Snapchat pour les nuls: l’essentiel pour démarrer [fr]

[en] An introduction to snapchat. Understanding chats and stories.

Snapchat est sur mon radar depuis un moment, mais je vous avoue que je ne captais vraiment pas — ressentant probablement ce que beaucoup de mes clients ressentent face à Twitter! 😉

Steph Snapcode

Le week-end dernier, j’ai eu un déclic, comme on dit, et je crois que j’ai enfin assez pigé pour vous expliquer l’intérêt de la chose. Je suis assez fan!

En très résumé:

  • c’est une application smartphone, point barre
  • ça permet de communiquer individuellement, ou de publier sur l’équivalent d’un “mur” pour tous ceux qui nous suivent (ou un sous-groupe)
  • ça mélange au même endroit texte, photo, vidéo — c’est principalement visuel
  • il y a tout un côté ludique avec des “masques” qu’on peut appliquer sur son visage, en photo ou en vidéo (je ne m’en lasse pas)
  • il n’y a pas d’archives, tout disparaît
  • l’interface n’est pas hyper intuitive…

Si vous ne l’avez pas encore fait, téléchargez snapchat sur votre mobile et créez un compte. Ça se fait directement dans l’application. Snapchat vous proposera spontanément d’ajouter les personnes parmi vos contacts qui ont déjà un compte: faites votre choix!

Regardons un peu plus en détail comment ça marche, histoire de ne pas se perdre.

La base

Quand on ouvre Snapchat, ça ressemble à ça:

Ouverture de SnapchatJ’ai deviné juste, hein? On fait bien cette tête, parce qu’on a une caméra pointée sur nous et on ne sait pas ce qui va se passer.

Avant de jouer avec la caméra (ça vient tout de suite), orientons-nous. En balayant un doigt sur l’écran, on trouve:

  • en haut, notre profil
  • à droite, les “stories” (l’équivalent du “mur” facebook)
  • à gauche, nos contacts pour la messagerie.

On peut aussi arriver sur ces écrans en touchant les icônes correspondantes, en haut au milieu, et en bas sur les côtés. Le petit “1” à droite est une notification m’indiquant qu’une nouvelle “story” (histoire) m’attend.

La caméra

Toucher le bouton prend une photo, appuyer longuement filme en vidéo, pour un temps limité. Jusque-là, rien de sorcier.

Grille de mesureAvant de prendre une photo ou une vidéo, on peut aussi appuyer “longuement” sur son visage. Un petit grillage comme celui-ci le recouvre afin de le mesurer pour l’utilisation des masques.

Vous voyez ensuite apparaître à gauche toute une ribambelle de masques. Ceux-ci changent régulièrement, on dirait. Si vous avez aimé les filtres déformants de Photo Booth dans le temps, vous allez adorer Snapchat! Amusez-vous un peu, puis filmez/photographiez-vous avec le masque que vous voulez.

Nice Tongue Smile Rainbow Feline 30s

Bref 🙂

Une fois la photo prise, de nouvelles possibilités s’ouvrent à vous, via une rangée de boutons en haut et en bas de l’écran.

Mona StephEn haut:

  • la croix, pour mettre à la poubelle votre oeuvre et revenir en arrière
  • les stickers, pour ajouter autant d’emojis que vous voulez; vous pouvez les déplacer avec un doigt, les agrandir (tirer avec deux doigts) et même les faire tourner
  • le texte, pour ajouter un commentaire; on peut aussi le déplacer avec le doigt, et changer la police en touchant à nouveau le bouton texte
  • le crayon, pour gribouiller à la main sur l’image.

En bas:

  • le minuteur, qui règle combien de secondes s’affichera la photo (ça deviendra plus clair quand j’expliquerai comment on construit son histoire)
  • la flèche vers le bas pour sauvegarder votre oeuvre sur votre téléphone
  • le cadre avec le “+” pour ajouter directement la photo à votre story
  • la flèche vers la droite qui vous permet de partager votre photo avec certains destinataires précis.

En balayant à droite et à gauche, vous avez aussi des filtres ou l’affichage d’informations comme le lieu, l’heure, la vitesse…

Essayez!

J'ai mis le paquet

Les stories (histoires)

Ça, c’est là où j’ai coincé pendant un moment. Mais une fois qu’on a compris la logique c’est assez simple. “My Story”, c’est une pile de photos de de vidéos, qu’on voit à la suite. Une montage qui se fait automatiquement: chaque fois qu’on ajoute quelque chose à “My Story”, ça vient se mettre en fin de vidéo.

Snapchat StoriesEt si on regarde une story, ce qu’on voit c’est une suite de moments peut-être un peu hétéroclites, mais dans l’ordre chronologique. C’est sur ça que j’ai bloqué au début: je pensais qu’il fallait expressément faire son propre montage, et je ne trouvais pas comment. Eh bien non, ça se fait tout seul!

Seules les dernières 24 heures d’une story donnée sont visibles. Ce qui est plus ancien est perdu à jamais!

