Histoires d'oreilles [fr]

[en] Sharing my hearing and hearing aid story -- and opening a francophone facebook group for people who don't hear that well, whether with or without hearing aids.

L’autre soir, comme souvent dans des situations acoustiquement difficiles, je parle de mes oreilles et de mes appareils. En face de moi, le hasard veut qu’il y ait deux personnes à l’ouïe “pas top”. On a donc parlé longtemps, et j’ai raconté toute mon histoire.

J’ai toujours été un peu sourde. C’est familial. Mon frère aussi. Mon père aussi, probablement. Bref, dans la famille on est durs de la feuille.

Première tentative d’appareillage quand j’avais 14 ans. Fin des années huitante, gros appareils “intra” couleur chair qui se voyaient bien, inconfortables, réglage pour mon gain “idéal” très probablement, filles de la classe qui se fichent de moi: j’essaie deux jours puis ils vont finir leur vie dans leur boîte.

Je m’en sors très bien sans. Je sais que j’entends “pas très bien” et je le dis — mais je me rends compte aujourd’hui que je n’avais aucune idée à quel point j’étais sourde. Il a fallu que mon frère fasse le pas d’un appareillage, qu’il me parle un peu du processus et de la différence que ça faisait pour lui, de “bien entendre”, pour que j’y pense à nouveau. Aussi, je commence à me rendre compte dans mes activités professionnelles que mon ouïe m’handicape. Je n’entends souvent pas les questions des étudiants ou du public quand je donne une conférence. Je dois faire répéter. Ça devient un peu lassant.

Il me faudra encore quelques années pour passer à l’action. Je trouve le côté geek des appareils auditifs et accessoires fascinant. Je pose des questions à mon audioprothésiste dont il doit chercher la réponse. Ça lui change du quotidien…

Mes appareils sont roses. Ils sont derrière l’oreille, assez petits pour ne pas être très visibles (enfin quasi invisible sauf quand je relève mes cheveux, ce que je ne fais pas normalement car ils sont courts). Le micro est dans l’oreille, avec un embout “ouvert” plus confortable que le moulage fermé que j’ai quand même testé. Un “compromis”, dit mon audioprothésiste (parce que la qualité audio est censée être meilleure avec le moulage), mais je peux vivre avec ça.

Ils ont deux micros chacun et ils communiquent entre eux. Ça leur permet de savoir d’où vient le son et d’introduire cette variable dans la façon dont ils le traitent, de répercuter dans mes oreilles les décalages qu’on entendrait normalement et qui nous permettent de localiser un son.

J’ai choisi la taille “pas mini-mini” pour avoir un bouton “programme”. J’ai quatre programmes différents: un normal, un pour environnements bruyants, un pour les situations calmes avec légère suramplification, et un “silence” pour quand je suis dans le train avec les gosses qui crient à côté 😉

Il y a des tas de choses à raconter sur mon aventure auditive: comment ça a changé ma vie, comment se passe l’adaptation, comment on minimise toujours l’importance de sa surdité (“j’entends pas bien mais c’est pas si grave, je m’en sors sans appareils”), le look des appareils en 2013 (et leur taille!), les situations “impossibles” comme les restaurants, l’absence de communauté de hackers dans ce domaine (on a besoin de nos appareils, et à 6500 balles la paire on va pas s’amuser à les démonter “pour voir”), les anti-larsens, l’habituation, les acouphènes…

Bref, de quoi écrire une bonne demi-douzaines d’articles de blog, ou d’ouvrir un groupe facebook — ce que j’ai fait.

Pour le moment c’est un groupe secret, mais je pense que ce sera pour finir un groupe fermé: contenu inaccessible aux non-membres, mais listing des membres et descriptif du groupe visibles. Si ça vous intéresse de rejoindre le groupe pour partager vos histoires d’oreilles (avec ou sans appareils) ou écouter celles des autres, faites-moi signe et je vous y invite!

