Nuit du Journal Intime: quelques paroles [fr]

[en] Excerpts of an interview I gave last week to the DRS with other participants to "la Nuit du Journal Intime". I speak of intimacy (what it is for me, are we losing intimacy), blogs and private diaries on the web (not viable in the long run, in my opinion), and of what I don't say about myself on my blog (a lot!)

Comme je l’ai raconté, nous avons été interviewés par la DRS après le débat ouvrant la Nuit du Journal Intime. J’ai reçu le CD et fait une compilation de ce que j’ai dit à cette occasion, avec quelques commentaires.

A votre disposition en format MP3, 3.4Mb pour 7 minutes d’audio (oui, j’ai des progrès à faire, suggestions bienvenues): DRS Interview (extraits + commentaires)

J’y parle:

  • de ma conception de l’intimité et de sa perte éventuelle
  • de la viabilité et de la possibilité d’un journal intime sur internet
  • de la mise en scène de soi dans le monde “online”
  • de ce dont je ne parle pas dans mon blog…

Si je fais référence à des choses dans ce “podcast” et que vous voulez des précisions, des liens, etc… n’hésitez pas à demander des compléments: les commentaires sont là pour ça!

(Et question subsidiaire pour ceux qui sont abonnés à ce blog: est-ce que le fichier MP3 apparaît comme un “enclosure”?)

(Et question subsidiaire pour ceux qui s’y connaissent: comment je peux faire apparaître un slider audio dans le billet pour que les gens puissent écouter juste en cliquant sur le bouton “play”?)

Moment fort [fr]

[en] In Geneva Saturday night, I came upon an actress who played in Rester Partir, the play my brother and I had a small part in twenty years ago, just after our mother died. We talked a few minutes -- a very emotional moment for me -- and I left her my number. We'll meet again, hopefully.

Le moment le plus fort de cette soirée à  Genève était totalement imprévu. J’avais vu dans la liste de lecteurs le nom de Caroline Gasser. Je ne suis pas très physionomiste (ce qui peut être embarrassant par moments) mais j’ai une mémoire un peu effrayante pour les noms (en général).

Caroline est comédienne. Elle jouait dans Rester Partir, il y a plus de vingt ans. Mon frère et moi avions eu un petit rôle dans la pièce. Ma maîtresse d’école de l’époque était une amie de l’assistante du metteur en scène Hervé Loichemol, et ils avaient besoin d’enfants pour quelques scènes. Je me souviens d’ailleurs que j’étais la deuxième personne à apparaître sur scène, poursuivant en criant l’acteur principal Philippe Polet, qui courait avec des casseroles attachées à son pied, dans lesquelles pétaient des pétards.

Je me souviens aussi très bien d’une autre scène: Caroline en religieuse entourée d’un groupe d’enfants (nous!), qui s’élevait bien au-dessus de la scène grâce à  une petite plateforme ronde qui se détachait du sol, alors que nous la regardions tous. L’odeur du maquillage brun dont nous nous enduisions pour la scène où nous jouions des touaregs. Esther, la maquilleuse-habilleuse (je ne sais plus exactement quel était son titre, mais elle faisait ça il me semble). Les loges. Les histoires entre gamins. Les trois représentations à Genève (dans quel théâtre?). Les trois Michel, magiciens, la colombe rangée dans la veste de l’un d’entre eux.

Cette pièce reste un excellent souvenir. J’ai vraiment adoré faire ça, à plus forte raison peut-être parce que ma vie ne devait pas être très drôle à ce moment-là, quelques mois à peine après le décès de ma mère. Je me demande quel genre d’enfant j’étais à l’époque. Je me souviens que les comédiens étaient gentils avec nous. Caroline était ma préférée. Je me revois en coulisses, assise sur ses genoux.

Nuit du Journal Intime 19

En sortant de notre interview avec la DRS, je fais un saut par la salle de spectacles pour l’apercevoir, car elle fait partie des trois premiers lecteurs. Elle est là, sur scène, assise entre André Hurst et Charles Beer. Je la reconnais. Elle a de longs cheveux à présent — ils étaient coupés en brosse en 1985. Je prends une photo ou deux et je m’eclipse.

