Faites passer: Bloggy Friday vendredi prochain! [fr]

Bloggy Friday vendredi prochain à  Lausanne. Noter dans tous les agendas et faire passer le message.

[en] Bloggy Friday next Friday in Lausanne. All welcome!

Vous vous en doutiez, après le succès de la dernière fois, on va remettre ça. Venez tous au Bloogy Friday [PNG 800K] Bloggy Friday vendredi prochain au Café Romand! Laissez un mot dans les commentaires si vous pensez venir.

Et surtout, faites passer le message auprès de tous vos copains blogueurs. Merci 🙂

Question existentielle [fr]

Est-ce que je risque de me retrouver toute seule au Bloggy Friday, demain soir?

[en] Will I be alone for the October Bloggy Friday?

Faut-il que j’amène des copines si je ne veux pas me retrouver seule devant ma fondue demain soir?

(Si oui, on pourra faire une étude intitulée “Analyse d’un échec: Bloggy Fridays à  Lausanne”…)

C'est ce vendredi! [fr]

Rendez-vous dès 19h00 au Café Romand ce vendredi qui vient!

[en] Weblogger meet-up in Lausanne, this coming Friday, from 19:00 onwards. Locals and travellers welcome. Join us at the Café Romand, and let us know if you're coming so that we can hunt you down if you get lost!

Eh oui, le temps passe vite! Le 1er octobre, c’est déjà  vendredi qui vient. Ca vous dit quelque chose?

Bloggy Friday!

Peut-être qu’on sera plus que trois, cette fois? Si vous avez un weblog et que vous êtes dans le coin, on vous attend de pied ferme au Café Romand (Place St.-François, Lausanne), dès 19h00. Il y a des gens sympa (s’ils sont là ), la fondue est bonne, et j’ai passé chez le coiffeur (on fait ce qu’on peut pour motiver les troupes).

Je ne pourrai personnellement pas être là  avant 20h30 environ (entraînement de judo oblige). Merci de vous annoncer dans les commentaires avec l’heure approximative de votre arrivée! (Et puis faites pas les timides, allez, on sait que vous en mourez d’envie.)

Appartement à  louer (Eclépens, 2.5p) [fr]

Ma soeur déménage et cherche à  remettre son appartement. Eclépens (20 min. de Lausanne), 2.5 pièces, joli, 860.- place de parc comprise.

[en] My sister is moving out of her flat. Location: Eclépens, not far from Lausanne. 2.5 rooms, kitchen, bathtub, balcony, calm and light, parking space. 860.- all included.

Ma soeur déménage et cherche à  remettre son appartement (d’après ce que j’ai compris, au plus vite, puisqu’elle peut emménager dans le nouvel appartement dès le 15 septembre).

2.5 pièces (deux grandes chambres, un coin salle à  manger spacieux avec fenêtre, hall d’entrée, cuisine, salle de bains avec baignoire), balcon, 68 mètres carrés, calme, lumineux, beaucoup de fenêtres.

Immeuble situé à  Eclépens (15-20 minutes de Lausanne par l’autoroute, sortie La Sarraz), avec place de parc devant l’immeuble.

Loyer actuel: 860.- par mois, charges et place de parc comprises (780 sans la place de parc).

Laissez-moi un commentaire ou bien envoyez-moi un e-mail (avec “appartement Eclépens” dans le sujet pour que je ne le rate pas), et je vous mets en contact.

Premier "Bloggy Friday" dans l'intimité [fr]

Premier Bloggy Friday très sympathique! Contrairement à  Paris Carnet, aucune difficulté pour parler à  tout le monde durant la soirée. On se voit le 1er octobre?

[en] If you don't like blogger meet-ups because there are too many people to talk to, comme to our Bloggy Fridays in Lausanne. Next one October 1st -- maybe we will be more than three?

Bon alors, vous avez tous oublié de venir au premier Bloggy Friday?

C’était fort sympa et la fondue était très bonne. Hein dis, Jérôme? L’appareil photo numérique a crépité et la population locale a fui.

Si vous appréhendez les rencontres de blogueurs parce qu’il y a trop de gens présents et qu’il n’est pas possible de discuter avec tout le monde, ne craignez rien! Je n’ai eu aucune difficulté à  parler toute la soirée avec Jérôme et Ollie.

