Le Parti des Pirates débarque en Suisse! [fr]

[en] A Pirate Party is getting organised in Switzerland. Foundation meeting on July 12th in Zurich.

Alors que le Parti Pirate suédois fait son entrée au Parlement Européen (7% des suffrages!), Lyonel se demande s’il fera des émules en Suisse, à la lumière du soutien des activités de Logistep par le TAF.

Eh bien, les pirates suisses s’organisent: un canal IRC (#piraten-schweiz sur freenode) pour discuter entre personnes intéressées ou curieuses (j’y ai mis les pieds, il y a des romands, et l’ambiance est plutôt bonne!), un site web avec les principes du futur parti, une réunion à Zurich le 12 juillet pour la fondation officielle du parti.

Comme vous savez que c’est un sujet qui me tiens à coeur, je suis allé mettre mon petit grain de sel concernant la composante linguistique de leur communication, et je peux vous dire que ça va plutôt dans le bon sens! (J’ai vu des gens qui parlaient de trouver un nom de parti en anglais, par exemple — intéressant, non?)

A lire, si vous ne l’avez pas déjà fait, mon article Pirater n’est pas voler, en sept mythes, qui est rapidement en train de caracoler au sommet du hit-parade des articles les plus lus de Climb to the Stars.

Non à la traque des adresses IP par Logistep [fr]

Si vous avez comme moi vu les manchettes de 20minutes hier, vous savez qu’un étape de plus a été franchie dans la criminalisation et la répression du partage de fichiers sur internet. Pour cela, le Tribunal Administratif Fédéral a désavoué le préposé à la protection des données, qui avait exigé l’an dernier que la société Logistep cesse de traquer les adresses IP des internautes mettant à disposition des fichiers via les réseaux P2P, faute de base légale.

Je cite: “la fin justifie les moyens” (la fin, ici, donc, c’est “lutter contre le piratage”).

En attendant que j’aie fini de rédiger mon gros article intitulé “Pirater n’est pas voler, en sept mythes” (je m’y suis remise), je vous invite à rejoindre le groupe Facebook Non à la traque des adresses IP par Logistep et à y inviter vos amis.

On sait déjà que le préposé à la protection des données fera recours (ouf). (Dire qu’on riait doucement des français et de leurs démêlés avec Hadopi.)

Il fait aussi bon de le rappeler: P2P ne rime pas avec “téléchargement illégal”. On peut utiliser le P2P pour télécharger des choses complètement légales.

Je retourne à ma rédaction!

Voter "oui" pour les bilatérales [fr]

[en] Swiss politics 🙂

300-250-frUne fois n’est pas coutume, je sors des sentiers battus ici sur Climb to the Stars pour parler politique.

Enfin, “parler politique”, c’est un bien grand mot. Ceux qui me connaissent savent que mon inculture en matière de politique n’a d’égal que mon incompréhension des mécanismes qui régissent notre économie.

Je ne vais donc pas essayer de faire croire que je comprends tous les enjeux de fond en comble. J’avoue que quand on m’a demandé de faire partie des 20 blogueurs officiels de l’opération Bloguer pour les bilatérales, j’étais la première surprise. Mais tant qu’à faire, je me suis dit, allons-y: voter “oui” à la reconduction de l’accord sur la libre circulation des personnes (avec extension) me semble être une évidence.

Je me souviens d’un fameux 7 6 décembre, et a priori, ce qui va dans le sens de l’Europe me paraît une bonne chose. Je penche également plus du côté de l’ouverture des frontières que de leur fermeture, dans le monde d’aujourd’hui.

Voter “oui”, d’accord, mais pourquoi?

C’est la question que j’ai posé aux personnes qui me suivent sur Twitter. Quels sont les enjeux, en moins de 140 caractères? Pas vraiment de réponses, du moins pas pour ce qui est du contenu de la votation. Est-ce trop complexe à exprimer en 140 caractères? Trop évident pour qu’on en fasse tout un fromage? Un “no-brainer”, comme diraient les anglo-saxons? En tous cas, pour une fois, Twitter n’aura pas vraiment éclairé ma lanterne.

Si vous cherchez un peu de substance, je vous suggère d’aller faire un saut sur le bila-blog, et de lire ce qu’ont à dire à ce sujet mes compatriotes blogueurs politiques bien plus éclairés que moi. En français, vous y retrouverez Lyonel Kaufmann de politis.ch ainsi que Christian van Singer. Christian nous raconte des histoires de guillotines et de corbeaux, et Lyonel présente un argumentaire assez bien fichu.

