I was loyal to you. 🙂

This year, though, all hell has broken loose. If I’ve told you the beginning of my story, Apple dear, it’s because I want you to know how enthusiastic a switcher I have been, and that I understand nobody’s perfect and can also forgive that.

In February my beloved ibook started freezing. OK, maybe the hard drive was a bit full. Sometime durin gthe month of March the frightening “failing motherboard” symptoms reappeared, so I gave my favourite Apple retailer my ibook for a transplant. A couple of weeks later, my ibook was back home, but it didn’t take long for things to go really really wrong.

At that point, my darling ibook had worked it’s way through at least 3 motherboards, and the hard drive was going belly-up too. The shop took it back in for repairs, and at the same time I tried to see if I could get an exchange.

Well, things haven’t gone too bad: my ibook was repaired (after you sent the repair shop a defective hard drive, if my memory serves me right), but then there was a problem with the wifi card connection. Around that time it seemed like you were going to accept to replace my broken ibook, even though you would only give me the bottom-line product instead of a customized equivalent to the setup I had.

When you surprised us with the MacBook, the shop agreed that if I ordered one, they would take back the new ibook I would have received and charge me the difference. Seemed like pretty good deal. On May 22nd, I finally ordered my shiny new MacBook through the shop.

Things already seemed to be moving slowly back then, but looking back, the worst was yet to come.

First, one of your representatives finally got in touch to organise the pick-up of my old ibook for the exchange. She insisted that they could only pick up my ibook at my home, during office hours. Excuse me? Apple, I know I’m a teacher (well, I was back then) and that teachers are at home all the time, but I do lead a busy life. Plus, the ibook was still at the shop (had been there for over 6 weeks), so I would have had to go to town during the shop opening hours, pick up my ibook, and then stay at home (?) one day for you to pick it up. Sorry, Apple, but do you really expect your customers to be at home during office hours? Somebody needs to review this exchange process.

Lucky for me, I have a good relationship with the store manager (given the number of hours we spent discussing my ibook problems, it was kind of inevitable). He managed to arrange for the pickup to take place at the shop. Then we lost a week (?) or so because for some reason, nobody came to pick up the ibook once everything had been arranged. Oh well.

Last week, I dropped into the store and was greeted with good news. The replacement MacBook for my ibook had arrived. Neat! But what about my “real” replacement, the customized MacBook we had ordered two months ago? Still nothing.

To this day, the last news I have is “not before next week”. I won’t hold my breath, though. “Not before” isn’t very encouraging.

So you see, Apple, I’ve done my job as an enthusiastic switcher and Apple evangelist amongst my friends, and even in the local press through photographs like this one:

Photoshoot Coopération 6

I’ve been patient through my (many) trials, but this is just starting to be too much. I’ve been without my laptop since April 9th, the day it broke down. Today? July 26th. That’s three months and a half. That’s way too long. Not to mention my dad is really having fun poking at my Apple-love now.

So, dear Apple — I’m aware you’re having trouble delivering customized MacBooks or something, and I know you probably can’t do much in my particular case. But maybe — maybe — you could work a bit on making things a little less painful for faithful AppleCare’d customers?

Thanks for listening. Thanks for caring.

Yours still,

Stephanie

Le coComment nouveau est arrivé [fr]

[en] With the new coComment extension activated, browse to this article by 24heures. Click on the coComment logo once. Don't spill your coffee.

Je parlerai plus longuement de la nouvelle version de coComment qui vient d’être déployée (après l’annonce officielle, par exemple), mais je tenais à vous montrer ceci avant de filer à Paléo.

  1. Avec un navigateur FireFox (ou Flock! muni de la magnifique extension coComment, rendez-vous sur la page de l’article 24heures sur les blogs. *Edit: version archivée ici on dirait.
  2. Remarquez que le logo coComment en bas à droite devient orange. (Au lieu de bleu.)
  3. Cliquez sur le dit logo, une fois, avec le bouton de gauche.
  4. Lisez et extasiez-vous!

(Je n’en dit pas plus, il faut essayer. Oui, ça marche partout. Dingue.)

Bloguer avec WordPress, c'est facile! [fr]

[en] A few screenshots to demonstrate how technically easy it is to write a blog post with WordPress.

Bon, au risque de me répéter, bloguer n’est pas techniquement difficile. Si vous savez envoyer un e-mail, vous avez les compétences techniques pour écrire dans un blog. Comme les images sont plus parlantes que de grosses tartines comme j’ai l’habitude d’en pondre, voici j’espère de quoi vous convaincre, en images. J’affectionne particulièrement la plateforme WordPress, qui se décline en plusieurs parfums selon votre humeur, vos compétences, et vos besoins.

Donc, fini le blabla. Une fois votre blog “installé” (facile avec WP.com, un peu plus complexe pour les autres solutions), vous cliquez sur le lien “connexion” qui se trouve sur celui-ci et vous verrez l’écran suivant, où vous vous identifiez grâce à votre nom d’utilisateur et votre mot de passe (qui vous auront été fournis lors de la mise en place du blog):

wp-login-fr-rempli

Une fois qu’on a cliqué sur “connexion”, WordPress sait qui on est — comme lorsque l’on rentre dans son compte e-mail. On a donc accès à la partie cachée du blog (derrière la scène, les coulisses), accessible depuis n’importe où pour autant qu’on ait une connexion internet et qu’on se souvienne de son mot de passe. Comme l’e-mail, en fait.

