Stephanie Has a Newsletter [en]

[fr] Voilà, j'ai une newsletter. Je la rédigerai en anglais et en français, et y parlerai principalement de mes activités professionnelles. Je vais certainement radoter, il faut vous y attendre -- mais seulement une à deux fois par mois. Je parlerai aussi des choses que je n'aborde pas dans ce blog. Pourquoi une newsletter? J'y ai longuement réfléchi et écrirai sans doute bien plus à ce sujet dans les semaines à venir.

Je suis curieuse. Quelle est votre réaction? Est-ce que vous vous inscririez à une telle newsletter? Je me réjouis de voir ce que va donner cette expérience.

Taking example on my friend Martin, I decided it was time I had my own newsletter. There’s a lot of thinking behind it which I’ll share here at some point (when I’m less in a hurry).

To answer a few questions:

  • I’ll publish a couple of newsletters per month
  • I’ll talk mainly about my professional life
  • Yes, I might ramble
  • I’ll talk about stuff you won’t find on the blog
  • Not everybody reads blogs, no
  • Yes, you can unsubscribe (it’s managed by Google Groups)
  • Nope, I won’t spam you or give out your e-mail address

If you want to subscribe you can do so using the box below.

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What’s your reaction to this? Would you sign up for such a newsletter, or not — and why?

I’m looking forward to seeing how this experiment goes.

Bloggy Friday vendredi 5 septembre prochain [en]

[fr] Bloggy Friday in Lausanne next Friday, September 5th. Sign up in the comments!

Un petit mot très rapide (car je suis très à la bourre) pour vous confirmer que le Bloggy Friday de septembre aura bien lieu à Lausanne, dès 20h quelque part au centre-ville chez Rony.

Inscrivez-vous dans les commentaires, créez un event Facebook si vous le voulez bien (je pars offline pour le week-end dans une heure, là), faites passer le mot, Tweetez, bref.

On se voit dans une semaine, je me réjouis!

Présents:

C’est sur Facebook, aussi — merci Raph!

Retour en plaine [fr]

Comme ces jours ont filé! On a marché, marché, grimpé, bûcheronné. De retour chez moi, je suis physiquement épuisée, je me suis vidé la tête, et contrairement à il y a trois semaines, je ne me sens pas ralentie, mais plutôt boostée.

Autres vacances, autres gens, autre rythme, autre effet.

J’ai pris des tas de photos, de nouveau. On a eu de la chance avec le temps, même si on s’est fait rincer un peu (au Col des Essets, notamment). Le programme des ces quelques jours en altitude?

Vendredi 15, tronçonnage des troncs d’arbustes coupés il y a trois semaines. Soirée tranquille à jouer (kalah et backgammon).

Samedi 16, départ peu matinal (et malgré le beau temps) pour le Col de la Croix. On a une voiture, on en profite! Une petite grimpette dans les Pyramides de Gypse (histoire de s’échauffer et de se préparer moralement pour l’initiation à la Via Ferrata prévue pour le lendemain… ou le surlendemain), suivie par un petite pique-nique et une autre grimpette (moins d’escalade, plus de dénivellation) jusqu’au Meilleret, avec détour involontaire par l’Encrène.

Ça fait un peu journal de voyage, comme je raconte ça, non? 🙂

On coupe à travers pâturages depuis le Meilleret pour descendre sur le Lac des Chavonnes (fort joli) où un petit restau sympa nous attend (et une tomme de chèvre fraîche sur lit de salade pour moi). On repart pour Bretaye via son lac et une séance course-photos avec les bébés grenouilles qui en habitent les rives.

On continue via le Col de Bretaye pour la promenade “poussette-compatible” jusqu’au Col de la Croix, via Ensex. Nos jambes en ont bien marre, mais on s’arrête toute de même en route pour photographier une amanite tue-mouches. Vers 20h, on est enfin de retour à la voiture.

Une fois les pâtes carbonara avalées, les photos de la journée regardées, et une bonne pile de bois de cheminée brûlée, il est quasi minuit…

Dimanche 17, le temps n’est pas à la Via Ferrata. On part pour Solalex avec le projet de monter à Anzeinde en taxi et puis de faire le tour de l’Argentine (5 heures de marche). A Solalex, on décide de monter à pied à Anzeinde. Il est environ 14h quand on y arrive, et le temps de manger, il est très clair que notre tour de l’Argentine ne se fera pas. En plus, il y a des nuages partout et l’orage menace.