Les stories qu’on n’a pas encore vues en entier se trouvent sous “Recent Updates”. S’il y en a plusieurs, Snapchat va nous les montrer à la suite quand on lance la première. Si on veut aller voir la story entière de quelqu’un en particulier, on va dans “All Stories”. Pour accélérer le défilement, il suffit de toucher l’écran et on passe au plan suivant.

Profil SnapchatOn peut sauvegarder sa propre story, sous forme d’une vidéo unique, mais pas celles des autres.

Donc, pour faire sa story, on enregistre une photo ou une vidéo, et on la rajoute sur la pile. On peut choisir dans les paramètres (écran de profil, en haut quand vous êtes sur la caméra d’accueil de l’app, roue dentée à droite) si notre story n’est visible qu’aux personnes que l’on suite (nos “amis”), à tout le monde, ou bien à un groupe restreint de personnes.

La messagerie (le chat)

Dans la messagerie (à gauche de l’écran principal, glisser encore vers la gauche sur le nom d’un contact pour ouvrir l’écran de conversation) on retrouve “l’appareil photo” décrit ci-dessus. Il est aussi possible de:

  • partager des photos depuis la pellicule de son téléphone
  • lancer une conversation vidéo ou audio, et basculer sans interruption de l’une à l’autre
  • écrire du texte 🙂
  • partager des stickers divers et variés
  • envoyer une courte séquence vidéo en appuyant longuement sur le bouton “appel vidéo” (attention ça part tout seul, une fois lancé rien ne l’arrête, faites vos expériences avec quelqu’un de confiance ;-))

Ce qui est intéressant:

  • dès que vous quittez la fenêtre de conversation, tous les messages disparaissent (bonjour la perte de contexte si on laisse des messages hors-ligne, pensez-y)
  • les captures d’écran sont possibles mais visibles, l’autre est donc informé
  • on peut vraiment mélanger texte, images, vidéo dans une même conversation
  • en appuyant longuement sur un élément de la conversation, on peut le sauvegarder (il ne disparaîtra donc pas à fermeture de la conversation)

Snap Chat 1 Snap Chat 2

Le snapcode

Pour suivre quelqu’un dans snapchat, il faut soit son nom d’utilisateur, soit son numéro de téléphone, soit son adresse e-mail soit… son snapcode.

Le snapcode c’est un peu comme un QR code spécial-snapchat. C’est le carré jaune avec les petits points et le fantôme au milieu. Si vous vous demandiez, comme moi, pourquoi certaines personnes utilisent ça comme photo de profil facebook, voilà pourquoi.

Il suffit de pointer l’appareil photo snapchat sur le snapcode, et d’appuyer (longuement) sur l’écran. Essayez avec le mien dans cet article!

La confidentialité

Une des raisons pour lesquelles on a (en tous cas au début) beaucoup parlé de snapchat, c’est parce qu’il n’y a pas d’archives. C’est l’application qui “ne laisse pas de traces”.

Alors, s’il est vrai qu’il n’y a effectivement pas d’archives, il ne faut pas non plus se lâcher complètement. Il y a toujours moyen d’enregistrer ce qui passe sur un écran, de faire des saisies d’écran, etc.

Attention quand même!

En conclusion

Je n’ai pas été exhaustive (je n’ai pas parlé de Discover, j’ai perso pas croché, en tous cas pour le moment) et je suis en train de faire mes premiers pas sur snapchat, mais j’espère que ce petit tour d’horizon vous donnera l’envie et le courage de vous lancer.

Je trouve très très sympa pour communiquer “au quotidien” avec les gens que je connais (c’est fait pour ça). C’est vraiment pratique de pouvoir balancer un morceau de vidéo quand on discute, plutôt que d’être coincé dans le texte.

J’aime beaucoup les masques, vraiment, et le fait qu’ils changent me donne vraiment envie de garder un oeil dessus afin de ne pas en rater des sympas (c’est le but, je pense).

Les stories ont vraiment été une découverte pour moi, car je suis quelqu’un qui communique en premier lieu par écrit. Avoir un outil qui m’oblige à le faire en vidéos et en images, ça ouvre des horizons que je me réjouis d’explorer (un peu le sentiment que j’avais eu avec Periscope, que je n’ai pas réutilisé depuis l’Inde, tiens… peut-être parce que ça bugait un peu trop à mon goût, et que le workflow pour récupérer les vidéos était laborieux).

S’il y a des coins encore brumeux n’hésitez pas à poser des questions en commentaire ou… à me trouver sur snapchat, si on se connaît!

Mon article sur Twitter dans Le Temps [fr]

[en] I wrote an article about Twitter for a local newspaper. It was published on Monday, and I'm pretty happy about it!

Lundi a paru dans Le Temps Twitter, ou 140 caractères pour raconter sa vie, article écrit par bibi et dont je suis assez contente.

