Canicule: mes trucs pour rester au frais chez soi ou dans son espace coworking [fr]

[en] Archive of my weekly French-language "technology advice column".

Ma newsletter hebdomadaire “Demande à Steph” est archivée ici pour la postérité. Chaque semaine, un tuyau ou une explication touchant à la technologie numérique, ou une réponse à vos questions! Inscrivez-vous pour recevoir directement la prochaine édition. Voici l’archive originale. Et la page Facebook!

Une fois n’est pas coutume, un truc de geeks qui n’a rien à avoir avec le web, les smartphones, ou les ordis pour “Demande à Steph“. Et puis on n’est pas samedi, mais je vous ai bien négligés ces dernières semaines, alors je tente de me rattraper.

Voici comment garder votre appart/maison/bureau/studio au frais durant la canicule (et simplement, quand il fait chaud):

  • fermer complètement toutes les fenêtres dès que l’air extérieur est plus chaud que l’air intérieur (tendre le bras par la fenêtre pour voir, et ne pas se laisser avoir par les “airs” qui peuvent donner une sensation de fraîcheur trompeuse)
  • ouvrir complètement toutes les fenêtres dès que l’air extérieur est plus frais que l’air intérieur (idem)
  • baisser les stores ou fermer les volets (en gardant les fenêtres fermées!) dès que le soleil menace de briller à l’intérieur

Ça paraît contre-intuitif, non, de fermer les fenêtres quand il fait chaud? On veut pas des courants d’air, justement? Alors le problème avec les courants d’air, c’est qu’ils nous donnent une sensation de fraîcheur (en soi c’est bien) mais si l’air avec lequel on fait les courants est plus chaud (c’est souvent le cas), on est en fait en train d’amener plein d’air chaud à l’intérieur et de réchauffer la pièce… Pas top.

Solution? Le ventilateur… ça permet de faire de l’air sans laisser entrer l’air chaud du dehors par les fenêtres.

Un extra? Si vous n’avez pas la clim, tester la “clim du pauvre”, qui utilise le fait que l’évaporation de l’eau est une réaction physique qui consomme de la chaleur, et donc refroidit son environnement (c’est pour ça que transpirer nous rafraîchit ou qu’on a froid quand on est mouillé).

On met un linge mouillé sur le ventilateur: le vent de celui-ci accélère l’évaporation et donc la production de frais. On peut aussi simplement suspendre des tissus mouillés un peu partout, ou mettre des bassines d’eau (mais attention aux moustiques).

Je fais ça depuis des années à l’eclau (si vous êtes à Lausanne et que votre lieu de travail est trop chaud, l’eclau vous ouvre d’ailleurs ses portes cette fin de semaine) et dans mon appart, et ça marche vraiment bien! Ne partez donc surtout pas travailler en laissant vos fenêtres ouvertes et vos stores ouverts. Et n’oubliez pas de boire!

Pitching: Don’t Assume I’ll Be Interested, and Some Advice [en]

[fr] Comme blogueuse, j'ai malheureusement l'habitude qu'on m'approche avec des infographies et autres contenus "pour mes lecteurs". Ahem. N'importe qui ayant passé plus de 4 minutes sur mon blog devrait vite repérer que mon business n'est pas la reproduction du travail d'autrui.

La nouvelle tendance, c'est les startups et autres entrepreneurs du coin qui me contactent, en tant que gestionnaire de l'eclau, pour me pitcher leurs services -- et idéalement, les vendre aux membres.

Ce qui me dérange souvent dans ces approches, c'est qu'au lieu de demander si une telle démarche ferait sens, on semble partir du principe que bien sûr, ça va intéresser les gens/m'intéresser. Du coup, quelques conseils (un peu à l'arrache) sur comment procéder mieux.

As a blogger, I’m used to getting emails telling me about a fascinating infographic or a great new service that I should be eager to tell my readers about. These emails usually get ignored, or in the case of the worst offenders who follow-up aggressively when they get no reply, spammed.

Recently, I have been faced with an annoying new trend: as a coworking space owner, I am starting to receive pitches (sometimes by e-mail, generally by phone) from local start-ups or entrepreneurs who are convinced that their product or service is ideal for the members of eclau.

Sailing. Race.

Honestly, nobody likes being pitched. On the other hand, I am aware that I sometimes contact people to try to interest them in stuff that I’m doing. For example, I have spent a large part of the last two days telling people about a workshop I am holding in Geneva next week, and which is not full yet. Am I being the annoying person pitching them?