Et si vous êtes comme moi, que la politique ne vous intéresse que peu, que vous votez quand vous n’oubliez pas, (je ne m’en vante pas, mais il faut regarder les choses en face), que le “oui” vous paraît tellement évident que ça ne vaut pas la peine de se faire du souci, ça passera — allez déterrer cette enveloppe grise qui traîne dans le panier à courrier, mettez une croix dans la case “oui” de la votation fédérale, collez un timbre dessus et mettez-la à la boîte aujourd’hui.

(Certains vont me trucider, mais si les autres objets de votation vous prennent la tête, que comme moi également vous n’aimez pas mettre une croix quand vous n’êtes pas convaincu de votre choix& eh bien, on peut toujours laisser les cases vides. C’est mieux de renvoyer un bulletin de vote à moitié rempli que de ne pas l’envoyer du tout.)

Cherche blogueurs branchés voyages (pour blog ebookers) [en]

[fr] As the editor of the upcoming ebookers blog in French, I'm looking for a few motivated French-speaking bloggers to write about travel-related topics (paid blogging).

Ceux qui me suivent sur Twitter ont peut-être déjà vu passer un appel ou deux. Voici les détails.

Vous connaissez certainement ebookers, la première agence de voyages en ligne suisse. Ils ont depuis un moment déjà un blog en allemand, et désirent à présent en lancer un en français.

La rédactrice en chef de ce nouveau blog couvrant toutes sortes de sujets touchant au voyage, c’est bibi. Nous publierons une vingtaine de billets par mois. Les auteurs seront rémunérés (quelques dizaines de francs par article; ce ne sont donc pas des sommes folles, mais un contributeur régulier peut espérer faire quelques centaines de francs par mois suivant la quantité de publications) et on commence en janvier. De plus, participer ainsi à un projet de blog collectif permet d’augmenter sa visibilité en tant que blogueur, et d’acquérir une expérience professionnelle originale.

Donc, opération recrutement: je recherche trois-quatre blogueurs motivés et passionnés par les voyages, intéressés à contribuer régulièrement à ce “blog de voyages” (mélange de sujets libres et de sujets “sur commande”). Plusieurs personnes m’ont déjà signifiée leur intérêt. Histoire de formuler tout ça (et aussi parce que tout ce qui est “sous” passera par Blogwerk, l’entreprise qui gère ce projet pour ebookers), j’ai préparé un petit formulaire de candidature que vous trouverez ci-dessous. On vous demande 5 idées d’articles et un exemple d’article. N’hésitez pas à étudier un peu le blog en allemand pour vous faire une idée des sujets possibles (destinations, tuyaux pratiques, voyage en général, actualités, récits de voyage&)

J’attends avec impatience vos candidatures, et je me réjouis du démarrage de ce blog! Si vous avez des questions, les commentaires sont là pour ça.

Retour en plaine [fr]

Comme ces jours ont filé! On a marché, marché, grimpé, bûcheronné. De retour chez moi, je suis physiquement épuisée, je me suis vidé la tête, et contrairement à il y a trois semaines, je ne me sens pas ralentie, mais plutôt boostée.

Autres vacances, autres gens, autre rythme, autre effet.

J’ai pris des tas de photos, de nouveau. On a eu de la chance avec le temps, même si on s’est fait rincer un peu (au Col des Essets, notamment). Le programme des ces quelques jours en altitude?

Vendredi 15, tronçonnage des troncs d’arbustes coupés il y a trois semaines. Soirée tranquille à jouer (kalah et backgammon).

Samedi 16, départ peu matinal (et malgré le beau temps) pour le Col de la Croix. On a une voiture, on en profite! Une petite grimpette dans les Pyramides de Gypse (histoire de s’échauffer et de se préparer moralement pour l’initiation à la Via Ferrata prévue pour le lendemain… ou le surlendemain), suivie par un petite pique-nique et une autre grimpette (moins d’escalade, plus de dénivellation) jusqu’au Meilleret, avec détour involontaire par l’Encrène.

Ça fait un peu journal de voyage, comme je raconte ça, non? 🙂

On coupe à travers pâturages depuis le Meilleret pour descendre sur le Lac des Chavonnes (fort joli) où un petit restau sympa nous attend (et une tomme de chèvre fraîche sur lit de salade pour moi). On repart pour Bretaye via son lac et une séance course-photos avec les bébés grenouilles qui en habitent les rives.