Une fois la connexion faite, on clique sur l’onglet “Ecrire” pour pouvoir écrire un billet.

wp-post-fr-rempli

En cliquant sur la photo, vous en voyez une version plus grande, avec des commentaires (il faut passer la souris sur la grande photo pour les voir). En gros, ça ressemble beaucoup à un formulaire de rédaction d’e-mail, non? La seule grosse différence c’est que le bouton à activer s’appelle “Publier” et non pas “Envoyer”. Allez, on écrit une bafouille et on publie.

Mince! et si on a oublié de mettre quelque chose dans le billet qu’on vient de publier? Si on a laissé passer une faute d’orthographe? Pas de panique. On clique sur “Gérer”, ce qui nous donne accès à la liste des derniers articles publiés.

wp-gerer-blog-fr

Il suffit de cliquer sur “Modifier” et on retrouve l’écran d’édition affiché plus haut. C’est le même pour faire un nouveau billet ou pour modifier un billet existant, sauf que dans ce deuxième cas, le formulaire sera pré-rempli avec le contenu du billet.

Voilà l’essentiel à maîtriser pour pouvoir alimenter un blog. Pas sorcier, non? Donc, si vos craintes concernant les possibles difficultés techniques se sont envolées, faites un rapide détour par Blog pour les nuls, lancez-vous, et donnez-moi votre adresse pour que je puisse aller jeter un oeil!

Comment faire connaître un cours sur les blogs en Suisse Romande? [en]

Voilà une question qui nous taraude depuis quelque temps, Anne Dominique Mayor et moi-même, ainsi que le responsable de Romandie Formation.

Nous avons un joli cours sur les blogs, destiné aux patrons (ou responsables communication) de PME, qui aura lieu dès septembre (le 6 et le 13, pour être précise). Mais comment le remplir? Comment le faire connaître? Nous avons organisé une séance d’information en juin, mais même là, difficile de remplir la salle.

Pour le moment, quand on dit “blog” aux gens, leur réaction est souvent de l’ordre “beurk, non, j’ai pas besoin d’un journal intime en ligne, ça va pas la tête!” Quand on a une chance d’expliquer, là, tout d’un coup, ils sont beaucoup plus intéressés.

Laissez-moi le répéter encore haut et fort: le blog est une technologie, une (des!) culture(s), une machine à ouvrir le dialogue. Ce n’est pas un journal intime. Il peut être utilisé pour faire un journal intime en ligne, mais ce n’est qu’une des nombreuses utilisations possibles de cet outil.

Il peut être utilisé pour faire une “page de news” dopée afin de faire passer des infos aux clients. Il peut être utilisé à l’interne, pour mieux communiquer, collaborer, et stocker l’information utile pour l’équipe. Il peut être utilisé “dans l’autre sens”, c’est-à-dire qu’on peut écouter ce qui est dit de notre produit ou service, comme Robert encourage Nestlé à le faire, et comme je le fais pour le service coComment.

Le blog est peu cher, prend certes du temps, mais nous offre une prise directe sur ce que l’on montre sur la toile, et un vrai canal de communication avec “l’extérieur”. Les personnes que j’assiste dans la mise en place de leur blog sont en général bluffées par la simplicité de la publication. C’est vraiment facile, pas juste “facile-pour-informaticiens”. On veut changer une virgule, rajouter une phrase? Pas de problème. Inutile de déranger le webmaster pour cela.

Je sais qu’un tel cours (et d’autres, on est déjà en train de comploter) a sa place, mais je me demande si on n’est pas un peu tôt… Et vous, qu’en pensez-vous? Un cours comme celui-ci vous paraît-il adapté? Et éternelle question, comment aider ceux qu’il pourrait intéresser à nous trouver?

Je suis bien consciente que ce billet (que j’ai envie d’écrire depuis plusieurs semaines), publié alors que 24heures parle de blogs et de “yours truly”, et que les employeurs de la Petite Anglaise viennent de se ridiculiser en la virant à cause de son blog… bien inoffensif, c’est déjà un premier bout de réponse à la deuxième question…

PS: si jamais, messieurs-dames journalistes et autres, c’est Stephanie sans accent. J’ai des origines britanniques et comme c’est à peu près le seul endroit où ça se voit, j’y tiens 😉

Lisez Ollie! [fr]

[en] You should read Ollie's blog if you're interested in corporate blogging. Some pointers to recent articles of his that I particularly liked.

Une petite page de pub pour un camarade blogueur dont je trouve les billets de plus en plus pertinents: lisez le blog à Ollie! En particulier, si les rapports entre blogs et business vous interpellent, il est à mon avis incontournable. Quelques billets récents qui m’ont favorablement impressionnée:

Bonne lecture, et merci encore à Ollie pour son blog!