Durant le repas, la voilà qui passe près de notre table. Je ne sais pas trop dans quel ordre les choses se font, mais je la salue, elle se souvient de moi, on échange quelques mots, on se sourit, elle repart. Et là, hop, la machine à  remonter le temps, vingt ans en arrière, j’ai dix ans à nouveau, je suis bouleversée. Elle a mentionné Amanda, je ne me souviens plus. Une actrice? Une autre de la bande d’enfants que nous étions?

Un peu plus tard, j’ai réussi à me reprendre, je vais rentrer car il est tard, je suis malade, et j’ai quand même encore un article à écrire. Je réussis à recroiser Caroline avant de partir, on parle encore un peu — je lui laisse mes coordonnées. On se reverra.

Nuit du Journal Intime: réflexions [fr]

[en] I was part of a panel in Geneva last Saturday. It was about intimacy in the age of blogs and the internet. Interesting experience, very different from the geek/tech events I'm used to. Some thoughts about the evening.

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Je reviens (pas trop à  chaud) sur la soirée de samedi à  Genève. Dans l’ensemble, ce fut une bonne soirée, malgré mon rhume bien installé. Quelques réflexions en vrac. J’ai pris quelques photos que je suis en train de mettre en ligne.

Accueil

Je suis de plus en plus sensible à  la qualité de l’accueil lorsque je me rends quelque part pour une conférence ou un interview. Est-ce que quelqu’un est là  pour m’accueillir, déjà ? Dois-je payer mon café? Ce sont des petites choses qui ne sont jamais spécifiées dans le “contrat”, mais qui comptent. Quand je me déplace pour parler dans une école, on me paie, certes, mais je suis quand même une “invitée”.

Par exemple, j’ai récemment commencé à  insister pour qu’une personne soit présente quelques minutes avant le début de mon intervention pour régler les problèmes techniques s’il y en a. J’ai déjà  à  porter le poids de la prestation publique (si on peut appeler ça ainsi) sans avoir à  courir à  droite et à  gauche juste avant de parler parce que telle ou telle chose ne fonctionne pas.

Lorsque je me déplace pour un interview, je suis sensible aussi à  ce genre d’attention. Est-ce qu’on me fait poireauter dans la cafétéria durant près d’une demi-heure, Nuit du Journal Intime 3comme cela m’est arrivé récemment? Est-ce qu’on s’occupe de mes frais de transport? Comme je l’ai dit ici il y a quelque temps, j’ai passé le stade où je suis heureuse de donner du temps et de l’argent simplement pour figurer dans la presse.

Assez de grogne: l’accueil à  la Nuit du Journal Intime était très bon. Petit salon pour les débattaires, choses à  grignoter, boissons, petit cadeau joli (un carnet d’écriture et une boîte de thé), souper offert après le débat. Foie gras, s’il vous plaît. Très bon de surcroît. J’ai un peu poireauté dans le hall, mais par ma faute: j’ai marmonné un peu trop timidement au réceptionniste que j’avais rendez-vous à  18h30, sans annoncer clairement que je venais pour participer au débat. Ça m’apprendra, pour la prochaine fois.

Intimité

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Qu’est-ce que l’intimité? Qu’est-ce qui est intime, pour moi? Pour ouvrir le débat, on nous a demandé à  chacun d’expliciter un peu notre rapport à  l’intimité. Quelles sont les choses qui font partie de notre sphère intime? J’ai de la peine à  répondre. De prime abord, je dirais “ce que je ne publie pas dans mon blog,” car pour moi, l’intime s’oppose au public. Mais ce n’est pas aussi simple que ça. On peut étaler son intimité en public — cela reste l’intimité. Ou non?