On continue via le Col de Bretaye pour la promenade “poussette-compatible” jusqu’au Col de la Croix, via Ensex. Nos jambes en ont bien marre, mais on s’arrête toute de même en route pour photographier une amanite tue-mouches. Vers 20h, on est enfin de retour à la voiture.

Une fois les pâtes carbonara avalées, les photos de la journée regardées, et une bonne pile de bois de cheminée brûlée, il est quasi minuit…

Dimanche 17, le temps n’est pas à la Via Ferrata. On part pour Solalex avec le projet de monter à Anzeinde en taxi et puis de faire le tour de l’Argentine (5 heures de marche). A Solalex, on décide de monter à pied à Anzeinde. Il est environ 14h quand on y arrive, et le temps de manger, il est très clair que notre tour de l’Argentine ne se fera pas. En plus, il y a des nuages partout et l’orage menace.

On décide de se limiter au Col des Essets. On se met en route dans une purée de pois qui bouche la vue à 20 mètres, et on se fait rincer propre en ordre une fois au col. Malgré les éclaboussures sur les objectifs, on s’arrête pour prendre des photos, assez longtemps en fait pour que la pluie se calme et que le soleil réapparaisse en compagnie d’un magnifique arc-en-ciel. La vue se dégage complètement. On reste un bon moment à admirer les montagnes d’en haut, et je commence à faire des projets de Col des Chamois (pour une autre fois, hein).

Lundi 18, après un réveil un poil tardif (on a ouvert le Trivial Poursuite la veille au soir), on se met en route pour la fameuse Via Ferrata. Que dire? Il faut regarder les photos. On a renoncé à commencer par le début un peu abrupt (c’était une initiation) pour entamer la route par l’échappatoire. Quelques passages difficiles, un pique-nique avec vue imprenable sur la vallée, et une tyrolienne pour terminer (qui m’a vu faire le singe sur le câble à la fin, la tête en bas et les pieds en l’air, pour pouvoir décrocher ces sacrés mousquetons — la corde de la poulie avait fait des noeuds, du coup je touchais à peine par terre à l’arriveé).

Le soir: taille-haies. Taille-haies. Et le lendemain matin: taille-haies. Le jardin est bien propre.

A voir aussi, les photos de Corinne: premier jour, deuxième jour, troisième jour. Et moi qui lis la carte:

Stephanie lit la carte.

Communauté Coworking Léman [fr]

[en] In the process of gathering a community of people interested in coworking, in the Lake Geneva area. I have a concrete possibility of setting up a coworking space in Lausanne, but need comitted people to make it happen. Join the mailing-list and introduce yourself so we can talk about it. There is also a blog and a Facebook group you may join and tell your interested friends about.

Il existe depuis quelque temps une mailing-liste et un blog pour parler de coworking et partage de bureaux en région lémanique. Depuis cet après-midi, on a même un groupe sur Facebook. Si la question vous intéresse, rejoignez-nous!

D’où ça sort, tout ça? Petit retour en arrière.

En avril de l’an dernier (2007), je suis à Leeds et je m’apprête à faire la connaissance d’Imran Ali, découvert via un ami commun sur Twitter. Je feuillette ce que Chris Messina et Tara Hunt ont publié au sujet du coworking (je me prépare à aller passer un bon mois à San Francisco chez eux, donc je fais mes devoirs), et je réalise qu’Imran s’est inscrit sur la page Coworking Leeds du wiki. Amusante coïncidence.

Imran ouvrira, avec l’aide de Linda Broughton et le soutien de la Leeds Metropolitan University, l’espace de coworking met:space; c’est entre autres grâce à cette communauté que Going Solo prendra place le 12 septembre prochain à Leeds, dans le même bâtiment!

En mai de la même année, comme mon départ pour les USA se rapproche, je retourne me renseigner un peu sur mes hôtes (Chris et Tara), qui ont passablement contribué à populariser le principe du coworking, en particulier à travers leur espace de coworking Citizen Space. Je visite le site, je lis un petit peu, je découvre, j’aime, et je me dis: “ce serait cool d’avoir quelque chose comme ça à Lausanne.” J’envoie un petit mail très court à deux personnes, je m’inscris sur la liste de discussion coworking, mais ça s’arrête là.