On décide de se limiter au Col des Essets. On se met en route dans une purée de pois qui bouche la vue à 20 mètres, et on se fait rincer propre en ordre une fois au col. Malgré les éclaboussures sur les objectifs, on s’arrête pour prendre des photos, assez longtemps en fait pour que la pluie se calme et que le soleil réapparaisse en compagnie d’un magnifique arc-en-ciel. La vue se dégage complètement. On reste un bon moment à admirer les montagnes d’en haut, et je commence à faire des projets de Col des Chamois (pour une autre fois, hein).

Lundi 18, après un réveil un poil tardif (on a ouvert le Trivial Poursuite la veille au soir), on se met en route pour la fameuse Via Ferrata. Que dire? Il faut regarder les photos. On a renoncé à commencer par le début un peu abrupt (c’était une initiation) pour entamer la route par l’échappatoire. Quelques passages difficiles, un pique-nique avec vue imprenable sur la vallée, et une tyrolienne pour terminer (qui m’a vu faire le singe sur le câble à la fin, la tête en bas et les pieds en l’air, pour pouvoir décrocher ces sacrés mousquetons — la corde de la poulie avait fait des noeuds, du coup je touchais à peine par terre à l’arriveé).

Le soir: taille-haies. Taille-haies. Et le lendemain matin: taille-haies. Le jardin est bien propre.

A voir aussi, les photos de Corinne: premier jour, deuxième jour, troisième jour. Et moi qui lis la carte:

Stephanie lit la carte.

Retour à la montagne [en]

[fr] Back to the mountains. First evening.

Il pleut, il fait gris, et il y a tellement de brouillard qu’on ne voit pas les montagnes d’en face. C’est reparti pour 4-5 jours au chalet, cette fois avec deux connaissances plus récentes, des “gens d’internet” à l’origine, mais que j’ai déjà rencontré “en vrai” (comme disent certains) une ou deux fois.

Quelques appréhensions, pas tant à leur sujet en tant que tel (car je sais déjà qu’ils sont fort sympathiques), mais j’ai peur qu’être avec des gens “du milieu” me rende plus difficile de décrocher complètement comme je l’ai si bien fait la dernière fois.

Les prochains jours me diront si j’avais raison ou non de m’inquiéter. Comme d’habitude, je suppose que la réponse sera non.

J’appréhende aussi également parce que j’ai peur que cette “deuxième expérience” n’égale pas la première, qui était assez époustouflante, et que je sois déçue. C’est moi-même qui tisse ma propre toile, là.

Il est 23h30 à peine et je suis épuisée. Est-ce l’altitude? On n’est qu’à un peu plus de 1000 mètres. Le grand air? “L’effet vacances”?

A nouveau, j’ai dû partir en laissant certaines choses importantes en plan pour Going Solo. Je me rends bien compte que c’est inévitable. Vu la masse de travail et le temps qu’il reste, je ne peux que laisser des choses en plan, faire tarder encore plus des décisions ou actions qui auraient dû être réglées il y a des semaines, ne pas avancer aussi vite que je pourrais, si je veux prendre quelques jours de break.

Et à voir ces derniers jours, c’était juste le bon moment.

Demain, marcher, si le temps le permet.

A Brief Update on Going Solo Leeds [en]

[fr] Des nouvelles de Going Solo Leeds (c'est dans moins d'un mois)!

As I’m about to head to the mountains again for a few days (back Wednesday), here’s a brief update on Going Solo Leeds, which is taking place in less than a month (September 12th).

Did I forget anything?

Twitter Stops Sending SMS in Europe [en]

[fr] Twitter n'envoie dès à présent plus de SMS aux utilisateurs basés hors des Etats-Unis, du Canada, et de l'Inde: trop cher. Oui, ça veut dire que même vos DM ne vous parviennent plus sur votre téléphone. Très déçue et embêtée par ce changement assez important dans l'intégration de mes communications online et offline.

This is a sad day. Twitter has just lost some of its value for me. One very precious feature of Twitter is direct messages. They allow a user to send a private message to another user.