Twitter, ou 140 caractères pour raconter sa vie

J’ai écrit plusieurs articles sur Twitter ici, dès début 2007:

(Il y en a une pile en anglais, mais je ne vais pas tout lister ici — vous pouvez faire vos propres fouilles…)

Il était temps que quelque chose paraisse sur papier.

C’est de la faute à Suw, qui m’a dit il y a quelques temps qu’une de ses décisions “marketing” était de proposer plus d’articles aux médias traditionnels. Du coup, je me suis dit “tiens, moi aussi je devrais faire ça,” et je me suis lancée. Pas évident pour moi d’écrire “pour du papier” (depuis le temps, j’ai l’écriture blogueuse) — mais bon, je m’en suis sortie. J’ai bénéficié d’un bon éditeur, ce qui était pour moi une expérience quasi réparatrice. Je suis assez possessive avec mes mots, et là, j’ai eu le plaisir de relire mon article après édition sans que ce qui avait été modifié ne me frappe. “C’est quelque chose que j’aurais pu écrire,” je me suis dit. Patte discrète de l’éditeur qui a su alléger, condenser, compacter, tout ça sans trahir mon style. Merci.

J’ai eu surtout des retours positifs sur l’article (mes amis sont gentils!) et je me réjouis déjà de refaire la pigiste une fois que mon rythme de vie (la folie depuis 3 semaines) aura un peu ralenti. Des suggestions?

Pour me trouver sur Twitter: je suis @stephtara.

Démarrer avec Google Reader [en]

[fr] Getting started with Google Reader, for my French readers.

Comme ces temps je n’arrête pas d’initier des gens de mon entourage à Google Reader, je me suis dit, allez, hop, quelques instructions par écrit.

Google Reader, c’est un lecteur RSS (ah oui, c’était en 2003 que j’expliquais ça, un peu trop en avance, pour changer) auquel vous avez accès si vous avez un compte GMail (qui n’en a pas?). En bref, ça permet de centraliser en un seul endroit toutes vos lectures de blogs et de nouvelles.

Dans votre GMail, cliquez sur “Reader” en haut à droite. Ça ressemble à ça:

Google Reader: accueil

Première chose à faire: ajouter un abonnement.

Google Reader: ajouter un abonnement

Définissez (si vous le désirez) un dossier pour votre abonnement. Vous pouvez ainsi séparer vos lectures par centre d’intérêt. C’est utile, car ensuite vous pouvez regarder toutes les “nouveautés” dans une seule catégorie sans vous soucier des autres. Exemples: blogs, mes amis, trucs préférés, nouvelles, horticulture, technique… bref.

Google Reader: s'abonner à un blog

Ajoutez autant d’abonnements que vous voulez:

Google Reader: détail d'ajout d'abonnement

Voilà, c’est aussi facile que ça!

Google Reader: tour du proprio

Au prochain épisode, je vous montrerai comment profiter des fonctionnalités “sociales” de Google Reader, et je vous présenterai Feedly, une extension Firefox qui “habille” Google Reader de tout un tas de trucs sympas (sans compter que c’est beaucoup plus agréable à l’oeil).

Google Reader: changer la langue

A bientôt!

Blogs en entreprise, un peu en vrac [fr]

[en] A brief overview of important points to consider/keep in mind when thinking about blogs in a corporate setting. The two posts with my conference notes, How Blogging Brings Dialogue to Corporate Communications and Blogging in Internal Communications, roughly cover this.

Quel est l’essentiel à savoir lorsque l’on commence à s’intéresser aux blogs?

D’abord, que le blog est trois choses:

  • un outil (technologique) permettant de publier très facilement du contenu
  • une culture avec des usages, une histoire, une éthique
  • une stratégie de communication misant sur le dialogue, l’authenticité et la transparence

L’outil lui-même est relativement simple à mettre en place et est gratuit ou presque.

Apprendre à utiliser le blog pour publier des textes est aisé. C’est très similaire (côté processus et interface) à publier un e-mail. C’est entre autres pour cela que le blog est un outil aussi populaire et que “n’importe qui peut en avoir un”.

Pour une entreprise, il vaut la peine d’avoir une personne à l’interne qui soit capable de gérer le blog côté serveur: mises à jour, installation de plugins, adaptation du thème (gabarit) à la ligne graphique désirée, résolution de bugs dus à des changements de version (PHP, base de données) sur le serveur — ça peut arriver.

Maîtriser les fonctions plus complexes de l’outil de blog peut prendre plus de temps: catégories, tags, gestion des commentaires, insertion d’images ou de vidéo, mise en forme, liens, contenu annexe. La plupart des blogueurs devront avoir une partie au moins de ces compétences afin d’être réellement autonomes.

Utiliser un blog comme outil de communication n’est pas une chose naturelle dans le milieu des affaires. Le style d’écriture est différent de ce dont on a l’habitude (assez proche de l’e-mail) et revêt une grande importance. Etre exposé à la critique et aux questions difficiles est quelque chose dont nous protège de façon générale la communication unilatérale. Renoncer à la langue de bois ouvre parfois la porte à des situations difficiles à gérer.