Examining the way I phrase things has led me, I think, to pinpoint what is so annoying with these pitches that I’m getting. They assume that what they have to offer is interesting, to me or the members of my coworking space. They’re not asking. It’s pushy. It’s “I’d like to come and show my product” or “this will be of interest to your readers”. Not “what do you think?” or “would this make sense?” or “just in case”.

It feels like the objective is to convince me there is a match. Oh, you know me or my coworking members better than I do? Half the time, to be honest, it’s so far off the mark that it’s clear proper homework has not been done, and that weakens the whole approach. If you have to talk me into something, it’s probably not that great a match, specially if I get the feeling you’re not really listening to me.

It’s hard to find the right balance between pitching too aggressively and staying in the shadows. I get it. How do I try and do it?

  • I do my homework — or if I can’t, or haven’t, I ask the other person if they think it’s a match.
  • I try and put myself in the other person’s shoes. What is in it really for them, besides what I would like there to be? I try and forget about my goals and think only of theirs.
  • I aim to inform rather than sell. Ask questions and listen rather than “talk at”.
  • If I want to tell the other person about something, and I don’t really expect them to see the point at this stage, I’ll do my best to be upfront about the fact that I’m asking them a favour (their time) to hear me out, instead of trying to pass it off as something that’s in their interest.
  • Often, I’m asking people I know if they might know people who could be interested in whatever I’m doing. If they are themselves, they’ll certainly tell me, but I’m not assuming they are.
  • As a general rule, I am generous with my knowledge and time and happy to help people I know out. I do it because it’s in my nature, but it does have the advantage that when I’m asking for something, I’m not (I hope!) coming across as the person who’s always wanting and never giving.

That’s it, off the top of my head. I’m sure I don’t manage to do things “perfectly” all the time, but I do my best to be respectful of other people’s needs and time.

How do you approach this? If you get pitched and it’s not your job to get pitched (you’re not a VC or somebody who relies on pitches), what are the things that put you off, and what advice would you give to approach you?

Printemps chargé [fr]

[en] What's keeping me busy professionally this spring.

Pas beaucoup d’activité sur ce blog ces temps, mais beaucoup d’activité dans ma vie. A quoi je m’occupe, du coup?

  • Principalement, je m’occupe du blog communautaire Phonak qu’on a lancé en début d’année. Un grand projet qui me plaît beaucoup! Je cherche d’ailleurs des contributeurs: en anglais, sur ce qui touche à l’audition, l’appareillage, la surdité, etc… pas besoin d’être client Phonak (je ne le suis d’ailleurs pas) ni même appareillé pour en parler. Je suis donc de temps en temps du côté de Zurich, et je suis même allée à Budapest le mois dernier pour présenter le projet à l’occasion d’un colloque marketing interne.
  • Je travaille toujours avec l’équipe social media d’Orange, sur des choses un peu moins visibles et montrables, mais tout aussi intéressantes.
  • Deux mandats de formation ce printemps, dédiés exclusivement au blog — un pour la HEP, l’autre pour CREADIGITAL. Je suis ravie de pouvoir faire ça de façon un peu plus approfondie.
  • L’eclau va bien, de nouveaux membres nous rejoignent, et je suis allée à Genève pour présenter brièvement le “premier espace coworking de Suisse” (à ma connaissance) lors d’un RezoFirst.

Pour répondre aux questions non posées de ceux qui suivent un peu: la formation SMSCL que je co-dirigeais au SAWI, c’est terminé. Les accréditations blogueurs pour la conférence LeWeb, également.

Dans deux semaines ça va se calmer. Là, j’ai un peu la honte: j’ai lancé à mes étudiantes (sisi, toutes des femmes) HEP un challenge “3 articles par semaine”. Et je n’ai moi-même pas réussi à le tenir! Il faut faire preuve d’un peu d’humilité, parfois…

Coworking: Fixed Desks or Hot-Desking? [en]

[fr] A l'occasion de la conférence Coworking Europe, j'ai pris part à un panel discutant des avantages/inconvénients des postes fixes ou mobiles.

I was on a panel at Coworking Europe about fixed desks versus hot-desking. When I opened eclau, I had a vision for it based on how Citizen Space had been set up. Mid-2008, Citizen Space was my ur-coworking-space. I was in contact with Chris and Tara and had spent a little time at the space over the summer 2007 during my stay in San Francisco.

It quickly became apparent to me that eclau’s architecture (and possibly Lausanne’s business culture) was not working out well with my desire to have a heart of fixed-desk resident coworkers.

Eclau has very few walls that are not interrupted by pipes, radiators, or windows, making it difficult to install desk+bookcase combos that most people needing a fixed desk required.