3e #back2blog challenge (1/10), avec: Brigitte Djajasasmita (@bibiweb), Baudouin Van Humbeeck (@somebaudy), Mlle Cassis (@mlle_cassis), Luca Palli (@lpalli), Yann Kerveno (@justaboutvelo), Annemarie Fuschetto (@libellula_free), Ewan Spence (@ewan), Kantu (@kantutita), Jean-François Genoud (@jfgpro), Michelle Carrupt (@cmic), Sally O’Brien (@swissingaround), Adam Tinworth (@adders), Mathieu Laferrière (@mlaferriere), Graham Holliday (@noodlepie), Denis Dogvopoliy (@dennydov), Christine Cavalier (@purplecar), Emmanuel Clément (@emmanuelc), Xavier Bertschy (@xavier83). Follow #back2blog.

J'aime mes paniers de légumes (lejardinpotager.ch) [fr]

[en] I get a veggie basket of local products every week.

Chaque jeudi je reçois un panier de légumes bios de la région. C’est grâce à la coopérative Le Jardin Potager. Je suis fan.

3rd and last basket of veggies for the summer

Tout à démarré en août de l’an dernier. C’est la faute à Pierre Crevoisier, qui demandait si qui que ce soit était intéressé à reprendre les paniers de coopérateurs en vacances. J’ai sauté sur l’occasion et le test était concluant. Ce printemps, je suis devenue coopératrice à mon tour.

Le “petit” panier me coûte 19.80 CHF par semaine. Pas énorme:

  • c’est bio et local (vous avez vu le prix du bio à la Migros?)
  • ça couvre mes besoins de légumes pour la semaine, plus ou moins (parfois j’ai trop et je donne, parfois il me manque ceci ou cela et j’achète)

Il y a des points de distribution un peu partout. Le mien est juste de l’autre côté de la route.

J’aime le fait qu’on ne choisit pas le contenu de son panier. Je passe mon temps à choisir ce que j’achète, comment je le cuisine, ce que je mange — j’aime bien pouvoir déléguer une partie de ces décisions. Le contenu du panier de la semaine suivante est annoncé sur le site. Il y a une liste des légumes avec fiches description et recettes (histoire de savoir quoi faire avec les panais, les radis noirs, les scorsonères, l’aïl d’ours, les orties et autres topinambours). J’ai découvert des tas de nouveaux légumes.

Si vous avez envie de tester, profitez de l’été et des coopérateurs en vacances pour reprendre un, deux, trois ou quatre paniers. J’ai la liste et je vous forwarde l’e-mail sur demande!

La seule chose qui manque? Un groupe facebook, ou au moins une page. Un groupe serait mieux, parce qu’on pourrait y échanger recettes et tuyaux pour les légumes du panier de semaine en semaine. Je connais deux autres coopérateurs, pas tout à fait assez pour démarrer un groupe, mais si on est plus, je lance l’affaire!

20.09.2013: le groupe est lancé!

Third Back to Blogging Challenge [en]

[fr] 10 jours, 10 articles, histoire de relancer la machine à bloguer. Qui se lance avec moi?

Starting Monday, I’m going to blog daily ten days in a row to kick the blogging machine into gear again. Who else is in?

Seems I need a periodical reboot. As you can see I’ve written a few blog posts recently after a terrible dry spell. What happened?

After the success of the second Back to Blogging Challenge, I kicked off the Blogging Tribe Experiment, went sailing in Spain (which put a serious dent in my blogging habit), came back to a lot of work and orphan kittens, which ended up spending 5 weeks with me and only left for their final homes last Thursday. (Yes, I have hundreds of kitten photos and videos to process, now.)

So, I feel like I’ve “failed” the Blogging Tribe Experiment, personally, because I didn’t blog anywhere close to what I intended — or as regularly as I would have expected from the tribe members. So, while we figure out where and how to take this experiment forward, I need a little structure in rekindling my blogging habit. It really is a habit.

Sign up if you want to join me.

Edit 24.06.2013: thanks to Luca, I’ve discovered Twitter widgets. Check out the latest posts from the challengers here!


//

The Blog of Unfinished [en]

[fr] Un blog, c'est un espace pour lancer là-dehors des choses. Pas nécessaire que ce soit tout léché. Quand je veux faire du léché, c'est simple, je ne commence pas. Ou si je commence, je ne finis pas. Avec le blog, je me dis "bah, peu importe si c'est vraiment bien ou pas; l'essentiel c'est que ce soit publié". 13 ans que ça dure.

