Snapchat pour les nuls: l’essentiel pour démarrer [fr]

[en] An introduction to snapchat. Understanding chats and stories.

Snapchat est sur mon radar depuis un moment, mais je vous avoue que je ne captais vraiment pas — ressentant probablement ce que beaucoup de mes clients ressentent face à Twitter! 😉

Steph Snapcode

Le week-end dernier, j’ai eu un déclic, comme on dit, et je crois que j’ai enfin assez pigé pour vous expliquer l’intérêt de la chose. Je suis assez fan!

En très résumé:

  • c’est une application smartphone, point barre
  • ça permet de communiquer individuellement, ou de publier sur l’équivalent d’un “mur” pour tous ceux qui nous suivent (ou un sous-groupe)
  • ça mélange au même endroit texte, photo, vidéo — c’est principalement visuel
  • il y a tout un côté ludique avec des “masques” qu’on peut appliquer sur son visage, en photo ou en vidéo (je ne m’en lasse pas)
  • il n’y a pas d’archives, tout disparaît
  • l’interface n’est pas hyper intuitive…

Si vous ne l’avez pas encore fait, téléchargez snapchat sur votre mobile et créez un compte. Ça se fait directement dans l’application. Snapchat vous proposera spontanément d’ajouter les personnes parmi vos contacts qui ont déjà un compte: faites votre choix!

Regardons un peu plus en détail comment ça marche, histoire de ne pas se perdre.

La base

Quand on ouvre Snapchat, ça ressemble à ça:

Ouverture de SnapchatJ’ai deviné juste, hein? On fait bien cette tête, parce qu’on a une caméra pointée sur nous et on ne sait pas ce qui va se passer.

Avant de jouer avec la caméra (ça vient tout de suite), orientons-nous. En balayant un doigt sur l’écran, on trouve:

  • en haut, notre profil
  • à droite, les “stories” (l’équivalent du “mur” facebook)
  • à gauche, nos contacts pour la messagerie.

On peut aussi arriver sur ces écrans en touchant les icônes correspondantes, en haut au milieu, et en bas sur les côtés. Le petit “1” à droite est une notification m’indiquant qu’une nouvelle “story” (histoire) m’attend.

La caméra

Toucher le bouton prend une photo, appuyer longuement filme en vidéo, pour un temps limité. Jusque-là, rien de sorcier.

Grille de mesureAvant de prendre une photo ou une vidéo, on peut aussi appuyer “longuement” sur son visage. Un petit grillage comme celui-ci le recouvre afin de le mesurer pour l’utilisation des masques.

Vous voyez ensuite apparaître à gauche toute une ribambelle de masques. Ceux-ci changent régulièrement, on dirait. Si vous avez aimé les filtres déformants de Photo Booth dans le temps, vous allez adorer Snapchat! Amusez-vous un peu, puis filmez/photographiez-vous avec le masque que vous voulez.

Nice Tongue Smile Rainbow Feline 30s

Bref 🙂

Une fois la photo prise, de nouvelles possibilités s’ouvrent à vous, via une rangée de boutons en haut et en bas de l’écran.

Mona StephEn haut:

  • la croix, pour mettre à la poubelle votre oeuvre et revenir en arrière
  • les stickers, pour ajouter autant d’emojis que vous voulez; vous pouvez les déplacer avec un doigt, les agrandir (tirer avec deux doigts) et même les faire tourner
  • le texte, pour ajouter un commentaire; on peut aussi le déplacer avec le doigt, et changer la police en touchant à nouveau le bouton texte
  • le crayon, pour gribouiller à la main sur l’image.

En bas:

  • le minuteur, qui règle combien de secondes s’affichera la photo (ça deviendra plus clair quand j’expliquerai comment on construit son histoire)
  • la flèche vers le bas pour sauvegarder votre oeuvre sur votre téléphone
  • le cadre avec le “+” pour ajouter directement la photo à votre story
  • la flèche vers la droite qui vous permet de partager votre photo avec certains destinataires précis.

En balayant à droite et à gauche, vous avez aussi des filtres ou l’affichage d’informations comme le lieu, l’heure, la vitesse…

Essayez!

J'ai mis le paquet

Les stories (histoires)

Ça, c’est là où j’ai coincé pendant un moment. Mais une fois qu’on a compris la logique c’est assez simple. “My Story”, c’est une pile de photos de de vidéos, qu’on voit à la suite. Une montage qui se fait automatiquement: chaque fois qu’on ajoute quelque chose à “My Story”, ça vient se mettre en fin de vidéo.

