Skype: mon ordinateur comme centrale téléphonique [fr]

[en] Get Skype. Get SkypeOut credit so that you can call normal phones. Get a SkypeIn number so that normal phones can call you, and cancel your landline if you're paying anything for it.

OSX people: if you're into podcasting or you need to keep track of things said to you over the phone, try Call Recorder and then buy it so that you'll get the free video call recorder upgrade when it comes out. Install Skype Caller to call and message people directly from your Address Book, and Skype beta 2.5 so that you can send those text messages. Actually, better than that if you're an Orange.ch customer: get the Orange.ch SMS dashboard widget so you can message for free.

J’ai le cable depuis quelques jours. J’ai résilié l’ADSL.

Dans la foulée, j’ai payé 45.- CHF pour avoir un numéro SkypeIn. 45.-, c’est la taxe annuelle. J’ai donc résilié mon abonnement Swisscom (25.- par mois? vous voulez rire?). Avis à la population: dès fin janvier mon numéro fixe actuel ne sera plus valable, et vous pourrez me joindre au 044 586 4274. (Attention: vous ne pouvez résilier votre ligne fixe et garder l’ADSL, c’est pour ça qu’il faut le câble!)

Oui, c’est ça, un numéro SkypeIn: un numéro de téléphone suisse où l’on peut me joindre depuis n’importe quel téléphone, mais que je reçois sur mon ordinateur. (On voit aussi tout de suite l’avantage: il me suit dans mes déplacements.) Bien sûr, il y a une boîte vocale — et comme c’est gratuit, je vous annonce déjà la bonne nouvelle: j’y écouterai mes messages bien plus consciencieusement que ceux sur ma boîte vocale mobile.

Ensuite, j’ai acheté pour 15.- CHF de crédit SkypeOut. C’est comme ça qu’on paie les appels sortants (on paie d’avance, et avec 15.-, on a environ 8-9 heures d’appels internationaux, suivant où on appelle). Précisons que pour appeler depuis son ordinateur vers un téléphone normal (donc avec SkypeOut) il n’est pas nécessaire d’avoir pris un numéro de téléphone Skype (SkypeIn). Le compte gratuit suffit, tant qu’on achète du crédit (et au prix que ça coûte, on aurait tort de s’en priver).

En août 2005, Skype comptait 50 millions de noms d’utilisateur enregistrés.

Très joli tout ça, me direz-vous, mais il faut donc garder son ordinateur allumé en tous temps. Pas un problème pour moi puisque c’est déjà le cas, mais je comprends que nous ne vivons pas tous sur la même planète numérique. Rassurez-vous, il y a une solution (mais ça coûte un peu d’argent): un téléphone Skype wifi. Un téléphone Skype, c’est comme un téléphone normal, sauf qu’au lieu de le brancher sur le réseau téléphonique à l’aide d’une prise, il se connecte sur le reseau téléphonique Skype via la connection internet. La plupart des téléphones Skype se branchent sur l’ordinateur via la prise USB (donc il faut laisser son ordinateur allumé). Certains sont sans fil, d’autres avec (et là, franchement, à mon humble avis, autant utiliser un casque et avoir les mains libres).

Un téléphone wifi, par contre, se connecte tout seul à internet via une borne wifi (c’est ce qu’on utilise pour avoir internet “sans fil” à la maison). Le pack proposé par Skype contient même la borne wifi, si vous n’en avez pas. (Ensuite, côté argent, faites le calcul en regardant combien vous économiserez sur les frais d’abonnement Swisscom…)

Troisième étape: installé, testé et acheté Call Recorder, un petit utilitaire Skype qui permet d’enregistrer appels et messages vocaux. Très utile pour faire des interviews par Skype (il enregistre les deux côtés de la conversation sur des canaux séparés, ce qui facilite l’édition), ou pour retrouver des infos mal notées (instructions pour arriver quelque part, heure de rendez-vous, etc.). Ça sert aussi à se rendre compte (dans mon cas) à quel point son accent vaudois est fort (grands dieux!).