On vous voit le 1er octobre?

Bloggy Friday: Lausanne, 03.09.04 [fr]

Rencontre de weblogueurs vendredi 3 septembre à  Lausanne. Venez nombreux et faites circuler l’info! Merci de vous inscrire dans les commentaires pour simplifier la réservation.

[en] Weblogger meet-up planned for Friday September 3rd in Lausanne. Please come and join us, and pass the announcement around! Thanks for letting me know in the comments if you're coming, so that I can book the place.

Comme début septembre approche à  grands pas, je prends le risque d’une initiative non-démocratique pour annoncer que le premier Bloggy Friday aura lieu vendredi 3 septembre dès 19 heures au Café Romand, à  Lausanne. (Virginie, ton repas est offert.)

Merci de vous inscrire dans les commentaires afin que je puisse réserver, et faites circuler l’info! Cette rencontre est ouvert à  tout weblogueur qui s’y rendra — que vous soyez autochtone ou de passage pour l’occasion.

Sinon, je vis en ermite pour cause de rentrée des classes. Peut-être plus sur le sujet dans quelque temps, mais là , j’ai encore des cours d’anglais à  préparer… donc pas de panique (ni de mauvais sentiments) si je n’ai pas répondu à  vos mails ou appels 🙂

Inscriptions (mis à  jour régulièrement):

Effraction [fr]

La porte d’un voisin du dessous a été enfoncée. Si vous constatez des traces d’effraction chez quelqu’un, ne perdez pas votre temps avec la gérance ou les concierges — appelez directement Police Secours (117 en Suisse).

[en] The flat of a downstairs neighbour has been broken into. If you notice a door that seems to have been broken into, don't lose your time contacting the rental agency or the landlord -- call the police immediately (117 in Switzerland).

Rentrant chez moi en début d’après-midi, le chat m’attendait devant l’immeuble. Je le fais rentrer, mais le voilà  qui file au fond du couloir et qui se glisse dans la porte entrouverte d’un des voisins de dessous. Je sonne — pas de réponse. Il n’est pas non plus à  la lessiverie.

Il fait sombre dans l’appartement. J’appelle. “Il y a quelqu’un?” Je remarque que le pêne de la serrure est sorti — elle est fermée à  clé, mais ouverte. Pas de gâche (j’ai appris plus tard l’explication probable), juste deux mortaises, taillées directement dans le bois qui est venu visiblement remplacer à  un moment donné la chambranle d’origine. Le bois n’a clairement pas tenu, un grand lambeau semble avoir été arraché par le choc et traine par terre. Il n’y a plus rien pour tenir la porte fermée.

Je glisse un oeil dedans. L’appartement semble vide. Je me gronde intérieurement pour mon imprudence: appeler devant une porte enfoncée, ce n’est pas une très bonne idée — il pourrait encore y avoir quelqu’un dedans. Mais bon, rien ne semble bouger. Je cours chez la concierge, mais il n’y a personne.

Je sonne chez le voisin d’en face. Il n’a rien entendu. Il n’a d’ailleurs pas vu notre voisin (et moi non plus) depuis des semaines. Ce n’est pas inhabituel, celui-ci étant malade et disparaissant régulièrement pour des séjours à  l’hôpital. Mais bon, on ne l’a pas vu, et sa porte a bien l’air d’avoir été enfoncée. Je crois la troisième voisine du palier, qui me dit avoir remarqué en fait déjà  vers dix heures du matin que la porte était entrebaillée — elle n’y avait pas prêté attention, pensant que son voisin devait simplement être rentré. Elle me dit que quelques années auparavant, le voisin avait lui-même défoncé sa porte une fois qu’il avait oublié ses clés. Probablement qu’il avait réparé la chambranle lui-même, sans remplacer la gâche.

Je décide d’alerter la gérance (Bernard Nicod). Le bureau qui s’occupe de notre immeuble est fermé pour la pause de midi; j’appelle donc la centrale. Là , on me renvoie un peu sur les roses en disant qu’il faut que j’appelle ma succursale, et qu’ils ne peuvent rien faire pour moi. Heureusement, le bureau ouvre cinq minutes après. Malheureusement, la personne “de contact” n’est pas encore là , on me dit donc de rappeler un quart d’heure plus tard.