En juillet, je suis à San Francisco (et peut-être même installée dans le canapé de Citizen Space!) quand Olivier écrit Et si on co-travaillait? — on est au moins deux à avoir le même genre de bonne idée à peu près au même moment… les temps sont mûrs en Suisse Romande, ou le seront bientôt. Quelques e-mails sont échangés, une poignée de vaudois sont intéressés, mais rien d’assez solide pour véritablement aller de l’avant.

Décembre de la même année, le sujet coworking revient brièvement sur le devant de la scène lors du premier Website Pro Day. On se retrouve à quatre chez l’un d’entre nous pour travailler chacun de son côté sur sa présence en ligne professionnelle (Website Pro Day!), et c’est vachement sympa. Donc on reparle de coworking. Dans la foulée, je crée un compte Basecamp et un wiki, qui péclotent un peu et finissent par se mourir, comme nos discussions sur le sujet (en tous cas en ce qui me concerne: je commence à être très prise par Going Solo).

Plus tôt cette année, dans les mois précédant Going Solo, il a semblé à deux reprises qu’un local pour y créer une communauté de coworking m’était tombé dans les bras. Réflexion faite, ce n’était pas réaliste, mais ces fausses alertes m’ont (sérieusement) relancée sur le sujet. D’autant plus que je me retrouvais sensibilisée à la problématique du travail en indépendant par la préparation de Going Solo.

Après la deuxième fausse alerte, j’ai décidé qu’il fallait commencer par se concentrer sur la communauté. Trouver un local, ce n’est pas le plus difficile. C’est trouver les gens, le problème. J’ai donc créé la liste de discussion par e-mail Coworking Léman ainsi que le blog associé, que j’anime seule pour l’instant mais que je voudrais également pouvoir remettre en d’autres mains.

Et là… il y a quelques semaines, bonne surprise: les 3 artistes/artisans (dont la céramiste Sylvie Godel) occupant les bureaux du rez inférieur de mon immeuble cherchent à remettre leur local. Il y a donc une possibilité concrète de coworking à Lausanne pour la fin de l’été ou cet automne.

Bon, fini l’histoire. En pratique?

Vous avez besoin d’un bureau de façon irrégulière — ou fixe — en compagnie d’autres personnes sympathiques, ouvertes à la collaboration et au partage, mais avec qui vous ne travaillez pas forcément?

Ça vous intéresse peut-être mais vous n’êtes pas vraiment sûr?

Vous travaillez principalement sur ordinateur ou chez vos clients?

Le coworking est peut-être pour vous.

Pour en savoir plus, inscrivez-vous à notre liste de discussion et envoyez si le coeur vous en dit un bref e-mail pour vous présenter et poser vos questions!

Arghl! Du spam par SMS! On fait quoi? [fr]

Il y a quelques minutes, la sonnerie de mon portable m’informe qu’un nouveau SMS m’attend. J’avoue que c’est assez fréquent, avec twitter surtout. Mais bon.

Je regarde mon SMS, toute curieuse, et… Un message m’invitant à obtenir des SMS gratuits ou que sais-je, depuis un numéro court.

Reviennent des souvenirs du temps où je bossais chez Orange: des histoires de numéros courts qui se comportaient mal, de clients spammés…

J’appelle Orange, service clientèle. Je demande à qui appartient le numéro court, ils me donnent le nom de l’entreprise et le numéro de leur service clientèle.

J’appelle, j’explique (poliment!) que je viens de recevoir un SMS du numéro court xyz, et que j’aimerais savoir comment ils ont eu mon numéro de téléphone. La gentille dame au bout du fil me demande mon numéro, fait quelques recherches, et m’informe qu’en 2006 j’ai envoyé un SMS contenant la lettre “b” au numéro zxy, et que j’ai reçu en retour un SMS en anglais disant ceci et cela. Et bien sûr, elle a spontanément dit qu’elle allait faire stopper les SMS publicitaires.

Nickel!

Je récapitule:

  • prendre note du numéro court en question
  • appeler son opérateur pour demander leur numéro de contact
  • appeler le numéro de contact associé au numéro court et demander comment ils ont eu notre numéro (si ça nous intéresse)
  • demander l’arrêt des SMS.

Vilain cafard ou jolie blatte forestière ambrée ? [fr]

[en] I thought we had cockroaches in the house, but it turns out to be a harmless, outdoor variety which sometimes gets lost inside (ectobius vittiventris). Here is the explanation leaflet we got from the company we contacted -- in hope that it might be useful to others.