En plus, il enregistrera bientôt la vidéo, car Skype, c’est pas juste pour la voix, c’est pour l’image aussi — vous ne saviez pas? Vidéophonie gratuite et sans frontières, c’est plutôt cool, je trouve. Oh, puis ça permet de chatter, bien sûr. Bon, le plus simple, c’est que je vous aiguille sur la liste des fonctionnalités de Skype. Parmi celles-ci, j’attire encore votre attention sur l’envoi de SMS pour pas très cher, car c’est plus sympa à taper avec un clavier qu’avec les touches du téléphone. Sur Mac, vous devrez installer Skype beta 2.5 pour avoir accès à cette fonction.

Ah oui, j’oubliais: j’ai installé Skype Caller, un plugin gratuit pour le carnet d’adresses d’OSX et qui permet d’appeler directement les gens de votre répertoire depuis l’intérieur du carnet d’adresses (ctrl+click > Appel Skype). Ça permet aussi d’envoyer des SMS directement…

Côté SMS, j’ai encore plus intéressant que Skype (merci Barzi). Si vous roulez avec OSX et que vous êtes client Orange, installez immédiatement le widget Orange.ch SMS. Il loge dans votre Dashboard (la boule noire juste à côté de l’icône du Finder dans le Dock, que vous n’utilisez peut-être jamais — si vous êtes comme moi). Entrez les coordonnées de votre compte Orange.ch (vérifiez sur le site d’Orange si vous n’êtes plus sûr des données), tapez le nom ou le prénom de la personne à laquelle vous voulez envoyer un SMS, cliquez sur l’icône “Carnet d’adresses” qui se trouve à côté, et le numéro de la personne s’affichera automatiquement dans le champ. Ne reste plus qu’à composer un SMS et à l’envoyer.

Que demande le peuple?

Stamm Genilem sous les projos [fr]

[en] Spoke briefly at a networking event this evening. Almost froze up on stage (try cramming a general talk about blogs in business in 4 minutes, and then speaking with huge spotlights in your face which don't let you see the public at all). Didn't get a chance to say that if blogging is technically rather easy, mastering it as a media and a culture is more difficult. That's why blogging classes make sense, particularly if you're looking to use your blog "seriously" (business, politics) and can't afford to mess up too much as you learn.

Il y a un peu plus de deux mois, je découvrais ce qu’était un Stamm Genilem. Il faisait froid.

Aujourd’hui, je me suis retrouvée sous les projecteurs pour un brève présentation des blogs. Quatre misérables petites minutes! Si vous me connaissez un peu, vous savez que la concision n’est pas mon point fort. Moi qui ai l’habitude d’avoir tout l’espace que je désire à disposition sur mon blog, et de blablater durant une heure ou plus lorsque je parle en public…

Quelques réflexions un peu un vrac:

  • ne pas compter sur le bon fonctionnement de la technologie pour sa présentation
  • si on fait parler des gens qui ont un ordinateur à piloter (ou pire, une connexion internet!) pour accompagner leur présentation, prévoir un micro “sans les mains” (je le mets où, le micro, pendant que je pianote à l’ordi?)
  • beaucoup de personnes présentes dont l’activité tourne autour d’un site web ou de la fabrication de sites…
  • 4 minutes, c’est court
  • un spot, c’est éblouissant
  • quand on voit pas à qui on parle, c’est flippant
  • j’ai passé très près du “blanc du bac” (= crise de panique muette accompagnée de paralysie) environ une minute après le début de la présenation, mais Dieu merci il paraît que personne n’a rien vu
  • très sympa de voir tous ces gens que je connaissais déjà, et de discuter avec de nouvelles personnes
  • blogs et Stamm, il y a vraiment un point de rencontre: réseautage (dynamique très similaire à mon avis)
  • pour savoir ce qu’on dit de vous: tapez le nom de votre entreprise ou d’un événement dans Technorati, par exemple (qui parle de Stamm Genilem)
  • toujours en encore surprise de ce que beaucoup de choses concernant l’utilité des blogs et les dynamiques qu’ils permettent de créer aillent aussi peu de soi pour la majorité des gens; ceci n’est pas une critique à l’égard des gens en question, mais plutôt une critique que je m’adresse à moi-même: j’oublie sans cesse toujours, malgré tout, à quel point les blogs représentent un choc culturel.