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Disons plutôt que pour moi, ce qui est intime est ce que je ne partage pas facilement. Ce que je ne livre qu’à  des personnes choisies, et pas au monde. Ou encore, c’est ce qui m’expose quand je le partage. Dans ce sens là , on peut trouver dans ce blog quelques (rares) passages qui abordent des sujets intimes.

Je pense qu’il y a une distinction importante à  faire entre “l’intimité personnelle” (ce que je considère intime) et “l’intimité sociale” (ce que le société considère comme faisant partie de la sphère intime). Catherine Millet, auteur de La vie sexuelle de Catherine M., disait lors du débat que pour elle, l’intimité se situait plutôt au niveau émotionnel que corporel/sexuel. Voici à  mon avis un exemple de cas où son intimité personnelle ne coïncide pas avec l’intimité sociale.

Ambiance

Ambiance très sérieuse, pour moi qui sortait directement de LIFT’06. Les événements geeks et le milieu des blogs en général sont très relax. On se tutoie, on ne se prend pas (trop) au sérieux, on se plante et on recommence. Me retrouver sur scène, avec des personnes que je connais à  peine et que je vousoie (c’est bête, mais pour moi ça fait vraiment une différence), qui ont clairement plus l’habitude que moi de ce genre d’exercice, éblouie par les projecteurs… J’avoue que je me sentais relativement peu à  ma place.

Ça s’est bien passé, pourtant. J’ai “fait ma blogueuse”, j’ai dit un peu mes doutes, ce que je ne savais pas, et aussi un peu ce que je savais. J’en prends conscience en écrivant: il y avait beaucoup plus de mise en scène ce soir-là  que ce dont j’ai l’habitude. C’est ça: la mise en scène. C’est étrange pour moi.

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J’ai trouvé le débat un peu difficile à  suivre par moments. Je ne voyais pas tellement, en fait, où était le débat. C’était intéressant d’écouter ce que les autres invités avaient à  dire, mais des fois j’avais l’impression que l’on ne s’entendait pas vraiment.

Hors de la grande salle de spectacles, de retour dans le lounge avec bougies, velours rouge et petites tables pour les lectures de journaux intimes et le repas, c’était très joli et chaleureux.

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Ce que j’ai beaucoup aimé, c’est l’interview-radio avec la DRS, après le débat, de retour dans le petit salon. La journaliste nous a demandé de revenir sur le débat, sur ce qu’on y avait appris, ce qu’on en avait gardé. Puis on a commencé à  discuter. On a abordé des choses qui n’étaient pas intervenues dans le débat. Pour moi, c’était plus riche, finalement, que la forme un peu dirigée du débat. Ce n’est pas étonnant que ma préférence aille dans ce sens: les blogs, les podcasts, internet… c’est le lieu de la conversation, sans forme prédéfinie. C’est dans ce milieu-là  que je me sens à  l’aise.

Droits d’auteur

Après l’interview, j’ai demandé à  la journaliste s’il était possible d’avoir une copie de ce qu’elle avait enregistré, entre autres parce que j’y avais mis en mots des choses que j’avais envie de pouvoir garder et utiliser. (En passant, ça m’a fait très bizarre, durant le débat, de penser que nous n’étions pas enregistrés. J’ai trop l’habitude, avec le web, de laisser des traces derrière moi.)

Nous avons ensuite parlé de droits d’auteur, parce que j’exprimais mon désir de rendre disponible certaines choses sur le web. J’ai lu récemment (je ne sais plus sur quel blog, honte à  moi) qu’un blogueur avait reçu l’interdiction de la part d’une journaliste de publier l’interview par e-mail qu’il lui avait accordé. Le blogueur en question disait quelque chose comme ceci: de quel droit peut-on m’interdire de mettre à  disposition mes propres mots? De même, la DRS peut-elle prétendre détenir des droits sur ce que j’ai dit durant cet interview, parce qu’elle a fourni le matériel d’enregistrement? Et si j’avais enregistré en parallèle avec mon matériel? J’ai mentionné l’épisode du vidéocast de Robert Scoble, où j’ai fait précisément ça, avec l’accord des intervenants.