Finalement, je parle à  la bonne personne. Elle prend note, dit qu’elle va demander à  son supérieur, qu’elle va contacter le concierge, parce qu’avant d’envoyer quelqu’un, il faudrait quand même vérifier qu’il s’agit bien d’une effraction. Je lui explique que très clairement, la porte a été enfoncée. Par qui, et pour quelle raison, on ne peut que le deviner, mais il n’y a pas de doute quant à  l’effraction et l’absence du locataire. Elle enfin me dit qu’ils vont s’en occuper, et qu’elle se charge de prévenir les concierges.

Je m’attends un peu à  voir quelqu’un débarquer pour s’occuper de cette porte durant l’après-midi. Que non. De retour ce soir après mon entraînement de judo, je suis un peu surprise de voir que la porte est toujours ouverte. Je vais sonner chez les concierges, qui n’ont pas été contactés par la gérance (celle-ci n’ayant pas non plus laissé de mot sur leur répondeur). S’ensuit une discussion peu productive que je vous épargnerai, dans laquelle est faite mention du peu d’importance de l’effraction (“il ne doit pas avoir grand-chose à  voler là -dedans”), “du moment que lui n’est pas dedans”, et dans laquelle je tente d’exprimer qu’il serait bien que quelque chose se fasse afin que cette porte d’appartement ne reste pas ouverte toute la nuit. Ma suggestion de contacter la police est accueillie avec scepticisme.

En rentrant, je sonne chez la voisine du bas. Elle a aussi parlé avec la concierge, et a retiré un sentiment similaire au mien de la conversation. Elle est un peu estomaquée (mais pas trop surprise) d’apprendre que j’ai effectivement réussi à  joindre la gérance en début d’après-midi, et que celle-ci ne semblait pas vraiment avoir bougé le petit doigt. Je lui dis d’appeler directement la police si jamais elle trouvait un jour la porte de mon appartement enfoncée. Je demande d’ailleurs si on ne devrait pas appeler la police quand même, et elle semble pencher pour. Je décide de passer à  l’action.

Vu que la porte est ouverte depuis le milieu de la matinée en tous cas, j’appelle l’Hôtel de Police plutôt que Police-Secours. La femme qui me répond prend les informations et envoie une patrouille. Elle me dit également que si je me retrouvais dans une situation similaire (face à  une porte enfoncée), il fallait immédiatement appeler Police-Secours (117), et qu’il était inutile de contacter la gérance. (Un cambrioleur peut encore tout à  fait se trouver dans l’appartement lorsqu’on découvre la porte ouverte!)

La patrouille est arrivée. Les agents ont contrôlé l’appartement, pris mes coordonnées, puis ils ont bloqué la porte depuis l’intérieur avant de sortir par la fenêtre, prenant soin de fermer les stores derrière eux depuis l’extérieur. (J’ai admiré l’astuce.)

Je n’en reviens pas que des trois personnes à  qui j’ai dit que j’appelais pour une porte enfoncée lorsque j’ai contacté la gérance, aucune n’ait su me dire que j’aurais dû plutôt appeler la police. Je n’en reviens pas non plus que la gérance (et encore pire, la concierge) fasse si peu de cas d’un appartement ouvert. En fait, je trouve ça proprement scandaleux.

Chers voisins, si vous tombez donc un jour sur une porte ouverte qui ne devrait pas l’être, ou que vous constatez des traces d’effraction, ne perdez votre temps ni avec votre concierge, ni avec votre gérance. Le 117 est la seule réponse. Quant à  la gérance Bernard Nicod, je ne peux qu’espérer pour elle que le service client désastreux dont j’ai été témoin n’était pas représentatif de la qualité globale de leurs prestations envers leur locataires.

Missing Kitty [en]

My cat has been missing for a day, which is highly unusual. I’m letting off a bit of pressure by writing it down (and also, I am getting slightly bored of repeating the story on IRC). Oh, and don’t feed other people’s cats. Thank you.

[fr] Mon chat Bagha a disparu depuis hier après-midi. Je suis inquiète, je tourne en rond chez moi, donc j'écris. Cela m'évitera également d'avoir à  répéter tous les détails cent fois sur IRC. Ah oui, le message du jour, c'est: ne nourrissez pas les chats de autres. Merci. (Edit: il est rentré sain et sauf!)