Hopefully you’ve heard by now that I co-direct a course on social media and online communities here in Lausanne. We’re preparing for the fourth year. This means I have students. And believe me, I learn a lot from them — they’re fascinating people. Of course, they are, they chose to follow the course I co-direct 😉

I’m mentioning this because I realized something very recently following conversations with two ex-students (or soon-to-be-ex). The reason I like my blog so much, and am still blogging 13 years after I started, is that it is a space where I can indulge in my natural tendency to start stuff and not finish it.

Said like that it’s a bit extreme, but let me explain.

The first step was the evening I spent with my ex-student who is starting a little side business of interior design alongside her day job. She waffled out a few free sessions and I took one. At some point the conversation drifted to more personal topics, and I mentioned my urges to start things and my difficulty in finishing them — probably related to my difficulty throwing things out. I’m a starter, generally. I have ideas. I want to do stuff. Way more than the space of my life lets me. Once I’ve started something, I do tend to lose interest, or at least find it more difficult to keep going. And don’t get me started (!) on finishing.

Yes, I’ll own up to being an immediate gratification junkie.

The second step, a day or two later, was a phone call with another ex-student that I had gently chided for signing a blog comment (“best regards” and the like). I was encouraging him to blog earlier about the project he was working on, and he was telling me he found it challenging to put things “out there” without them being sufficiently polished. My reaction of course (which I think wasn’t actually very helpful in his precise situation) was to say that blogging is for the imperfect, the good enough. A blog is great as a “put it out there” space.

And this is really how I use my blog. The stuff I don’t write about, I often don’t write about because I feel I need to work on it more. Wanting to do things well — too well — prevents me from doing them.

It sounds contradictory with what I said above about starting things and not finishing them, doesn’t it? It isn’t.

So this is why I like blogging. It’s a tool that makes it easy for me to “just get it out there”. It doesn’t have to be perfect. Yes of course it could be better. I’m sure I could have said the things I’m saying now more clearly. I’m sure I could have made them more compelling. More SEO-thingy. Found photos to illustrate. Thought about when to publish this kind of post and how to distribute it.

But no — I go the brain-dump way. And because I brain-dump, there are hundreds (thousands) of blog posts here which actually might come in handy to others.

JFDI.

Bol d'Or Mirabaud 2013 avec le Farrniente [fr]

[en] YouTube video and Storify of my three days sailing on the lake with the Farrniente for the Bol d'Or.

C’était mon troisième Bol d’Or, le week-end dernier. Genève-Bouveret-Genève à la voile. Ça va pas forcément vite (29h de course pour le Farrniente) mais ça donne un peu le même sentiment de satisfaction qu’une longue randonnée en montagne: tout ce chemin parcouru sans source d’énergie extérieure!

J’ai posté quelques photos et séquences vidéo en cours de route, jusqu’à ce que mon iPhone rende l’âme (malgré le chargeur de secours que j’ai vidé aussi). Grâce à Storify, voici donc le Bol d’Or 2013 du Farrniente presque comme si vous y étiez. J’ai pris pas mal de photos que je dois encore trier (avec celles des éditions 2009 et 2012!) et en attendant de faire mieux, j’ai collé bout à bout les séquences vidéo pour en faire le film d’une quinzaine de minutes que vous pouvez voir ici:

Moins pénible peut-être que la vidéo, le Storify mentionné plus haut (et il paraît que les liens vers les vidéos dans Facebook marchent quand même, même si on n’a pas de compte Facebook!):

[View the story “Bol d’Or Mirabaud 2013 sur le Farrniente” on Storify]

J’ai profité de l’engouement provoqué par la possibilité de suivre le Farrniente live durant la course pour créer une page Facebook pour le bateau. Click click!

Vivre avec un chat FIV+ — dédramatisons [fr]

[en] Some notes on living with an FIV+ cat -- it's not the end of the world. An FIV+ kitty has every chance of dying of something else than AIDS, so keep calm and get informed. FIV-healthscience on Yahoo groups is a great ressource.