Depuis que j’habite ici, je vois régulièrement voleter autour de la porte d’entrée de l’immeuble, surtout la nuit, des insectes qui ressemblent furieusement à des cafards. Après mon retour des États-Unis, j’en ai tué plusieurs dans mon appartement, et j’ai décidé qu’il était temps de prendre le taureau par les cornes et d’alerter concierge et gérance.

Après capture et analyse d’une des bestioles, il s’avère que nous n’avons pas affaire à des vilains cafards, mais à des jolies blattes forestières ambrées inoffensives. Elles vivent à l’extérieur et ne se retrouvent à l’intérieur que par mégarde, n’y survivant pas. Je reproduis ci-dessous l’information qui nous a été communiquée (par l’entreprise contactée j’imagine) au sujet de ce petit insecte, puisqu’il ne semble pas se trouver déjà en français sur Internet. J’espère qu’elle pourra être utile à autrui!

Blatte forestière ambrée / Ectobius vittiventris

Une blatte sauvage, qui n’est pas un parasite de l’habitat, est de plus en plus signalée en Suisse romande. On la trouve égarée à l’intérieur des bâtiments, mais elle ne peut survivre sans l’humidité et les conditions qu’elle trouve dans son environnement naturel, jardins ou parcs, sous la végétation. Originellement située dans le bassin méditerranéen de l’Italie à la Turquie, elle était très présente au Tessin ces vingt dernières années.

Au nord des Alpes, elle est en forte augmentation ces dix dernières années, particulièrement en milieu urbain et jusqu’à une altitude de 700 mètres environ. Elle recherche la chaleur des façades ; capable de voler, par temps chaud elle pénètre dans les immeubles par les fenêtres ouvertes. Ces dernières années en Suisse, sa présence sur ou dans des bâtiments a été signalée durant tous les mois de l’année, mais c’est surtout entre juin et novembre que son activité a été observée, avec un maximum en août.

Aucun piège connu ne peut valablement la capturer et l’usage d’insecticide est inutile étant donné que cette blatte est sans danger et meurt rapidement à l’intérieur (un à trois jours maximum). Le seul moyen connu de limiter les incursions de cet insecte dans l’habitat est la pose de moustiquaires.

Le problème réside dans sa ressemblance avec la blatte germanique, redoutable parasite très prolifique bien connu dans la restauration, l’hôtellerie, l’industrie alimentaire et l’immobilier en général. Elle lui ressemble par sa taille. Sa coloration est légèrement plus claire et nous pensons qu’il est important, lors de découverte, de confier sa détermination à un spécialiste éclairé.

Source: I. Landau – H. Baur – G. Müller – M. Schmidt, UGZ ZürichMax Hagner SA

Bloggy Friday de septembre vendredi! [fr]

[en] Friday, meeting of local bloggers in Lausanne, Café de l'Evêché.

Pour une fois, je suis en Suisse, et libre, le premier vendredi du mois — date du traditionnel Bloggy Friday quelque peu négligé ces derniers mois.

Et en plus, Sylvie a pris les devants pour organiser. Allez vite vous inscrire dans les commentaires de son billet!

Rappel: le Bloggy Friday est une rencontre toute à fait informelle de blogueurs du coin (c’est volontairement vague). On se retrouve au Café de l’Evêché, au centre de Lausanne, pour manger une bonne fondue (ou autre chose si le coeur vous en dit). On parle des fois de blogs, souvent d’autre chose. Pas besoin de faire partie d’un “club” ou de montrer patte blanche pour venir (juste une adresse de blog, tout de même).

Je me réjouis de vous voir vendredi!

Bloggy Friday, ce sera jeudi! [en]

[fr] This month (Easter's fault), the traditional Bloggy Friday will take place on Thursday, in Lausanne.

Primo, il y a Pâques, et comme vendredi-saint c’est méchamment férié, notre petite rencontre de blogueurs helvètes aura donc lieu (exceptionellement) un jeudi. Jeudi comme… après-demain, comme d’hab’, à 19h30 au Café de l’Evêché à Lausanne. Entrée gratuite (bon, faut quand même payer sa fondue) et ouverte à tous.

Deuxio, je suis confortablement installée chez mon amie Suw à Londres, et c’est donc Julien Henzelin qui a la gentillesse de servir de Gentil Organisateur ce mois-ci. Filez donc à toute vitesse vous inscrire chez lui!