Update 13.08 13:30: The cat just came home, safe and sound. I’m so relieved!

18:00: Bagha came back through the downstairs neighbour’s window, as usual. He messaged me, I ran there, picked up the cat and squeezed him (OK, not too hard, I know my cat basics). He ate a little, meowed, cuddled, and very soon wanted to go back out. Sign, in my opinion, of a cat who has been locked up rather than one who has been roaming around for two nights in a row. I feel like somebody has turned on the light after two days of fumbling around blindly in the dark.

The Story

Bagha has been missing now for over 24 hours.

He’s an outdoor cat. I let him out in the morning. He comes in and out as he wishes during the day. I bring him in for the night. He sleeps in the crook of my arm.

It usually takes me about 3 minutes to find him in the evening. If he’s not waiting for me in front of the building when I come home, I take my usual little trip around the neighbourhood and here he comes, running or trotting out of one of his favorite “places”.

Very rarely, I don’t find him straight away. I go out a couple of hours later, or he comes in on his own.

Even more rarely, I go to sleep without having found him. Let’s say that happened maybe ten times in the four years we’ve lived here. I then leave the door open with the chain (like during the day) so that he can slip into the flat. He takes advantage of other people going in and out to get into the

building. I wake up in the morning to find him curled up on my feet — or at the very worst, I find him waiting downstairs outside the door.

Not this morning.

I couldn’t find him last night. I’d been away all afternoon and part of the evening (nothing unusual). Between 8pm and 1am, I must have spent approximately 4 hours touring the extended neighbourhood, calling for him.

I checked the roads, of course. I always check the roads. I’m terrified one day I’ll find his dead body on the sidewalk. I know this fear comes from inside me much more than from the actual danger: it’s a slow road, Bagha has a healthy fear of vehicles, and he’s a pretty calm, laid-back cat who won’t be caught suddenly dashing into the middle of the road because something startled him.

Still, I check the roads.

This morning, I started touring the neighbourhood again. Further than the places I know he goes to.

Conclusion: he’s not outside, or I would have found him. (Well, he would have found me, that’s usually how it goes.)

So I toured again, calling outside garage doors, pausing and listening. He’s got a loud voice. I’ve heard him calling from the cellar or the flat on the fourth floor where he was locked in once. He knows how to make himself heard.

This, I tell you again, is the cat who usually comes running to me once he’s seen me.

He’s microchipped. This means that if somebody takes him to the vet or the shelter, he’ll be identified as mine and I’ll be contacted. If he gets killed by a car, he’ll be identified by the team who deal with animal remains, and I’ll be contacted. I checked all this with people involved. No, they hadn’t found my cat.

I spent the afternoon printing out leaflets to stick on the entrance doors of the neighbourhood buildings (I had already put one in mine before I left for lunch). Now there are 30 leaflets with contact details, photograph and description of the cat, as well as my suspicion that he is either injured or locked in somewhere, plastered all over the neighbourhood. As you are bound to ask, he’s neutered, so he’s not after some hot female kitty.

One phone call, from a man who said he’s just seen my cat. I went to see, knowing there could be a confusion — there are about 4-5 cats around here with similar markings to mine. I don’t think it was mine; first of all because it was outside, and I tell you, if Bagha was somewhere outside I would have found him; second because I went there, and called, and called again, and no cat appeared. But who knows. Maybe something really strange is going on here. I didn’t see the cat this man had spotted, so I can’t say for certain.

Now I’m back home, vaguely waiting for the phone to ring or the cat to walk in, trying to find something to do with myself. I feel like hell. I don’t know how I made it through the day. I miss my cat horribly, and I’m so worried that something bad might have happened. The thought I might not see Bagha again is just too hard to bear.

Is this the price to pay for love and attachment? Now I know why a part of me gave up on love so long ago. It hurts way too much. Yes, hard times and sad times are a part of life just like all the rest. But they shouldn’t have to be quite as horrible as moments like this one.

So while I’m at it, let’s be a little constructive. Do you ever feed “stray” cats? Think twice. Cats are always interested in food, specially if you give them nice juicy tuna when all they get at home is vet-recommended dry food. (By the way, don’t give too much fish to cats — it contains thiaminase, an enzyme which destroys the amino acid thyamin, which cats are incapable of synthesizing.) The “hungry stray” might very well be just a clever beggar from the next block. Bagha regularly gets fed all over the place, even though I spend my time asking people not to do so.