I used to get these messages on my phone, directly by SMS. So, basically, this is giving the nearly 1’500 people following me the possibility to send me a text message without having to know my phone number of have it handy. All they need to know is my username, which is easy: stephtara.

Oh well, we had it coming. Sending out all these text messages was costing Twitter a lot of money, we know that. It couldn’t go on like that. They’ve just stopped sending out text messages from the UK number we non-US people use (via The Next Web blog). You can still send messages by SMS, though.

However, this means that as of today, DM is not an immediate and secure way to reach me anymore.

This is a big crack in my online/offline integration. Twitter allowed my online world to reel me back in or contact me if necessary by reaching me on my phone. This is pretty disruptive and saddening for me.

Twitter tell us they’ll be working on partnerships with phone companies in various countries. You bet Switzerland won’t be high on their list, given the small market here.

And using data? Well, for one, it isn’t “push”, and for two, it’s still mighty expensive here. We don’t all have the data penetration the US has.

Losing “track” was already sad for me, as it allowed me to receive my @replies on my phone, ensuring I didn’t miss any. Now I won’t even be getting my DMs anymore.

And Twitter didn’t even send me a text to let me know — I could be offline in the mountains waiting for a DM that’d never come.

There is a conversation over on Get Satisfaction if you want to join in.

This is the first time a Twitter problem could make me consider switching to another service. The SMS integration was a huge selling point.

Update: I’m not complaining about the fact we can’t get/send SMS for free anymore. I think we were lucky to get all we did, and for so long (I’m amazed this didn’t happen sooner). What I’m really unhappy about though is that this announcement comes without any alternative. I’d pay. See this blog post for an example I would go with. I’m not saying either that I’m going to switch to another service. But the thought crossed my mind, for the first time.

Here We Go Again [en]

[fr] C'est reparti. La course. Vite vite vite. Trop pour une personne. Déceptions. Personnes qui proposent leur aide et se retirent: une composante culturelle? Réduire mes attentes. Y'a encore du boulot.

It’s back. The Urge. The Urge to quickly quickly quickly do this, do that, get on the computer in the morning, do this, finish that, OMG-I-wanted-to-do-it-3-days-ago, here’s my list for today, urgent, urgent, quickly deal with it.

What’s going on? Well, first, the Dip. Those of you who know what I’m talking about will know what I’m talking about. As for the others… well, hey, a little mystery here and there can’t hurt, can it, in this age of public people everywhere. So, the Dip is back, and Deadlines are coming up (I resisted the temptation to say “looming on the horizon” right there).

Deadline 1: Friday morning, I’m heading off to the mountains and my chalet again.

Deadline 2: in a month minus 1 day, it’s Going Solo Leeds.

Busy-busy-busy!

Actually, it’s not astonishing that I feel crunched. Stressed. Running. I’m trying to do more than one person’s work. So, no wonder I can’t keep up.

I’m also learning to not get my hopes up when people offer help. It’s sad to say, but often people are enthusiastic, come forward, and have second thoughts when it comes to actually taking the plunge.

I realised it’s cultural, too: very un-Swiss. I’m not saying there aren’t unreliable Swiss people, but here you expect people to be good to their word. Reliability is very much valued. When somebody says “I want to contribute”, you usually expect them to do so. It also means it’s pretty difficult to find people to say “I’m in”.

I’ve had a few disappointing experiences over the last 6-8 months. In my dark days, it feels like I just can’t rely on anybody — but that’s not true either.

I think it’s a combination of various factors. I’ve noticed amongst my more entrepreneur/Valley/less-risk-averse friends a tendency to talk about lots of projects or “things they’re going to do”, start many things, and then drop a lot, too. Not all that is spoken about happens. “Fail early, fail often.” Be creative with your ideas, talk about them around you, try them out, and let go of them if they don’t seem to catch.

All good.

But I’m not like that at all. I have ideas. I talk about them as “perhaps maybe at some point I might possibly eventually try to start doing this or that”. It’s very difficult for me to make the step to say “I’m going to do this/I’m doing this”. Because when I do, I’m married to the idea. It’s going to happen. Giving up is not an option. (I sometimes do, but it’s agonizing and horribly difficult.) Once I have my mind set on something, I have a really hard time letting go or seeing things differently.