Mon chat Bagha était FIV+. Il a eu une bonne vie, il sortait, et est mort d’autre chose — une crise cardiaque à 14 ans.

Bagha in mid-play

Un diagnostic FIV+ n’est pas un arrêt de mort — pas plus que ne l’est aujourd’hui un diagnostic HIV+ pour un humain. Homme ou bête, on peut vivre de longues années séropositif et asymptomatique. Quand l’immunité baisse, le danger vient des maladies opportunistes — et ça se gère.

Vu l’espérance de vie d’un chat, celui-ci a toutes les chances de mourir d’autres chose que du SIDA.

Certes, apprendre que son chat est FIV+ est un choc. On manque souvent d’informations. En voici quelques-unes:

  • généralement on diagnostique le “SIDA des chats” suite à une infection opportuniste (dans le cas de Bagha, il a fait une réaction à la toxoplasmose, parasite très répandu dont le chat est porteur sain)
  • il s’agit donc en premier lieu de soigner cette infection, et de faire un bilan de la situation de santé du chat
  • il semblerait qu’il y ait de relativement bons résultats avec les traitements à l’interféron; c’est cher, mais je l’ai fait pour Bagha (mon véto m’a montré comment faire les injections histoire d’économiser sur les frais); j’en ai eu pour moins de 1000 CHF
  • le chat diagnostiqué est probablement FIV+ depuis des années; inutile de changer dramatiquement son train de vie; s’il sort, il y a certainement d’autres chats infectés dans les environs (de façon générale 3-5% de la population féline est atteinte) — inutile de le garder dedans, sauf pour le protéger lui
  • le FIV se transmet par contact sexuel et par morsures profondes (bagarres); on peut donc faire cohabiter chats FIV+ et FIV-, même si certaines personnes préfèrent ne pas le faire
  • vu l’espérance de vie du chat et la lenteur de l’évolution de la maladie, il y a toutes les chances qu’il vive encore bien des années (suivant son âge) et meure d’autre chose; il faut juste surveiller sa santé de près et aller chez le véto plutôt tôt que tard quand quelque chose cloche
  • si votre véto considère qu’un diagnostic FIV+ signifie qu’il faut envisager d’euthanasier le chat, considérez un changement de véto! (mais j’espère qu’en 2013 on n’en trouve plus qui réagissent comme ça…)
  • il y a un vaccin mais il est peu efficace (et un chat vacciné teste positif, après…)
  • on ne fait pas de dépistage systématique parce que dans la grande majorité des cas les chats positifs meurent de tout autre chose bien avant qu’ils deviennent symptomatiques — on dépiste quand on a une raison sérieuse de soupçonner une chute d’immunité.

Par rapport à mon histoire personnelle, voici quelques liens (en anglais):

Dans mon chemin avec Bagha et cette maladie, il y a une mailing-liste qui m’a été d’un grand secours: FIV-healthscience. C’est un groupe sérieux, où l’on demande aux membres de donner des nouvelles sur le suivi médical de leur chat, et dont font partie des personnes qui consacrent leur vie au soin des chats FIV+. S’il y a quelque chose à savoir sur cette maladie, quelqu’un dans le groupe le saura. Si votre chat a été diagnostiqué FIV+ et que vous parlez un peu l’anglais, je vous encourage vivement à rejoindre ce groupe.

Poha Recipe [en]

[fr] Ma recette de poha, que je croyais avoir publiée!

For years, people have been asking me for Nisha’s Poha recipe. Here it is — well, my variation of it, because I seem to do it slightly differently (at least the result tastes different).

Poha

 

  • heat oil in pan or karahi
  • half a teaspoon of black mustard seeds and half a teaspoon of cumin seeds (more if you like more, or are cooking big quantities)
  • when the seeds are popping, add curry leaves (anywhere from a dozen leaves to more if you like more)
  • let them sizzle a little, lower the heat
  • add a chopped onion (red if you have that) and green chilli broken in pieces (one chilli, two, three… depends how hot your chillies are and how hot you like your poha)
  • let the onion soften; wash the poha (don’t let it soak, just rinse and drain) — I use roughly two big handfuls for one big serving
  • add a teaspoon of salt (or less), a teaspoon of sugar, a tip of turmeric (upto half a teaspoon, but don’t overdo it), red peanuts and/or frozen green peas/sweet corn
  • mix it all up and leave on low heat 3-5 minutes (for the peanuts mainly)
  • add poha, mix well, turn heat off
  • add chopped coriander leaves
  • serve and sprinkle with lemon/lime juice

Bon appétit!