Etre un bon blogueur requiert en fait des compétences relationnelles et humaines assez génériques et qui font souvent partie de la “personnalité” — ou du moins, qui ne sont pas enseignées de façon formelle. Le coaching sur la durée est le meilleur moyen d’apprendre à gérer ces situations dues à la nature conversationnelle du blog.

Installer l’outil et apprendre à l’utiliser, d’un point de vue technique, ce n’est donc que la pointe de l’iceberg. L’investissement financier est minime pour l’outil lui-même, mais il vaut la peine de mettre le paquet pour accompagner le/les blogueurs dans leur apprentissage de la culture propre à ce nouveau média, et de soutenir l’entreprise dans ses difficultés (inévitables) avec une stratégie de communication qui ne correspond probablement pas à ce qu’elle faisait jusque-là.

En cas de réticences budgétaire face au prix d’une accompagnement de qualité sur, disons, une durée de six mois — il est bon de (se) rappeler qu’on investit souvent sans sourciller des dizaines de milliers dans des solutions techniques ou du matériel. Pour un blog, point de cela: l’argent ainsi économisé doit absolument être consacré à la formation et au conseil stratégique par un spécialiste du média.

Le plus possible, on cherchera à faire bloguer des personnes provenant de l’entreprise elle-même. L’efficacité du blog consiste à mettre en relation de vraies personnes: les blogueurs, et les lecteurs, qui peuvent laisser des commentaires, ou vont peut-être publier des réactions sur leur propre blog. Les blogueurs deviennent vite la “vitrine” ou la “face humaine” de l’entreprise. Il est à mon avis très dommage de confier ce rôle à des personnes externes uniquement — il y a là une incompatibilité entre le rôle du blog, qui est de rapprocher, et le fait de confier ce travail à des externes, qui montre qu’on ne veut pas “se mouiller”.

Le blog lui-même, a priori, ne va pas rapporter d’argent. On fait de l’argent “à cause” du blog, non pas “avec”. Le blog apporte visibilité et crédibilité, d’une façon difficile à imiter avec une campagne de publicité ou de marketing “classique”, car elle est basée sur le dialogue et la relation. C’est en discutant avec les gens de notre entourage que nous changeons d’avis, et prenons des décisions. Internet, via les blogs, permet de démultiplier l’effet bouche-à-oreille de la conversation personnelle.

Ces thèses sont développées de façon plus générique dans l’ouvrage The Cluetrain Manifesto (à lire absolument): nos décisions d’achat sont basées sur les expériences de nos amis; personne n’aime qu’on lui “parle contre”, ce que fait habituellement la publicité; nous ne sommes plus dupes, nous savons que la publicité est mensongère. Sur internet, avec les blogs, les forums, les wikis, les réseaux sociaux, ces conversations qui existaient déjà bien avant l’ère d’internet acquièrent un pouvoir supplémentaire en étant sur la place publique numérique.

La communication ne peut pas être contrôlée. Les blogs permettent aujourd’hui à n’importe qui de se faire entendre, si ce qu’il raconte est jugé assez important par ses pairs. On ne peut pas “taire” les gens à coups de communication bien léchée. La langue de bois est montrée du doigt dans les commentaires et les forums de discussion. Internet nous force à renoncer au contrôle absolu de son image et à se jeter à l’eau, à participer aux conversations qui ont déjà lieu à notre sujet, ou à les encourager à venir se passer chez nous.

Pour bloguer il faut être passionné, et c’est quelque chose qu’on ne peut pas “truquer”. Si le coeur n’y est pas, les centaines de personnes du public vont finir par le sentir, un jour ou l’autre — et les gens n’aiment pas la facticité. Le choix des bonnes personnes pour bloguer est donc crucial. Ce n’est pas un travail pour n’importe qui.

Ecrire dans le blog, ce n’est que la moitié du travail. Il faut garder un oeil sur les commentaires, y répondre, modérer parfois. Il faut surtout lire — d’autres blogs sur des sujets apparentés, ce que le public dit au sujet de son entreprise, de ses produits, ou du contenu du blog. Tout cela prend du temps. Cela ne se fait pas en 3 minutes entre deux meetings. Aimer ce dont on parle et être passionné, ça aide.

Idéalement, je l’ai dit, on choisira ses blogueurs parmi ses employés. Il faut tenir compte dans leur emploi du temps qu’il vont passer un certain nombre d’heures par semaine à bloguer, lire des blogs, échanger e-mails et commentaires là autour. S’ils n’arrivent pas à faire leur travail, éviter la solution facile de mettre la faute sur le blog. Chercher la vraie cause, et y remédier.

Voilà… voyez, c’est un sujet sur lequel on peut vite s’étendre. J’en resterai là pour aujourd’hui, non sans vous donner quelques pistes pour explorer plus loin (pas impossible que j’en rajoute après la publication de cet article).