Also, people who came to visit for a fixed desk often turned out to be either people who wanted to store a lot of stuff in the space, or who wanted a “real office” and were just trying to save on the costs.

After a year or two, eclau counted only a couple of fixed desks, and way more “hot-desking” members. Roughly two years after opening, eclau 2.0 re-focused the offer on free seating, making fixed desks an extra option available to existing members. So far, nobody has actually got around to taking the fixed desk option.

That’s for my story.

One interesting idea that emerged from the panel was that coworking space managers are trying to maximize the returns for the space they have. This is kind of an alien idea to me, as I don’t earn a living with eclau — I just want it to “not cost me anything”. The debate over fixed vs. flexible desks brought us to speak of our price plans and business models, which tend to reflect how important revenue is to the space manager. Clearly, if you’re trying to make a living out of your coworking space, or if you’re making a living doing something else, the way you approach these issues will be quite different.

At eclau, I don’t really worry that summer months are “empty”. Or Fridays. Of course it’s nicer when you’re not alone when you come to work at the coworking space. But from a financial perspective it doesn’t change anything for me, because I don’t sell desk space, or time in the space, or services. People sign up to be members, for six months or a year minimum, and the yearly membership fee is spread over 12 months. So people still pay for the space in July/August, even if they’re on holiday. They’re paying to be part of the community. Not because they occupy a seat.

This fits with my vision of coworking as “community/people first”. For me the desk renting business is the business that business centers are in.

Some argue that the type of price plan I propose is not flexible. On the contrary, I see it as very flexible. The membership fee is low, because all I’m looking to do is cover my costs. Once you’re a member, you have a key, and come whenever you want. Complete flexibility.

And the rather serious commitment required of full members is balanced with an “occasional member” offer which is virtually free (tip jar) for those who want to come less than three times a month.

I also believe in keeping things dead simple. Want to be a member? Here’s how it works. You don’t need to agonize over which price plan to choose, or wonder if you want to drop in at the coworking space today and use up some of your credit. Once you’re a member, the only thing that determines whether you come or not is your need of a place to work for the day.

Now of course, if I were trying to make a living (or at least money) out of eclau, I would be doing things very differently. Because on a given day, there are a lot of empty desks at eclau. So clearly, I’m not maximizing my revenue from the space. But that’s not my objective. (Which brings us to the other session I co-held at Coworking Europe, about the criteria of success for coworking.)

Bloggy Friday, #back2blog, et l'eclau [fr]

[en] Motivating these days: Bloggy Friday, still going strong after all these years; #back2blog challenge, picked up by 20 or so bloggers; and eclau, the coworking space I manage in Lausanne, which turns 4 today.

Je fais partie de ces personnes qui vit sa vie en ayant le sentiment de ne jamais avoir assez de temps. Oh, je suis lucide. J’ai autant de temps que tout le monde, je sais que c’est plutôt que j’ai du mal à prioriser, hiérarchiser, décider, me frustrer.

Like a crazy hoarder I mistake the root cause of my growing mountain of incomplete work. The hoarder thinks he has a storage problem (when he really has a ‘throwing things away problem’). I say I am ‘time poor’ as if the problem is that poor me is given only 24 hours in a day. It’s more accurate to say… what exactly? It seems crazy for a crazy person to use his own crazy reasoning to diagnose his own crazy condition. Maybe I too easily add new projects to my list, or I am too reluctant to exit from unsuccessful projects. Perhaps I am too reluctant to let a task go, to ship what I’ve done. They’re never perfect, never good enough.

On Task Hoarding and ToDo Bankruptcy (Leon Bambrik)

Donc, je fais plein de trucs, et pas juste des trucs qui rapportent de l’argent, et ces temps, j’avoue être particulièrement motivée par ces “activités non lucratives”.

Le Bloggy Friday continue son bonhomme de chemin après toutes ces années — on était une douzaine hier soir. J’ai pris conscience il y a quelques mois que malgré l’échelle assez modeste de cette rencontre (entre 5 et 10 personnes par souper, une fois par mois), elle avait permis à de belles amitiés et des relations d’affaires de naître, au fil des années. C’est ce genre de chose qui me motive à continuer.

Sur un coup de tête, j’ai lancé le “Back to Blogging Challenge” (#back2blog) qu’une vingtaine de personnes (dépassant toutes mes espérances!) est en train de relever. Il y a une super énergie, on lit les articles des autres, on commente… cette excitation palpable me rappelle mes premières années de blogueuse. Ça me fait particulièrement plaisir de voir qu’il y tant des blogueurs chevronnés que débutants qui y prennent part (y compris une poignée d’étudiants de la formation SAWI sur les médias sociaux!) et qu’on y blogue en au moins cinq langues!