En fait, a précisé la journaliste, ce n’est que sur ses mots à  elle que la DRS détient des droits d’auteur. Cela fait, sens, car lorsqu’elle nous interviewe, elle représente la radio pour laquelle elle travaille. Quand j’aurai reçu le CD, je ferai donc un montage avec mes propres mots et le mettrai en ligne.

La journaliste connaissait EFF, Creative Commons, etc… j’en suis baba!

Et vous? Etiez-vous à  cette soirée? Qu’en avez-vous pensé?

Ce soir à Genève: Nuit du Journal Intime [fr]

[en] I'll be in Geneva tonight to talk about intimacy in the era of blogs and the internet. I'll be sharing a panel with a bunch of pretty famous people, so I'm a little intimidated.

Je serai à  Genève ce soir pour participer au débat intitulé “Du journal intime au blog, que reste-t-il de l’intimité?”, dans le cadre de la Nuit du Journal Intime. Je vais me retrouver entre Catherine Millet (La vie sexuelle de Catherine M.), Willy Pasini, et Catherine Bogaert. Un peu intimidée de me retrouver en si jolie compagnie!

J’en profite pour faire une petite mise au point concernant le fameux titre de “meilleur blog suisse 2003“. Je croyais l’avoir déjà  fait, mais impossible de mettre la main dessus, il me semble que le moteur de recherche de mon site est un peu boiteux. (Oui, y’a du boulot.)

Bref, en 2003, une petite équipe de blogueurs francophones décide de lancer les Blogs d’Or. J’en connaissais la plupart de réputation, et je fréquentais à  l’époque des gens qui les connaissaient. Suite à  une remarque de Delphine Dispa, une catégorie “meilleur blog suisse” avait été rajoutée. Les blogueurs avaient ensuite proposé des candidats au titre de “meilleur blog xy”, puis avaient voté, parmi les blogs retenus, pour ceux qu’ils préféraient.

Comme il n’y avait pas beaucoup de blogs suisses, et qu’en plus j’étais souvent la seule suissesse que les personnes votant lors de ce “concours” connaissaient… il faut relativiser quelque peu ce titre. Ce n’est pas comme si on avait rassemblé tous les blogs suisses, et que des blogs suisses, pour en sélectionner la crème de la crème — comme cela sera d’ailleurs fait d’ici le 5 mai 2006 pour les Swiss Blog Awards.

Disclaimer: on m’a demandé si j’étais intéressée à  collaborer à  l’organisation des Swiss Blog Awards. J’ai malheureusement dû refuser, faute de temps gratiné d’une jolie collision d’agenda.

Wild Videocast of Robert Scoble Interview [en]

[fr] Une interview (partielle) de Robert Scoble par Marc-Olivier et David de IC Agency, filmée de façon un peu sauvage. Quand on dit que les blogs sont la télé-réalité du web...

I was having a post-LIFT chat with Marc-Olivier in the lounge yesterday when David came up, stole him from me and started talking about getting Robert to do a podcast with them for a blog they were going to open. I offered to introduce them to him.

I was going to take a couple of photographs but as they started, I decided for video instead. Think of it as a “making of” videocast of their podcast. (I say “wild” not because Robert went wild on the video but because it wasn’t planned, staged, or whatever. Vidéocasting sauvage would be how I’d put it in French.

5-minute videocast with Robert (partial)

Robert Scoble podcast (5 mins) by Steph

My initial intention was to upload it straight away. I like the immediateness you can get with the web. (If moblogging wasn’t so bloody expensive I’d be moblogging away…) David actually asked me to hold off publishing the video and cut out some bits of it or put their audio on it, because they wanted to edit some of the audio (English mistakes in the questions, but IMHO, who cares?) I said I preferred to publish what I had recorded “as is”, mistakes, goofs, and all — it was OK with Robert.