Snapchat StoriesEt si on regarde une story, ce qu’on voit c’est une suite de moments peut-être un peu hétéroclites, mais dans l’ordre chronologique. C’est sur ça que j’ai bloqué au début: je pensais qu’il fallait expressément faire son propre montage, et je ne trouvais pas comment. Eh bien non, ça se fait tout seul!

Seules les dernières 24 heures d’une story donnée sont visibles. Ce qui est plus ancien est perdu à jamais!

Les stories qu’on n’a pas encore vues en entier se trouvent sous “Recent Updates”. S’il y en a plusieurs, Snapchat va nous les montrer à la suite quand on lance la première. Si on veut aller voir la story entière de quelqu’un en particulier, on va dans “All Stories”. Pour accélérer le défilement, il suffit de toucher l’écran et on passe au plan suivant.

Profil SnapchatOn peut sauvegarder sa propre story, sous forme d’une vidéo unique, mais pas celles des autres.

Donc, pour faire sa story, on enregistre une photo ou une vidéo, et on la rajoute sur la pile. On peut choisir dans les paramètres (écran de profil, en haut quand vous êtes sur la caméra d’accueil de l’app, roue dentée à droite) si notre story n’est visible qu’aux personnes que l’on suite (nos “amis”), à tout le monde, ou bien à un groupe restreint de personnes.

La messagerie (le chat)

Dans la messagerie (à gauche de l’écran principal, glisser encore vers la gauche sur le nom d’un contact pour ouvrir l’écran de conversation) on retrouve “l’appareil photo” décrit ci-dessus. Il est aussi possible de:

  • partager des photos depuis la pellicule de son téléphone
  • lancer une conversation vidéo ou audio, et basculer sans interruption de l’une à l’autre
  • écrire du texte 🙂
  • partager des stickers divers et variés
  • envoyer une courte séquence vidéo en appuyant longuement sur le bouton “appel vidéo” (attention ça part tout seul, une fois lancé rien ne l’arrête, faites vos expériences avec quelqu’un de confiance ;-))

Ce qui est intéressant:

  • dès que vous quittez la fenêtre de conversation, tous les messages disparaissent (bonjour la perte de contexte si on laisse des messages hors-ligne, pensez-y)
  • les captures d’écran sont possibles mais visibles, l’autre est donc informé
  • on peut vraiment mélanger texte, images, vidéo dans une même conversation
  • en appuyant longuement sur un élément de la conversation, on peut le sauvegarder (il ne disparaîtra donc pas à fermeture de la conversation)

Snap Chat 1 Snap Chat 2

Le snapcode

Pour suivre quelqu’un dans snapchat, il faut soit son nom d’utilisateur, soit son numéro de téléphone, soit son adresse e-mail soit… son snapcode.

Le snapcode c’est un peu comme un QR code spécial-snapchat. C’est le carré jaune avec les petits points et le fantôme au milieu. Si vous vous demandiez, comme moi, pourquoi certaines personnes utilisent ça comme photo de profil facebook, voilà pourquoi.

Il suffit de pointer l’appareil photo snapchat sur le snapcode, et d’appuyer (longuement) sur l’écran. Essayez avec le mien dans cet article!

La confidentialité

Une des raisons pour lesquelles on a (en tous cas au début) beaucoup parlé de snapchat, c’est parce qu’il n’y a pas d’archives. C’est l’application qui “ne laisse pas de traces”.

Alors, s’il est vrai qu’il n’y a effectivement pas d’archives, il ne faut pas non plus se lâcher complètement. Il y a toujours moyen d’enregistrer ce qui passe sur un écran, de faire des saisies d’écran, etc.

Attention quand même!

En conclusion

Je n’ai pas été exhaustive (je n’ai pas parlé de Discover, j’ai perso pas croché, en tous cas pour le moment) et je suis en train de faire mes premiers pas sur snapchat, mais j’espère que ce petit tour d’horizon vous donnera l’envie et le courage de vous lancer.

Je trouve très très sympa pour communiquer “au quotidien” avec les gens que je connais (c’est fait pour ça). C’est vraiment pratique de pouvoir balancer un morceau de vidéo quand on discute, plutôt que d’être coincé dans le texte.