Finalement l’eclau (Espace Coworking LAUsanne), qui fête ses 4 ans aujourd’hui et se porte extrêmement bien: grande variété de professions représentées, personnes lumineuses et passionnées, excellente entente et riches échanges entre les coworkers, bon équilibre entre “possibilité de travailler” et “possibilité de socialiser”, et un lunch mensuel qui commence à prendre son rythme de croisière et trouver sa place dans nos vies.

Merci à vous tous sans qui ces petites activités communautaires n’existeraient pas!

#back2blog challenge (5/10):

Indépendants, lisez (et faites lire) le blog de l'eclau! [fr]

[en] I'm writing about freelance life in French on the eclau blog.

Vous le savez, j’ai ouvert en novembre 2008 un espace coworking, l’eclau (premier de Suisse!), après avoir organisé en mai de la même année une conférence pour indépendants, Going Solo. (Oui je sais, le site est plein d’avertissements, faut que je règle ça. Oups.)

En tant qu’indépendante, la façon dont on mène sa vie d’indépendant est un sujet qui me fascine. Comment on s’organise, comment on gère sa vie et ses clients, comment on se construit en tant que professionnel…

J’écris sur ces thématiques assez régulièrement sur le blog de l’eclau. Il faut lire le blog de l’eclau, oui oui! Et dire à vos amis indépendants de le lire! Le compte Twitter de l’eclau est un peu moins actif, mais il tweete chaque article du blog à publication, ce qui vous donne une chance de les voir. Sinon, il y a toujours la possibilité de s’abonner par e-mail pour être sûr de ne pas rater d’article.

Pour vous mettre l’eau à la bouche, voici les articles un peu “vie indépendante” que j’y ai publié:

Sur le feu: une réflexion sur comment se positionner en tant que “patron” face à ses clients, et une autre idée pour donner un bol d’air frais à son cerveau (faire du troc de temps avec un collègue).

Bonne lecture!

 

 

Pêle-mêle de début juillet [fr]

[en] A bunch of random stuff.

Je n’arrive pour le moment pas à m’organiser pour prendre le temps de bloquer “correctement”. Je vous fais du coup le coup (!) de l’article “nouvelles en vrac”. Old-style.

Quintus au balcon sur fond de tomates

C’est le moment d’acheter votre billet pour la conférence Lift à Genève les 6-7-8 février 2013, avant que le prix ne prenne l’ascenseur. Lift, c’est à ne pas manquer. (Si vous avez participé à une édition précédente de Lift, vous avez reçu un code pour le prix “super early bird” de 625 CHF, valable encore un jour ou deux! Ne laissez pas passer le délai!)

C’est aussi le moment, si le coworking est quelque chose qui vous parle, de prendre votre billet pour Coworking Europe, qui aura lieu cette année à Paris les 8-9-10 novembre. Je suis à l’affiche d’un des panels du premier jour.

La Muse ouvre les portes de son espace lausannois, avec pique-nique tous les mardis.

Toujours au chapitre coworking, il y a de la place à l’eclau, tant pour des indépendants/freelance que des startups. Venez visiter!

J’ai pris part pour la première fois à En ligne directe, émission de la RTS qui démarre la veille au soir par un débat sur Twitter (hashtag #EnLD), repris dans le direct du matin avec des invités. Je trouve le concept génial. Le sujet du soir où je suis restée pendue à Twitter (plus que d’habitude) était “faut-il interdire/punir le téléchargement illégal“. Vous imaginez la suite. Pirater n’est pas voler, c’est toujours valable en 2012. Je suis effarée par la mauvaise foi et/ou le lavage de cerveau dont font preuve les “opposants”. Croire que le monde dans lequel on évolue (physique, numérique) et ses caractéristiques ontologiques n’est qu’un point de détail pour débattre d’éthique ou d’économie, qu’économie de rareté vs. économie d’abondance ne change rien à la morale, c’est faire preuve d’une naïveté et d’une simplicité de réflexion affligeante. Le tout repris par Magali Philip dans un Storify magistral.

Le Port de Vidy fait très fort avec ses nouvelles portes high-tech sécurisées.

Un chouette Bloggy Friday a eu lieu en juillet, après celui de juin. Les gens d’internet qui se rencontrent offline, il paraît que c’est le truc nouveau super-tendance de l’été. (Les rencontres IRC d’il y a 15 ans ça compte pas, hein. Ni les rencontres blogueurs, pendant qu’on y est. Ni les rencontres Twitter qui existent depuis des années.) Quelqu’un se lance pour faire l’hôte ou l’hôtesse pour le mois d’août? Ce sera durant ma semaine de déconnexion.