Livres à lire, en anglais:

  • The Cluetrain Manifesto, incontournable et en plus, disponible gratuitement en ligne
  • Naked Conversations, panorama de plus d’une centaines d’utilisations des blogs dans le monde des affaires, de la politique, ou des médias

Livres en français:

  • Blog Story, pour une introduction générale au phénomène et à son histoire
  • Blogueur d’entreprise, que j’ai reçu mais pas encore lu (pour cause de pile de livres) mais qui est tout à fait recommandable, j’en suis certaine

En anglais:

En français:

N’hésitez pas à laisser un commentaire si vous avez quelque chose à ajouter, ou une remarque, ou même une question.

Manuel de survie Twitter pour francophones [fr]

[en] A survival guide to Twitter in French. If you're an English-speaker, head over to the Twitter support site or fan wiki.

Mise à jour 03.2010: Une grande partie de ces instructions (tout ce qui touche aux SMS, en particulier) n’est plus valable aujourd’hui. Par contre, les explications sur la nature de Twitter et son caractère public restent valables.

Cela fait des mois que je veux écrire ce « manuel de survie Twitter pour francophones ». Si vous débarquez (vous êtes pardonnables, ne vous en faites pas), filez vite lire Twitter, c’est quoi ? Explications… ou écouter la Capsule de Pain consacrée à Twitter. Si votre première réaction est de l’ordre de « c’est nul, ce truc ! », vous pouvez encore lire Pas capté Twitter.


En très simple, Twitter est un service qui vous invite à envoyer la réponse à la question “que faites-vous en ce moment?” à vos amis — par internet ou par SMS.

Vous êtes encore là ? Très bien. Voici trois points importants à retenir :

  • avec Twitter, on ne choisit pas à qui on envoie ses messages ; ce sont les destinataires qui choisissent ce qu’ils veulent recevoir
  • Twitter permet de faire la jointure entre le Web et le téléphone mobile ; le service y fonctionne de façon quasi identique
  • Twitter ne devient véritablement intéressant que lorsque l’on est connecté à plusieurs personnes. N’hésitez donc pas à convaincre deux ou trois amis de s’inscrire en même temps que vous.

En pratique, comment est-ce que ça se passe ? Je vais vous présenter deux façons de vous inscrire (sur le Web et par SMS). Ensuite, je vous apprendrai les quelques commandes importantes pour pouvoir utiliser cet outil de façon agréable.

Inscription par SMS

Si vous avez reçu un SMS d’invitation de la part de Twitter, c’est sans doute que l’un de vos amis, déjà utilisateur du service, désire que vous le rejoignez.

Si vous n’avez pas reçu d’invitation, rien n’est perdu! Il vous suffit d’envoyer un SMS au +447624801423 (le numéro de Twitter) avec votre première mise à jour. Twitter vous répondra par un SMS demandant de choisir un nom.

Répondez au SMS de Twitter par un message contenant le nom d’utilisateur que vous aurez choisi. Vos amis utiliseront ce nom pour s’adresser à vous ou vous envoyer des messages directs. Gardez-le simple ! Les messages que vous envoyez à Twitter seront disponibles à l’adresse http://twitter.com/VotreNomD'Utilisateur (voir plus bas, « C’est public ! »).

Ajoutez également le numéro de Twitter à vos contacts.

Attendez le SMS de confirmation de Twitter. (Si vous êtes trop pressés, comme il m’est arrivé, votre deuxième message risque de dépasser le premier, et vous vous retrouverez avec un nom d’utilisateur faisant 15 km de long. On peut le changer par la suite, mais c’est embêtant.) Si le SMS n’arrive pas, je vous suggère de passer directement à l’étape d’inscription sur le Web, que vous devrez faire de toute façon.

Lorsque vous allez finaliser votre inscription sur le site Web et que vous utilisez déjà Twitter, on vous invite à spécifier d’entrée votre numéro de téléphone, qui sera ainsi automatiquement relié à votre compte.

Twitter par SMS

Attention, utiliser le format international de votre numéro de téléphone ! (Pour la Suisse, il commencera avec +41…) La suite de la procédure d’inscription à la même que si vous n’aviez pas encore commencé à utiliser votre téléphone avec Twitter.

Inscription sur le Web

Si vous n’avez pas été invité par SMS, et que vous voulez faire tout ça sur le Web, il faut commencer ici.

Bon, c’est en anglais, mais ce n’est vraiment pas sorcier. Direction le formulaire d’inscription (si vous avez fait l’étape précédente, vous y êtes déjà) :

Twitter / Create an Account

Pas dur, non ? Vous pouvez maintenant vous lancer :

Twitter

Si le coeur vous en dit, ajoutez une photo pour vous représenter et quelques informations supplémentaires.

Activer les SMS

Attention, étape inutile si vous avez commencé à utiliser Twitter depuis votre téléphone mobile.

Pour que tout soit bien, il nous faut ajouter le téléphone mobile. N’ayez crainte, Twitter ne fonctionne pas aux SMS surtaxés. En Suisse en tout cas, recevoir des SMS ne vous coûte rien, et envoyer un SMS à Twitter, même si le numéro de téléphone est anglais, coûte la même chose qu’envoyer un SMS en Suisse.