I’m a bit embarrassed by the situation, to be honest. My video is on DailyMotion under a CC-by-sa-nc license, so they can put their audio on top if they like, whatever. I don’t really like having to refrain from publishing something, but on the other hand I am very much aware that if you appear on a video or a photograph, you have a right to control publication of it. I think what bothered me was the argument of “exclusivity”. My videocast is only about a third of the interview, anyway.

What would you have done? Should I have refrained from posting this until they had their version up?

I will of course be posting the link to their version(s) here as soon as I get it.

Bloggy Friday ce soir avec la LIFT'06-fête [fr]

[en] Bloggy Friday: join us at the LIFT'06 Closing Party!

Pour être dernière minute, c’est dernière minute, mais vous le saviez déjà : le Bloggy Friday a lieu ce soir à  Genève, et l’idée serait qu’on se retrouve lors de “l’after” de LIFT’06. Lieu communiqué dès que je serai au courant plus tard dans la matinée. Dans le pire des cas, il suffit de venir trainer devant le CICG dès la fin de la conférence.

Mise à  jour: 9h30 à  l’Ethno Bar, 1 rue Bovy-Lysberg.

Tonight!

Mise à  jour 04.02.06

Un gros pardon pour le lapin posé aux blogueurs romands qui se seraient pointés hier soir. Les Romands de LIFT sont gentiment rentrés chez eux les uns après les autres (c’était deux journées super crevantes). J’ai quant à  moi tenu bon jusqu’au moment où j’ai réalisé que j’avais de nouveau oublié d’échanger mon ticket de parking, et que j’allais me retrouver avec une facture salée.

Devant ma fatigue, la perspective du week-end qui m’attendait, et le trou qui s’annonçait dans mon compte en banque, j’ai préféré rentrer. (J’ai eu de la chance, un ange muni d’un ticket de parking a croisé ma route, ça s’est donc pas si mal fini que ça.)

Donc, si vous vous êtes pointés à  l’Ethno Bar et que vous n’y avez pas vu de têtes familières, désolée. J’espère que vous aurez quand même saisi l’occasion de faire connaissance des geeks internationaux présents!

LIFT'06 Notes [en]

[fr] Mes notes (brouillon) de la journée à  LIFT'06.

Here are my draughty notes, as is, pretty incomplete and not necessarily intelligible. Use if you wish.

First Impressions of LIFT'06 [en]

[fr] Premières impressions de LIFT'06.

Venue: not too much trouble finding it, that was nice. Laurent himself at the ticket desk, that was nice too. Robert Scoble looks younger than I expected (I’m sitting right in front of him, didn’t do it on purpose, promise!).

In Line for LIFT'06

Missing in the conference room:

  • water (no drinks allowed apart from water, and all I have in my bag is orange juice, and I’m really thirsty) Update: thanks to David Galipeau, I’ve found the water fountains now.
  • more power strips (yeah, I know)

Missing online (update)

  • backchannel? (I’m sitting in #lift06 on chat.freenode.net, just in case)
  • live audio?
  • people using Bonjour/Rendez-Vous… (I’ve opened and announced a document for collaborative note-taking in SubEthaEdit… just in case, feel free to join if you’re at the conference).

I have a huge problem: I totally suck at understanding non-native speakers talking in English (particularly francophones). Isn’t that amazing, given I’m a francophone myself?

LIFT'06 et Bloggy Friday [fr]

[en] LIFT'06 STOP BLOGGY FRIDAY STOP SEE YOU GENEVA STOP PLEASE COMMENT STOP

Très bref pour cause de surbookage. Bloggy Friday comme annoncé, vendredi à  Genève — peut-être qu’on combine ça avec la fête de fin de LIFT si on a le droit. Qui veut rejoindre le Bloggy Friday? Et chers lecteurs, qui sera à  LIFT, histoire qu’on rate pas une occasion de se croiser en chair et en os, le nez vissé à  nos écrans de laptop? Mettez un mot en commentaire.

Mon numéro de tél. mobile est disponible sur demande si jamais.

(PS: si vous avez un canapé inutilisé du côté de Genève, ça m’intéresse…)