Hercule Poirot cherche toujours un nouveau foyer en Angleterre. Quintus, lui, s’installe bien en Suisse et explique au jeune Tounsi comment respecter ses aînés avec pedigree.

Les plantes sur mon balcon et dans mon appart poussent bien. J’ai des piles de photos, à mettre en ligne et à commenter ici pour vous. En attendant, il y a un groupe Facebook “Petites plantes de balcon et d’ailleurs“, si c’est votre genre.

Ah oui, c’est aussi le moment de vous inscrire pour la troisième session menant au diplôme SAWI de Spécialiste en médias sociaux et communautés en ligne. Dernière séance d’info le 21 août.

Et aussi le moment de postuler (jusqu’au 16 juillet!) si vous pensez être la personne qu’il faut pour prendre la tête du SAWI en Suisse romande. Et je suis toujours ouverte à des candidatures de blogueurs motivés pour le blog de voyage ebookers.ch.

Côté boulot, je suis pas mal bookée, mais j’ai encore de la place pour un mandat long terme de “blogueuse en chef” (ou “redactrice en chef de blog”, si vous préférez).

Inspiration, sur Kickstarter: Bridegroom et Amanda Palmer.

Google aménage ses cafétérias pour encourager ses employés à manger plus sainement. Fascinant.

La plaie des infographies.

Pourquoi les femmes ne peuvent (toujours pas) tout avoir.

Passer du temps à ne rien faire, pour mieux faire.

Et pour finir: l’été de mon chat. (Non, pas le mien, celui du journaliste du Temps.)

The Unhappy Yucca [en]

[fr] Le yucca de l'eclau n'est pas heureux.

There is a very unhappy Yucca at eclau. Here he is:

Unhappy Eclau Yucca 1.jpg

As you can see, his lower leaves are drying out in huge quantities. By the time I remembered to take a photo, I had already cleared about half out:

Unhappy Eclau Yucca 3.jpg

You can see which way they’re drying out, and the speckles on the dry leaves:

Unhappy Eclau Yucca 5.jpg

Unhappy Eclau Yucca 4.jpg

Even the new leaves are not happy:

Unhappy Eclau Yucca 2.jpg

It might be overwatering (I’ve hung a “don’t water” sign on him now) but I suspect something more problematic like lack of light. It doesn’t get any direct sunshine where it is, and eclau sometimes stays closed (blinds down) all week-end. Not great for a yucca.

I don’t see a solution to this because this guy is huge. There is nowhere else he will fit. The yucca was brought to eclau ages ago by one of the coworkers and was left there when he departed. I’ve always had a bit of trouble fitting him somewhere, not to mention that he first came with hordes of little black “rot flies” (dunno how to call them in English).

So, I suspect it’ll come down to this:

  • make sure it’s not an illness (anybody?)
  • chop chop chop him down, cut the arms off
  • repot the stump and put it somewhere happier
  • repot the tops (I’ve read you just stick them in soil and they’ll root) for three smaller yuccas which can go live in happier places

Ideas and advice welcome, specially if you know what’s going on here.

Jelly, Bloggy Friday, Pique-Nique, Webmardi [fr]

[en] A few events in the coming weeks here around Lausanne.

Oui, il y a des choses sympa qui se passent en Suisse Romande, à l’eclau et ailleurs. Voyez:

On se voit bientôt, alors!

Jelly ce vendredi 17 décembre à l’eclau, et lundi 20 à La Muse à Genève [fr]

[en] Jelly here in Lausanne this Friday and in Geneva on Monday. Check the French post for links to sign up!

C’est “opération Jelly” en Suisse Romande, durant la semaine qui vient! 🙂

Ce vendredi 17 décembre, comme vous le savez, c’est Jelly@eclau ici à Lausanne (inscrivez-vous sans tarder sur Facebook, si c’est aussi plein que le mois passé, il vaudra mieux être inscrit!)

Lundi 20, Noël approchant à grands pas, La Muse à Genève vous convie non seulement à son mythique pique-nique hebdomadaire, mais en plus à venir travailler la journée dans l’espace coworking pour le Jelly de Noël. Inscriptions également sur Facebook (et proposez à vos amis et collègues de vous accompagner).

Les Jelly sont gratuits et ouverts à tous. Venez nombreux, c’est l’occasion de rencontres enrichissantes et (paradoxalement pour certains) de productivité augmentée! (Lisez: participer à un Jelly, quel intérêt?)

Cet article a été initialement publié sur le site de l’eclau.