Twitter: ajouter téléphone

Twitter va vous demander de confirmer votre numéro de téléphone en envoyant un SMS avec un code. Cela évite que des personnes malintentionnées n’utilisent votre numéro de téléphone pour s’inscrire !

C’est public !

Prudence ! Rappelez-vous que les messages que vous envoyez avec Twitter apparaissent sur le Web : n’importe qui peut donc les lire. Même avec un pseudonyme, quelqu’un pourrait un jour vous reconnaître. Tenez-en donc compte.

Vous avez bien entendu la possibilité de protéger vos messages en cochant la case « Protect my updates » sur la page des réglages. Ils ne seront visibles qu’aux personnes qui décident de vous suivre, ce que n’importe qui peut faire sans demander votre autorisation, même si vous avez la possibilité de bloquer certaines personnes après coup et à qui vous aurez donné votre autorisation.

Cela ne rend pas vos messages privés, mais vous donne un peu de discrétion. Gardez à l’esprit que vos mises à jour vont apparaître sur les pages de ceux qui vous suivent, et qu’il est vite fait d’oublier que quelque chose est privé. Une saisie d’écran, c’est si facile!

Comme toujours, donc, les choses « privées » que l’on ne désire pas mettre sous les yeux de tout le monde (inconnus, mais surtout amis) ne devraient pas se mettre sur Internet, sauf dans un espace protégé par un bon mot de passe (et encore…)

Inviter des amis

Plus on est de fous, plus on rit, et plus on est d’amis, plus Twitter montre sa valeur. Inviter donc quelques amis à vous rejoindre, surtout s’ils se connaissent ! Envoyez-leur aussi l’adresse de ce guide de survie pour leur faciliter la tâche.

La formule magique, c’est « invite +417xxxxxxxx », sans les guillemets et en remplaçant le numéro de téléphone par celui de votre ami bien entendu, que vous pouvez envoyer par SMS à Twitter ou bien directement par le Web.

Ils recevront donc un SMS d’invitation de la part de Twitter, auquel ils pourront répondre comme décrit plus haut.

Suivre des personnes déjà inscrites

Si vous connaissez des personnes qui sont déjà chez Twitter, demandez-leur leur nom d’utilisateur. Vous pouvez les ajouter soit en envoyant le message « on nomd’utilisateur » à Twitter, soit en vous rendant sur leur page Twitter (http://twitter.com/nomd’utilisateur) et en cliquant sur le petit bouton « Follow » qui se trouve au-dessous de leur nom :

Twitter -- Follow

Ensuite, cliquer sur le bouton « on » pour activer la réception des messages de cette personne par SMS :

Twitter, SMS on

En cherchant, vous pourrez trouver les annonces officielles Twitter ainsi que les comptes de la joyeuse équipe qui fabrique ce merveilleux outil : biz, ev, jack, blaine, britt… Moi, je suis par ici

Gérer ces satanés SMS

Suivant combien de personnes vous décidez de suivre, vous courez le risque de vous retrouver assez rapidement inondé de SMS — particulièrement si vous comptez parmi vos amis des irrépressibles bavards comme moi. En plus, on a tous des seuils de tolérance aux SMS différents.

Heureusement, Twitter nous donne le moyen de gérer tout ça. Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’il y a une différence entre les personnes auxquelles vous êtes abonnées et les personnes dont vous recevez les notifications.

  • Les messages des personnes auxquelles vous êtes abonnées apparaissent sur votre page d’accueil.
  • Les messages des personnes dont vous recevez les notifications arrivent sur votre téléphone portable.

Il est donc possible de « suivre » ou autrement dit, d’être abonné aux messages de nombreuses personnes, et de garder ainsi un oeil plus ou moins distrait sur leur quotidien ou leurs activités, sans être pour autant noyé sous les SMS. Il est possible de :

  • désactiver les notifications par SMS : « off »
  • réactiver les notifications par SMS : « on »
  • désactiver les SMS de telle heure à telle heure (pendant la nuit par exemple)

De plus, on peut choisir de ne recevoir des notifications que pour certaines personnes. Par exemple, je suis abonnée à près de 200 personnes sur Twitter, mais je ne reçois sur mon téléphone portable que les notifications d’une toute petite dizaine de personnes proches.

On peut donc contrôler, personne par personne, si on veut recevoir leurs notifications par SMS :

  • pour arrêter de recevoir les notifications par SMS d’une certaine personne (par exemple quelqu’un qui parle trop !) : « off nomd’utilisateur »
  • pour commencer à recevoir les notifications par SMS d’une personne (par exemple quelqu’un dont on a auparavant désactivé les notifications mais que l’on désire de nouveau ajouter, au quelqu’un dont on ne reçoit pas habituellement les notifications mais qu’on veut recevoir sur son téléphone portable pour une raison ou pour une autre en ce moment) : « on nomd’utilisateur »

On peut aussi faire ses réglages depuis le Web :

Twitter : following detail

Un petit truc : si vous êtes en train de recevoir les notifications pour beaucoup de personnes, cela peut être fastidieux d’aller les désactiver une à une. La commande « leave all » permet de faire le nettoyage par le vide et de désactiver les notifications de tout le monde. Vous pouvez ensuite ajouter manuellement les quelques personnes dont vous désirez recevoir les notifications par SMS.