Qu’est-ce que j’ai dit au sujet des blogs? En deux mots, que leur importance aujourd’hui est symptomatique de l’importance du tournant que prend (qu’a pris!) le web, pour devenir un média conversationnel. L’ère de la main-mise de certains sur l’information est révolue (médias, dirigeants, personnages publics). Le blog est un outil qui permet une publication techniquement facile et à peu de frais, et qui crée des relations entre auteur du blog et lecteurs (clients, public, partenaires…) C’est un outil de réseautage via internet, une porte qu’on peut ouvrir sur le web vivant d’aujourd’hui, et qui nous permet de faire entendre ce qu’on a offrir ou communiquer. Une image: du bouche-à-oreilles aux amphétamines.

Ce n’est pas exactement ce que j’ai dit, bien sûr, mais ça allait dans cette direction. J’ai aussi parlé du tailleur-blogueur londonien. Je n’ai pas parlé de la démo foirée de reconnaissance vocale de Vista, mais si j’avais eu un peu plus de temps…

Une chose que je n’ai pas dite du tout et que je regrette, c’est que même si on met en avant la facilité avec laquelle on peut publier quelque chose grâce à un blog (et le fait que n’importe qui peut aller sur WordPress.com et ouvrir son blog — si vous me lisez et que vous n’en avez pas, filez tout de suite en ouvrir un histoire d’essayer, et donnez-nous l’adresse en commentaire), bloguer ne va pas de soi. C’est un nouveau média à appréhender, et qui l’est d’autant plus difficilement que nous en avons une expérience passive très limitée. C’est une culture à apprendre, et dans laquelle on ne s’immerge souvent pas sans choc culturel.

Tout le monde doit apprendre à bloguer. Allez regarder les premiers billets que j’écrivais quand j’ai ouvert ce blog, pour rire. Si on fait un blog pour son propore plaisir, alors on peut sans autre apprendre sur le tas. Les erreurs sont de peu de conséquence. Si le blog ne décolle pas, on se découragera peut-être, mais ça n’aura pas d’impact grave (quoique, psychologiquement, suivant la situation et nos motivations…). Par contre, si c’est son entreprise qui est en jeu, ou bien sa carrière politique, il est normal de se sentir un peu frileux.

Donc, page de pub: primo, il y a le cours du Centre Patronal sur les blogs. Inscrivez-vous.. Rectification: le cours sur “comment faire un site web facilement et sans prise de tête, en profitant de surfer sur la Vague 2.0 le Web 2.0 pour augmenter sa visibilité en tirant parti de la puissance de réseau d’internet” (c’est bon, vous pouvez respirer). Oui je sais, je la ramène souvent avec ce cours (vous pouvez donc en déduire qu’il reste des places). Si vous avez des idées plus originales pour le faire connaître, je suis preneuse.

Deuxio, c’est pour ça qu’on loue les services des gens qui s’y connaissent (bibi entre autres) quand on se lance dans l’aventure, bêtement. N’hésitez pas à prendre contact, et on verra si je peux vous aider ou vous aiguiller vers quelqu’un qui peut.

Voilà, fini la pub. Vous pouvez aller vous coucher. (Et moi aussi, accessoirement.)

Lettre signature: pas d'accusé de réception [fr]

[en] I just learned that the signature lettre I sent to France (a client who isn't paying me) will not allow me to know if it's been received or not: tracking stops at the border. I should have sent a letter with a delivery receipt. Guess all I have to do now is send the letter again.

Vilaine surprise tout à l’heure à la poste: une lettre signature, envoyée vers la France, ne me donne pas la possibilité de savoir si le destinataire a signé pour la recevoir. (J’ai un client français qui ne paie pas et reste muet face à mes mails, donc avant de sortir l’artillerie lourde je désire quand même avoir l’assurance qu’il a bien eu de mes nouvelles.)