J’aime beaucoup les masques, vraiment, et le fait qu’ils changent me donne vraiment envie de garder un oeil dessus afin de ne pas en rater des sympas (c’est le but, je pense).

Les stories ont vraiment été une découverte pour moi, car je suis quelqu’un qui communique en premier lieu par écrit. Avoir un outil qui m’oblige à le faire en vidéos et en images, ça ouvre des horizons que je me réjouis d’explorer (un peu le sentiment que j’avais eu avec Periscope, que je n’ai pas réutilisé depuis l’Inde, tiens… peut-être parce que ça bugait un peu trop à mon goût, et que le workflow pour récupérer les vidéos était laborieux).

S’il y a des coins encore brumeux n’hésitez pas à poser des questions en commentaire ou… à me trouver sur snapchat, si on se connaît!

Blog ou forum? [fr]

[en] I write a weekly column for Les Quotidiennes, which I republish here on CTTS for safekeeping.

Chroniques du monde connecté: cet article a été initialement publié dans Les Quotidiennes (voir l’original).

Une question revient souvent autour de moi: quelle est la différence entre un blog et un forum? Oui, il y en a une.

C’est à la fois une différence éditoriale, et une différence d’outil. Le lien entre ces deux différences, c’est un peu comme la poule et l’oeuf — on va éviter de se casser la tête dessus.

Si le format superficiel d’un blog ou d’un forum paraît similaire, voici quelques différences fondamentales:

  • le blog a un auteur (ou des auteurs) clairement distinct des lecteurs-commentateurs
  • sur un forum, chacun peut lancer un sujet, et c’est la discussion qui s’ensuit qui occupe le devant de la scène — tout le monde est au même niveau
  • les commentaires sur un blog ont clairement un autre statut que les articles principaux qui en forment la base
  • sur un forum, c’est la voix de la communauté qui émerge, alors que sur un blog, c’est celle de l’auteur, commentée parfois par les lecteurs
  • le blog a un niveau d’ordre (d’organisation) plus élevé que le forum, en général
  • si le forum est un lieu pour discuter et échanger, le blog reste un lieu pour publier du contenu, avec droit de commentaire et de réponse.

Les outils (CMS) que l’on utilise pour mettre en place un blog ou un forum ne sont pas les mêmes, techniquement, même si parfois les fonctionnalités semblent se rejoindre. WordPress, par exemple, est clairement un outil de blog, et pas de forum, alors que phpBB est un outil de forum, et non de blog.

J’espère que ces quelques points auront aidé à clarifier la distinction entre forum et blog. Malgré sa popularité dans le discours des gens et des médias, le blog reste assez mal compris et grand nombre de craintes qui lui sont liées prennent racine dans la confusion avec le forum, ou pire… avec le chat.

Blogs et politique: ça bouge… [fr]

[en] Local politicians are slowly getting into blogging. I have gripes with the "blogging platform" which was set-up, and I wonder if any training or coaching was provided to those who wanted it to help them get started.

Brève visite sur monElection.ch. L’idée est bonne. Bravo à ceux qui se lancent. Par contre, arghl, à nouveau, une “plate-forme de blogging” qui semble un peu “faite maison”. Du coup, on se retrouve avec une page “blog” qui ne ressemble pas trop à un blog, puisqu’elle contient une liste d’articles (organisés antéchronologiquement, certes), pour lesquels on peut lire de précieuses informations comme l’heure de publication et le nombre de commentaires, mais auxquels il manque le plus important: le contenu. Eh oui, si la plupart des blogs montrent le texte intégral de leurs articles en première page, ce n’est pas pour rien. (Je fais court pour la même raison que d’habitude, donc le détail de l’explication attendra.)

Pour la dernière fois, s’il vous plaît, utilisez WordPress, qui est à mon avis le meilleur outil de blog sur le marché, ou au moins quelque chose du même acabit. WordPress existe aussi en version hébergée (idéal pour ouvrir votre blog en moins de deux minutes, histoire d’essayer) et en version multi-utilisateurs. Ah oui, et en français. Bon, assez de pub, mais vraiment, je vous en prie, cessez de prétendre vouloir développer votre propre plate-forme de blogging, à moins que vous ne soyez dans ce business depuis plusieurs années (celui des outils de blog). (Disclaimer: je ne dis pas que la RSR a fait développer un outil “100% maison”, mais par contre ce n’est pas un outil de blog que je reconnais. Et oui, je sais que monElection.ch est plus que juste une plate-forme de blogging. Mais à première vue, rien qu’on ne puisse développer en construisant sur wp-mu par exemple.)