Si vous ne recevez pas les notifications d’une personne, mais que vous désirez tout de même recevoir par SMS le dernier message qu’elle a envoyé à Twitter : « get nomd’utilisateur ».

Web, SMS… Et quoi d’autre ?

Que vous utilisiez Mac ou Windows, il y a un petit programme très sympathique que vous pouvez installer (c’est gratuit !) et qui vous donnera directement accès aux messages Twitter des gens auxquels vous êtes abonnés, sans que vous ayez à vous embêter à aller sur leur site Web à chaque fois. Il ressemble un peu aux programmes d’« instant messaging », comme MSN par exemple.

Et la messagerie instantanée ?

Oui… On peut aussi choisir de recevoir les messages Twitter par messagerie instantanée (Jabber, Google Talk). À mon avis, ce n’est intéressant que si vous recevez la messagerie instantanée sur votre téléphone portable, et si ça vous coûte moins cher que des SMS. En Suisse, ce n’est pas encore vraiment le cas.

Sur l’ordinateur, je dirais que c’est plus dangereux qu’autre chose, surtout si les gens que vous suivez sur Twitter sont des gens avec qui vous chattez : vous risquez de ne pas réaliser que le message vient via Twitter, et d’y répondre comme si vous chattiez (en privé !) avec votre ami. Du coup, risque d’envoyer à toutes les personnes qui sont abonnées à vos messages Twitter un message que vous ne destiniez qu’à une seule personne… Ça peut être embêtant !

En plus, si votre client de messagerie instantanée est réglé pour envoyer une auto-réponse, ces auto-réponses risquent d’être envoyées comme messages Twitter… Pas forcément très embêtant, mais ce n’est pas très classe !

Les messages directs

Vous pouvez envoyer à une personne qui vous suit sur Twitter un message direct (privé) : « d nomd’utilisateur texte de votre message ». Attention, vous ne savez pas si cette personne va recevoir votre message sur son téléphone portable ou non !

D’autres questions ?

D’autres questions, quelque chose qui n’est pas clair ? Laissez un mot dans les commentaires je me ferai un plaisir d’y répondre.

Vidéo: le blog de Josef Zisyadis et moi [fr]

[en] In this video, I give the story of how I was contacted by a local politician who hired me to help get him and his team blogging. A few words too about blogging and politics, here in Switzerland.

J’ai parlé du lancement du blog de mon client Josef Zisyadis, mais comme je le sais bien (et je me tue à le répéter), les gens ne lisent pas trop sur le web. Le lien vers cette petite séquence vidéo où j’explique comment j’ai été contactée pour ce mandat, et aussi quel sens cela a pour un politicien de bloguer, aura donc possiblement échappé à la plupart des gens qui transitent par ici. (Sans rapport, mais quand même, Google Analytics, installé récemment, m’indique que 99% des visiteurs de ce site ne reviennent jamais. J’ai du boulot côté fidélisation de la clientèle, on dirait.)

Donc, voici la vidéo, brut de chez brut (zéro préparation, zéro montage si ce n’est un générique). Un grand grand merci à Thierry qui a gentiment accepté de fournir le matériel, de filmer, et même, devant mon angoisse de l’objectif noir, d’improviser quelques questions, transformant la petite séquence en interview. Les deux premières minutes ont été projetées sur grand écran (ouille, mon fond de teint!) lors de la conférence de presse de mercredi.

Et en passant, comme je suis là, voici un petit tour de la couverture blogosphérique du lancement de ce fameux blog (si j’ai oublié quelqu’un, faites signe):

Intégrer coComment sur votre blog [en]

Vous savez probablement que je ne jure que par coComment, dans la genèse duquel j’ai eu la chance de jouer un petit rôle.

Ça sert à quoi?

Ça sert principalement à choses pour l’instant:

  1. collectionner ses commentaires faits sur différents blogs en un seul endroit, comme on peut le faire en les bookmarquant avec del.icio.us, mais de façon bien plus pratique;

  2. voir facilement si quelqu’un d’autre a répondu à un de nos commentaires — mais attention, ceci ne marche pas très bien pour l’instant, car coComment est seulement capable de suivre les commentaires de gens ayant un compte coComment.

S’inscrire

Ouvrir un compte, c’est super facile, il suffit de donner nom et e-mail et de choisir un nom d’utilisateur et un mot de passe.

On notera qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un blog pour trouver une utilité à coComment. Il y a des personnes qui participent activement à la blogosphère à travers leurs commentaires, sans pour autant être blogueurs. CoComment est pour vous!