It’s not all cultural.

It’s a mix. Some cultural, and some personal. In a more entrepreneur-oriented culture like the US, I guess you’ll find more people who start things easily, go for it, and turn to something else if it doesn’t work out. In a very cautious and risk-averse culture like Switzerland, well, you don’t bump into that many people with that profile. It’s only recently in my life (these last few years) that I’ve started meeting such people and counting them amongst my friends and network.

On a personal level, well, I’m particularly risk-averse, and (as NNT would say) particularly ill-equipped for dealing with probabilities. When somebody says they’ll do something for me, I know there’s a chance it’ll fall through, but I somehow can’t keep my emotions in line with that intellectual knowledge. I build whole worlds on the sand of people’s words, and forget that they are likely to crumble. When they do, it feels like everybody and everything is letting me down.

Another situation in my life where suffering less seems to depend on my ability to adjust my expectations.

There’s still work.

Démarrer avec Google Reader [en]

[fr] Getting started with Google Reader, for my French readers.

Comme ces temps je n’arrête pas d’initier des gens de mon entourage à Google Reader, je me suis dit, allez, hop, quelques instructions par écrit.

Google Reader, c’est un lecteur RSS (ah oui, c’était en 2003 que j’expliquais ça, un peu trop en avance, pour changer) auquel vous avez accès si vous avez un compte GMail (qui n’en a pas?). En bref, ça permet de centraliser en un seul endroit toutes vos lectures de blogs et de nouvelles.

Dans votre GMail, cliquez sur “Reader” en haut à droite. Ça ressemble à ça:

Google Reader: accueil

Première chose à faire: ajouter un abonnement.

Google Reader: ajouter un abonnement

Définissez (si vous le désirez) un dossier pour votre abonnement. Vous pouvez ainsi séparer vos lectures par centre d’intérêt. C’est utile, car ensuite vous pouvez regarder toutes les “nouveautés” dans une seule catégorie sans vous soucier des autres. Exemples: blogs, mes amis, trucs préférés, nouvelles, horticulture, technique… bref.

Google Reader: s'abonner à un blog

Ajoutez autant d’abonnements que vous voulez:

Google Reader: détail d'ajout d'abonnement

Voilà, c’est aussi facile que ça!

Google Reader: tour du proprio

Au prochain épisode, je vous montrerai comment profiter des fonctionnalités “sociales” de Google Reader, et je vous présenterai Feedly, une extension Firefox qui “habille” Google Reader de tout un tas de trucs sympas (sans compter que c’est beaucoup plus agréable à l’oeil).

Google Reader: changer la langue

A bientôt!

Freecycle est aussi à Lausanne! [en]

[fr] Freecycle exists in Lausanne, too. Instead of throwing stuff away, give it to people who want it.

Grâce à Somebaudy, je découvre FreeLozane, une communauté Freecycle. Freecycle? Un moyen de se débarrasser de ce dont on ne veut plus en le donnant à qui le veut, plutôt qu’en jetant. Pas de troc, pas de vente, rien que du don. Inscrivez-vous — on dirait qu’il n’y a pas beacoup de traffic sur la liste.

Donc, j’en profite:

21 indian perfume bottles on TwitPic

22 (en fait) 7 bouteilles de parfum achetées en Inde mais conservées au sombre et relativement frais (j’en utilise encore et il a bien survécu). Il semble que j’ai trouvé preneuse pour une partie du lot. Ça vaut combien une bouteille comme ça, à votre avis? (2.5ml)

Chariots à dias

8 chariots à dias doubles à peu près pas utilisés

chaussures salomon neuves  on TwitPic

Pas à donner, mais chaussures Salomon super sympa, blanches, taille 41 (peut-être 40 et demie) mais que je ne peux pas porter pour cause d’incompatibilité pied-chaussure. (Je les ai mises 3 fois.) Elles valent 140CHF, je les vends 100CHF — une bonne affaire!

bo on TwitPic

Une boîte à cartes de visite, jolie mais qui ne marche pas pour moi!

J’ai aussi (mais sans photo) des emballages de film 24×36 vides (j’ai collectionné). Bon, puis sûrement d’autres trucs que j’annoncerai sur la liste au fur et à mesure que je les trouve.

J’aime mieux donner que jeter!