Une lettre signature, en Suisse, permet maintenant de savoir si elle a été reçue par le destinataire. Si le destinataire est en France, par contre, le suivi s’arrête à la frontière. J’étais un peu surprise: le principe de la lettre signature n’est-il pas de pouvoir savoir si le destinataire l’a effectivement reçue? Eh non. La lettre signature permet simplement de faire des recherches si elle n’arrive pas à destination.

Pour être certain que votre mauvais payeur hors de Suisse a bien reçu votre ultime sommation, il vous faut donc demander un accusé de réception, qui coûte trois francs de plus.

Super. Je vais pouvoir aller renvoyer ma lettre.

Skype and Address Book Integration Failure [en]

[fr] Première tentative pour intégrer le carnet d'adresses OSX et Skype: échec. Quelqu'un a une piste à me donner?

This post about integrating Skype and Address Book had me hopeful, but unfortunately installing Skype Caller failed silently for me. Maybe it’s just too old.

Ideally, I’d like to either see my Address Book contacts with phone numbers in my Skype contact list, or be able to one-click-call via Skype from inside Address Book.

Pointers, anybody?

Jeudi: Stamm Genilem sur le fameux web 2.0 à Lausanne [fr]

[en] A local networking meetup for entrepreneurs. Topic: web2.0 (blogs and podcasts and stuff). I'll be (briefly) talking. It's on Thursday evening. It's in Lausanne. It's free.

Quand j’ai sondé un peu autour de moi pour savoir comment mieux nommer notre fameux cours sur les blogs en entreprise, on m’avait dit qu’il fallait parler de réseaux et de “web2.0” pour attirer l’oeil. (Oui oui je vous casse les oreilles avec ce cours. J’arrêterai quand il sera plein. Inscrivez-vous, 28 novembre et 5 décembre.)

Eh bien, voici donc un Stamm Genilem sur le web2.0, où l’on parlera de blogs et de podcasts, surtout.

Stamm Genilem web2.0

Euh… un Stamm Genilem? En très bref: Genilem est un organisme de soutien aux créateurs d’entreprises. Ils organisent régulièrement des Stamms, où l’on vient écouter une assez brève présentation sur un sujet (ici, notre fameux web2.0), et surtout rencontrer des gens. Vive le networking! Pour le faciliter, chacun a l’occasion de se présenter en une quinzaine de secondes brièvement. On a donc une vague idée de qui on côtoie avant de se retrouver autour de l’apéro. C’est très sympa, venez donc nombreux! C’est ouvert à tous et gratuit, il suffit de s’inscrire auprès de cathy at genilem point ch ou au 022 817 37 77.

Ah oui. J’aurai un petit moment lors de ce Stamm pour vous parler de blogs, et de leur intérêt/importance pour les créateurs d’entreprises. (C’est marqué sur l’affiche, je crois.)

A jeudi, donc?

Et tout ça, c’est la faute à Thierry et Ramon. 😉

Code Face-Lift [en]

Version 0.8.1 was deployed this morning. It doesn’t bring you any new functions, but hopefully better stability (it was majorly a code face-lift).

Let us know if you notice anything funky! (As in, particularly, things that used to work and don’t work anymore — we know it can sometimes happen.)

technorati tags:,

Initially posted on the coComment blog.

Bad Sector in Memory [en]

[fr] Je recherche un billet sur lequel je n'arrive plus à mettre la main, qui disait (ou en tout cas me faisait penser) que le blogueur-consultant qui fait du "consulting gratuit" sur son blog par moment (critiquant tel ou tel service) est en fait en train d'encourager ses clients potentiels à lui donner un mandat avant qu'il ne l'ouvre en public (enfin, si son blog est assez connu), puisque son feedback sera ainsi traité en interne.

Quelqu'un voit lequel c'est?

Maybe you can help me. I read this recently but unfortunately did not file it in either my shared reading items or my del.icio.us links. It was a piece, written by a blogger who is also a consultant (I thought it was Euan or Stowe, but I can’t find the post on either of their blogs)), which basically said that one possible (perverted?) effect of giving “free consulting” on one’s blog (like I’ve done a couple of times) is that if your profile as a blogger is high enough, it could be an incentive for prospective clients to bring you in before you start blogging about their flaws/faults in public.