Rendre coComment plus pratique

Une fois le compte ouvert, coComment vous fournit un bookmarklet, une sorte de lien “favori” que vous pouvez faire glisser dans la barre d’outils de votre navigateur ou dans vos favoris. Ensuite, quand vous laissez un commentaire chez quelqu’un, vous cliquez sur le bookmarklet dans votre navigateur avant de publier le commentaire.

Ça, ça devient très vite barbant. On oublie de cliquer sur le bookmarklet. Du coup, notre commentaire n’apparaît pas sur notre page de conversations coComment. Il paraît qu’on peut maintenant cliquer sur le bookmarklet après avoir envoyé le formulaire, mais personnellement je n’ai pas testé.

Les commentateurs peuvent faire quelque chose pour se simplifier la vie. Les auteurs de blogs peuvent faire quelque chose pour simplifier la vie de leurs commentateurs.

Plus pratique pour moi qui laisse des commentaires

Pour ça, il faut utiliser Firefox. Deux solutions s’offrent à vous.

  1. Le script GreaseMonkey. Ce script vous évite de devoir cliquer sur le bookmarklet à chaque fois. Vous pouvez donc oublier coComment quand vous laissez vos commentaires, c’est tout automatisé. Sympa, non?

    Script, GreaseMonkey, chinois? Pas peur, instructions pour les nuls. D’abord, installer l’extension GreaseMonkey (non, ça fait pas mal). Pour ça, on commence par s’assurer que l’on a Firefox 1.5 (voir lien ci-dessus), puis on va sur le site de l’extension GreaseMonkey. Une fois là -bas, on cliquera sur le lien qui s’appelle “Install GreaseMonkey” dans la deuxième moitié de la page. On dit oui à tout ce que nous demande Firefox (oui on veut installer l’extension, oui, oui, OK on ferme le navigateur et on le rouvre…)

    Ensuite, on clique sur ce lien-ci qui va installer le script et on dit également oui à tout.

    Voilà ! C’est fait 🙂

  2. L’extension Firefox pour coComment. Même chose que plus haut, on clique sur le lien, on clique ensuite sur “Download coComment! for Firefox”, et on dit oui, amen à tout ce que nous demande notre navigateur chéri. L’extension me paraît moins utile que le script GreaseMonkey, car elle ne fait qu’ajouter le bookmarklet coComment au menu contextuel qui apparaît lors d’un clic droit (ou long clic pour les personnes qui ont un Mac). Mais il paraît que c’est utile parfois lorsque les commentaires sont dans une fenêtre pop-up. Personnellement, j’ai vu que ça ne marchait pas tout le temps, mais j’essaie quand même.

    Note: j’ai désactivé l’extension Firefox vu que je ne l’utilise pas. A vous de voir si elle vous sert.

Plus pratique pour moi qui ai un blog

Si vous avez un blog, vous pouvez faire en sorte que vos commentateurs, s’ils ont un compte coComment, n’aient pas besoin de cliquer sur le bookmarklet, même s’ils n’ont pas installé l’extension GreaseMonkey décrite ci-dessus. Cool, non? Pour cela, il faut rajouter du code javascript pas trop loin du formulaire de commentaires.

Le code est fourni à la fin de ce billet par Merlin. Comme j’utilise une version assez standard de WordPress, je n’ai eu personnellement qu’à copier-coller ce qui était donné dans le billet. Bon, faut encore voir si ça fonctionne 😉 Attention, donc, si vous avez un autre outil de blog, il faut peut-être adapter le code. Cet autre billet explique plus précisément quel rôle joue chaque ligne et vous aidera certainement à modifier le code si nécessaire.

Attention! Pour le moment, j’arrive pas à faire marcher ça. Plus de nouvelles dès que c’est réglé. Ça marche maintenant, mais il faut faire attention aux guillemets malins pas si malins quand ils sont dans du code

Oui mais… DotClear, autres plateformes de blog, etc…?

Pas de panique. Premièrement, il faut savoir que les gars de coComment bossent d’arrache-pied pour augmenter le nombre de plate-formes avec lesquelles ils sont compatibles. Si votre blog n’est pas compatible avec coComment, mais que vous pouvez modifier votre formulaire de commentaires, tout n’est pas perdu.

Le dernier billet que j’ai mentionné explique comment faire. Il faut donc rajouter un certain nombre de lignes javascript dans le formulaire, et voilà ! Je suis certaine que DotClear fournit toutes les informations nécessaires mais avec d’autres noms que ceux auxquels s’attend coComment. Il suffirait donc qu’un(e) DotClearien(ne) prenne le taureau par les cornes et adapte le javascript aux variables de DotClear (la version publiée utilise les variables WordPress). Si vous faites ce travail, rendez-le public sur votre blog, et je lancerai un lien dans se direction! Qui s’y colle?

Mise à jour: Nicolas propose en commentaire le code à intégrer à DotClear. Quelqu’un peut confirmer que ça marche?