Fausse alerte enlèvement qui tourne (Granges-Marnand) [fr]

[en] Fake SMS doing the rounds here.

Reçu par SMS tout à l’heure:

Evernote%20Camera%20Roll%2020130522%20112834

une petite fille de 2 ans a ete enlevee a Grange Marnand Village par un homme de 30 ans barbu. Il etait vetu tout en noir cet homme est de peau noir. Conduisant une voiture bleu foncee plaque : 27B 138 fait Tourner ce message, ca pourrait sauver la vie de cette petite fille. Fait passer a tous tes contacts ! ca te prendra que 2 minutes! Fais le pour la petite

 

Soupçons de canular:

  • c’est un message en chaîne (déjà rien que ça)
  • pas de date
  • numéro de plaques qui est pas vaudois
  • le suspect est noir, bien sûr!
  • insistance à la fin du message pour faire passer
  • pas de source
  • je cherche en ligne, je ne trouve rien

Je vais sur la page Facebook de la Police vaudoise et je trouve ceci:

Screenshot%205/22/13%2011:25

Un autre témoignage corroborant:

Screenshot%205/22/13%2011:25

Mon réseau me renseigne:

Screenshot%205/22/13%2011:28

Il semble bien que ce message soit une version “suissifiée” d’un autre message français qui faisait référence à Sarcelles-Village (exemple trouvé rapidement avec Google).

Rappel: les messages qui “tournent” sont quasi tous des fakes. Avant de “transmettre à tous vos contacts” cherchez une source crédible pour votre info. Dans le cas de ce message qui est en train de tourner, en le transmettant à vos contacts vous contribuez par vos bonnes intentions à renforcer des stéréotypes racistes et augmenter la “peur de l’enlèvement” qui est déjà démesurée face au risque réel.

Update: Le Matin dénonce aussi le canular.

Here We Go Again [en]

[fr] Des nouvelles.

Holidays in Spain. Two weeks of crazy work upon my return. Then orphaned kittens at home.

Things are lightening up: the kittens are weaned and clean, the big cats are taking care of them, and they have future homes. Though I have two batches of exams to grade (one now, one early june) my work life is taking a more manageable pace.

I’ve been the worst slacker in the Blogging Tribe experiment. I have a huge backlog of insanely cute kitten photos and videos to process and put online. I’ve started planting things for my balcony again. The sailing season has started.

Next week’s objectives: go back to judo, get back into something resembling a blogging habit, and start my new exercice regimen.

Longer term? Figure out why despite having identified long ago that I take on too much and need to slow down, and making efforts in that direction, I am failing.

Life is good.

OrangeCinema de retour à Genève [fr]

[en] OrangeCinema in Geneva! We have passes for bloggers.

Vous saviez qu’OrangeCinema revenait à Genève? Moi, à la page comme je le suis ces temps, j’aurais sans doute raté l’info sans mon boulot avec Orange. J’avoue que j’adorais aller à l’Open Air (comme c’est étiqueté dans ma tête) et que j’ai été très triste quand ça s’est arrêté à Lausanne.

OrangeCinema.

Vais-je mettre les pieds à Genève pour l’occasion? Qui sait!

Bon, donc, OrangeCinema et Orange, ça veut dire qu’on a des passes pour blogueurs (enfin un système d’invitations +1 dont on peut vous faire bénéficier). Si vous lisez ce blog, vous avez déjà vu passer les fameux formulaires d’inscription. Je ne vais pas vous décevoir, le voici:

Loading…

Plutôt du côté de Berne, Zurich, Bâle? Formulaire auf Deutsch 🙂

Et si votre truc c’est pas trop le cinéma, mais plus les médias sociaux, n’oubliez pas notre “Expert Interview” social media le 13 mars (tout bientôt, dans deux semaines).