This was based on the realisation that as a blogger/consultant, one tends to not be so public about stuff the client has to improve, as the input goes to them internally and gets treated there. I’ve clearly noticed that since I’ve been working for coComment.

So, can anybody tell me where I read this? What is my source?

Blogs et politique: ça bouge… [fr]

[en] Local politicians are slowly getting into blogging. I have gripes with the "blogging platform" which was set-up, and I wonder if any training or coaching was provided to those who wanted it to help them get started.

Brève visite sur monElection.ch. L’idée est bonne. Bravo à ceux qui se lancent. Par contre, arghl, à nouveau, une “plate-forme de blogging” qui semble un peu “faite maison”. Du coup, on se retrouve avec une page “blog” qui ne ressemble pas trop à un blog, puisqu’elle contient une liste d’articles (organisés antéchronologiquement, certes), pour lesquels on peut lire de précieuses informations comme l’heure de publication et le nombre de commentaires, mais auxquels il manque le plus important: le contenu. Eh oui, si la plupart des blogs montrent le texte intégral de leurs articles en première page, ce n’est pas pour rien. (Je fais court pour la même raison que d’habitude, donc le détail de l’explication attendra.)

Pour la dernière fois, s’il vous plaît, utilisez WordPress, qui est à mon avis le meilleur outil de blog sur le marché, ou au moins quelque chose du même acabit. WordPress existe aussi en version hébergée (idéal pour ouvrir votre blog en moins de deux minutes, histoire d’essayer) et en version multi-utilisateurs. Ah oui, et en français. Bon, assez de pub, mais vraiment, je vous en prie, cessez de prétendre vouloir développer votre propre plate-forme de blogging, à moins que vous ne soyez dans ce business depuis plusieurs années (celui des outils de blog). (Disclaimer: je ne dis pas que la RSR a fait développer un outil “100% maison”, mais par contre ce n’est pas un outil de blog que je reconnais. Et oui, je sais que monElection.ch est plus que juste une plate-forme de blogging. Mais à première vue, rien qu’on ne puisse développer en construisant sur wp-mu par exemple.)

Donc, je râle, comme à mon habitude (j’ai eu un week-end fatiguant, mes excuses), mais dans l’ensemble, bonne initiative que cette plate-forme.

Une interrogation cependant: j’ai entendu dire (par deux sources différentes qui l’avaient entendu à la radio) que Martine Brunschwig Graf avait exprimé un peu de malaise face à ce média nouveau pas forcément évident à appréhender — pas un malaise connotation négative, mais plutôt qu’elle avait besoin de bien réfléchir à ce qu’elle allait écrire sur ce blog (mes excuses si je déforme ses paroles, c’est un peu du téléphone arabe). Toujours est-il que ça me paraît un souci bien légitime. Le blog résout un problème technique, mais ne vous aide pas à déterminer quoi y écrire.

Outre offrir une plate-forme d’expression aux candidats, leur a-t-on aussi offert de quoi apprendre à l’utiliser? Quelques tuyaux, ficelles, un kit de survie ou peut-être même une formation? Car oui, bloguer c’est super facile, mais quand il y a des enjeux (professionnels, politiques, d’image) ce n’est plus aussi simple. Tout le monde n’a pas la science infuse.

Pour cette raison, Anne Dominique et moi donnons un cours sur l’utilisation de cet outil (le blog) en entreprise (j’en profite pour faire de la pub, hein, il reste des places pour le prochain cours qui a lieu les 28 novembre et 5 décembre prochains; la première volée de participants a été ravie du cours). Faut-il mettre sur pied un cours similaire pour ceux et celles qui désirent utiliser le blog comme outil de communication politique?

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Well, good news, Carme. They can. Go to your conversations page, by clicking on the coComment logo the Firefox extension adds on the bottom right of your browser window, for example. Then expand the conversation your comment is in by clicking on its title. And expand the comment you made which you want to tag, also by clicking on it.

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