Feeding somebody else’s cat just lures it away from its home and owner, centre of territory and primary source of nourishment and cuddles. So please, don’t feed other people’s cat. For all you know, the cat may start making a daily trip across a busy road to come and sample the delicacies you have to offer.

Thinking of adopting the cat that wandered into your living-room one day and avidly lapped up the milk you gave it? Some very worried owner may well be looking for it. Make thorough enquiries in your neighbourhood before getting too involved with it (feeding, naming, buying a litter-tray). This may sound stupid, but while my upstairs neighbours were keeping Bagha during my first trip back to India, he was simultaneously being adopted by a nice couple living just the other side of the road. He still came back here to sleep, but he spent his days there, complete with name and tinned food.

So, to sum it up: cats are independant animals and like to look masterless. It doesn’t mean all of them are stray. Oh, and please don’t feed other people’s cats.

Now I feel a bit better. I’ll tour the garages and cellars again once it’s nice and silent during the night. Of course, I’ll let you know as soon as the kitty turns up again. Thanks for listening.

Rencontre régulière de blogueurs romands [fr]

Je propose une rencontre romande de weblogueurs, tous les 1er mercredis du mois, à  Lausanne. Prochaine rencontre le 1er septembre, venez nombreux!

[en] I suggest a regular meet-up for bloggers in the French-speaking part of Switzerland (and others, if they are around), the first Wednesday of each month in Lausanne. Next meet-up on September 1st!

Bon, ça fait un moment que ça me démange, la dernière LBN a eu lieu il y a bien longtemps, et suite à  un petit sondage avec quelques autres blogueurs “romands ou habitant la romandie“, je me lance.

Sur le modèle de Paris Carnet ou des rencontres YULBlog, je propose qu’on se retrouve:

  • Le premier mercredivendredi de chaque mois, dès 19h (20h?)
  • A Café Romand à  la Place St-François à  Lausanne (c’est bien central — oui, on en a débattu hier soir, et les autres n’étaient pas lausannois!)

Ouvert à  tous, bien entendu, blogueurs résidants ou de passage, sans contraintes de régularité, etc. Faudra juste qu’on organise de vagues “pré-inscriptions” sur une page wiki ou dans les commentaires pour que je puisse réserver.

Reste à  trouver un nom. Jérôme nous a avoué ne s’être jamais senti vraiment concerné par les Lemanic Bloggers Night. J’ouvre donc ici un concours pour trouver un nom sympa, potable, explicite mais néanmoins rigolo pour ces rencontres. A celui ou celle dont on retiendra la proposition, on offrira gracieusement bières et croûtes au fromage (ou autre) lors de la prochaine rencontre (plus toute la gloire qui va avec).

La prochaine rencontre ne sera donc pas demain (ça fait un peu court!) mais le 1er3 septembre. Vous pouvez déjà  vous pré-inscrire dans les commentaires, en attendant qu’on se décide sur une page de wiki…

La Suisse, Tiers-Monde du joueb? [fr]

Encore un médiocre article sur les weblogs. Et je me permets de relever leur utilisation de “joueb” comme traduction de “blog”…

[en] A short comment on this article on blogs in Switzerland which clearly doesn't get it (Yet Another Lame Article on Weblogs).

Là , très franchement, je vais me fâcher tout rouge. Qu’on parle de “joueb” dans le cadre de Joueb.com, je veux bien, mais qu’on utilise ce mot comme traduction de l’anglais “blog” sans sourciller dans ce plutôt moyen article sur les weblog en Suisse, cela me donne à  penser que le traducteur, du moins, n’a pas trop mis les pieds dans la blogosphère romande.

Donc, chers lecteurs, sachez qu’il y a des weblogs en Suisse. Mis à  part ça, je ne vais pas m’amuser à  démonter l’article en question, tellement il me semble évident qu’il s’agit d’une reprise très standard du thème “ils ont pas compris les blogs” par quelqu’un qui, visiblement, n’a pas compris grand-chose non plus.

Prochain pas à  attendre: que ces «blogueurs» fabriquent eux-mêmes leurs nouvelles.

Comme me le fait remarquer Suw, la simple présence d’une phrase comme celle-ci, dans un article sur les weblogs, en dit bien long…