Donc, je râle, comme à mon habitude (j’ai eu un week-end fatiguant, mes excuses), mais dans l’ensemble, bonne initiative que cette plate-forme.

Une interrogation cependant: j’ai entendu dire (par deux sources différentes qui l’avaient entendu à la radio) que Martine Brunschwig Graf avait exprimé un peu de malaise face à ce média nouveau pas forcément évident à appréhender — pas un malaise connotation négative, mais plutôt qu’elle avait besoin de bien réfléchir à ce qu’elle allait écrire sur ce blog (mes excuses si je déforme ses paroles, c’est un peu du téléphone arabe). Toujours est-il que ça me paraît un souci bien légitime. Le blog résout un problème technique, mais ne vous aide pas à déterminer quoi y écrire.

Outre offrir une plate-forme d’expression aux candidats, leur a-t-on aussi offert de quoi apprendre à l’utiliser? Quelques tuyaux, ficelles, un kit de survie ou peut-être même une formation? Car oui, bloguer c’est super facile, mais quand il y a des enjeux (professionnels, politiques, d’image) ce n’est plus aussi simple. Tout le monde n’a pas la science infuse.

Pour cette raison, Anne Dominique et moi donnons un cours sur l’utilisation de cet outil (le blog) en entreprise (j’en profite pour faire de la pub, hein, il reste des places pour le prochain cours qui a lieu les 28 novembre et 5 décembre prochains; la première volée de participants a été ravie du cours). Faut-il mettre sur pied un cours similaire pour ceux et celles qui désirent utiliser le blog comme outil de communication politique?

Le coComment nouveau est arrivé [fr]

[en] With the new coComment extension activated, browse to this article by 24heures. Click on the coComment logo once. Don't spill your coffee.

Je parlerai plus longuement de la nouvelle version de coComment qui vient d’être déployée (après l’annonce officielle, par exemple), mais je tenais à vous montrer ceci avant de filer à Paléo.

  1. Avec un navigateur FireFox (ou Flock! muni de la magnifique extension coComment, rendez-vous sur la page de l’article 24heures sur les blogs. *Edit: version archivée ici on dirait.
  2. Remarquez que le logo coComment en bas à droite devient orange. (Au lieu de bleu.)
  3. Cliquez sur le dit logo, une fois, avec le bouton de gauche.
  4. Lisez et extasiez-vous!

(Je n’en dit pas plus, il faut essayer. Oui, ça marche partout. Dingue.)

Intégrer coComment sur votre blog [en]

Vous savez probablement que je ne jure que par coComment, dans la genèse duquel j’ai eu la chance de jouer un petit rôle.

Ça sert à quoi?

Ça sert principalement à choses pour l’instant:

  1. collectionner ses commentaires faits sur différents blogs en un seul endroit, comme on peut le faire en les bookmarquant avec del.icio.us, mais de façon bien plus pratique;

  2. voir facilement si quelqu’un d’autre a répondu à un de nos commentaires — mais attention, ceci ne marche pas très bien pour l’instant, car coComment est seulement capable de suivre les commentaires de gens ayant un compte coComment.

S’inscrire

Ouvrir un compte, c’est super facile, il suffit de donner nom et e-mail et de choisir un nom d’utilisateur et un mot de passe.

On notera qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un blog pour trouver une utilité à coComment. Il y a des personnes qui participent activement à la blogosphère à travers leurs commentaires, sans pour autant être blogueurs. CoComment est pour vous!

Rendre coComment plus pratique

Une fois le compte ouvert, coComment vous fournit un bookmarklet, une sorte de lien “favori” que vous pouvez faire glisser dans la barre d’outils de votre navigateur ou dans vos favoris. Ensuite, quand vous laissez un commentaire chez quelqu’un, vous cliquez sur le bookmarklet dans votre navigateur avant de publier le commentaire.

Ça, ça devient très vite barbant. On oublie de cliquer sur le bookmarklet. Du coup, notre commentaire n’apparaît pas sur notre page de conversations coComment. Il paraît qu’on peut maintenant cliquer sur le bookmarklet après avoir envoyé le formulaire, mais personnellement je n’ai pas testé.

Les commentateurs peuvent faire quelque chose pour se simplifier la vie. Les auteurs de blogs peuvent faire quelque chose pour simplifier la vie de leurs commentateurs.

Plus pratique pour moi qui laisse des commentaires

Pour ça, il faut utiliser Firefox. Deux solutions s’offrent à vous.

  1. Le script GreaseMonkey. Ce script vous évite de devoir cliquer sur le bookmarklet à chaque fois. Vous pouvez donc oublier coComment quand vous laissez vos commentaires, c’est tout automatisé. Sympa, non?

    Script, GreaseMonkey, chinois? Pas peur, instructions pour les nuls. D’abord, installer l’extension GreaseMonkey (non, ça fait pas mal). Pour ça, on commence par s’assurer que l’on a Firefox 1.5 (voir lien ci-dessus), puis on va sur le site de l’extension GreaseMonkey. Une fois là -bas, on cliquera sur le lien qui s’appelle “Install GreaseMonkey” dans la deuxième moitié de la page. On dit oui à tout ce que nous demande Firefox (oui on veut installer l’extension, oui, oui, OK on ferme le navigateur et on le rouvre…)

    Ensuite, on clique sur ce lien-ci qui va installer le script et on dit également oui à tout.

    Voilà ! C’est fait 🙂

  2. L’extension Firefox pour coComment. Même chose que plus haut, on clique sur le lien, on clique ensuite sur “Download coComment! for Firefox”, et on dit oui, amen à tout ce que nous demande notre navigateur chéri. L’extension me paraît moins utile que le script GreaseMonkey, car elle ne fait qu’ajouter le bookmarklet coComment au menu contextuel qui apparaît lors d’un clic droit (ou long clic pour les personnes qui ont un Mac). Mais il paraît que c’est utile parfois lorsque les commentaires sont dans une fenêtre pop-up. Personnellement, j’ai vu que ça ne marchait pas tout le temps, mais j’essaie quand même.

    Note: j’ai désactivé l’extension Firefox vu que je ne l’utilise pas. A vous de voir si elle vous sert.

Plus pratique pour moi qui ai un blog

Si vous avez un blog, vous pouvez faire en sorte que vos commentateurs, s’ils ont un compte coComment, n’aient pas besoin de cliquer sur le bookmarklet, même s’ils n’ont pas installé l’extension GreaseMonkey décrite ci-dessus. Cool, non? Pour cela, il faut rajouter du code javascript pas trop loin du formulaire de commentaires.

Le code est fourni à la fin de ce billet par Merlin. Comme j’utilise une version assez standard de WordPress, je n’ai eu personnellement qu’à copier-coller ce qui était donné dans le billet. Bon, faut encore voir si ça fonctionne 😉 Attention, donc, si vous avez un autre outil de blog, il faut peut-être adapter le code. Cet autre billet explique plus précisément quel rôle joue chaque ligne et vous aidera certainement à modifier le code si nécessaire.

Attention! Pour le moment, j’arrive pas à faire marcher ça. Plus de nouvelles dès que c’est réglé. Ça marche maintenant, mais il faut faire attention aux guillemets malins pas si malins quand ils sont dans du code

Oui mais… DotClear, autres plateformes de blog, etc…?

Pas de panique. Premièrement, il faut savoir que les gars de coComment bossent d’arrache-pied pour augmenter le nombre de plate-formes avec lesquelles ils sont compatibles. Si votre blog n’est pas compatible avec coComment, mais que vous pouvez modifier votre formulaire de commentaires, tout n’est pas perdu.

Le dernier billet que j’ai mentionné explique comment faire. Il faut donc rajouter un certain nombre de lignes javascript dans le formulaire, et voilà ! Je suis certaine que DotClear fournit toutes les informations nécessaires mais avec d’autres noms que ceux auxquels s’attend coComment. Il suffirait donc qu’un(e) DotClearien(ne) prenne le taureau par les cornes et adapte le javascript aux variables de DotClear (la version publiée utilise les variables WordPress). Si vous faites ce travail, rendez-le public sur votre blog, et je lancerai un lien dans se direction! Qui s’y colle?

Mise à jour: Nicolas propose en commentaire le code à intégrer à DotClear. Quelqu’un peut confirmer que ça marche?