La fameuse sphère privée [fr]

[en] I write a weekly column for Les Quotidiennes, which I republish here on CTTS for safekeeping.

Chroniques du monde connecté: cet article a été initialement publié dans Les Quotidiennes (voir l’original).

J’ai passé les derniers jours à préparer une formation sur la gestion de la vie privée et professionnelle sur Facebook, en tant qu’employé. Ah, la vie privée! On se lamente sur sa disparition, on se demande si elle rétrécit ou même si elle disparaît carrément.

Un peu paradoxalement, j’ai tendance à vouloir définir que ce qui relève de la sphère privée, c’est ce qu’on n’expose pas en public. Plutôt que de vouloir définir ce qui fait ou non partie de la sphère privée (exercice périlleux, tant les réponses varieront d’une personne à l’autre), simplifions: ce qui est privé, c’est ce qu’on expose pas.

Jules parle de sa vie sexuelle sur son blog? On pourrait dès lors en conclure que celle-ci ne relève pas de sa sphère privée, plutôt que de déplorer le fait qu’il étale sa vie privée (selon nos valeurs) au grand jour.

J’en conviens, cette façon un poil extrêmiste d’aborder le problème coupe l’herbe sous les pieds de ceux qui voudraient débattre jusqu’à plus soif de la triste posture de notre pauvre vie privée, faute d’internet et de Facebook, cela va de soi. Je vous invite à prendre un peu de distance.

La notion de sphère privée est toute relative et personnelle: culturellement, socialement et historiquement déterminée (moderne aussi), on ne peut pas se permettre de parler en absolus. Ma sphère privée n’est pas votre sphère privée. Et ma sphère privée il y a dix ans n’est pas ma sphère privée dans dix ans.

Il faut aussi se demander: “privée face à quel public?” Le public, entité informe et muette (la plupart du temps), on se rend compte à force de trainer sa carcasse à travers les réseaux sociaux année après année, eh bien le public, il est divers, voyez-vous. Les publics. Pas partout les mêmes, changeants, incertains, mais aux couleurs différentes les uns des autres.

Aïe, ça devient compliqué. Vite, rendez-moi ma jolie vie privée toute sphérique!

Indian Scrambled Eggs Improvisation (Potato, Tomato) [en]

So, just because it was yummy and if I don’t write it down I’ll forget how I did it (and because some of you are jealous of my Indian cooking skillz), here’s what I threw together for lunch. (Words in bold will give you the list of ingredients.)

Indian Scrambled Eggs Improvisation 2

  • slice a medium-sized potato finely (I do it with the peeler)
  • chop some variety of onion in fine slices (I used one small yellow onion and one shallot that was lying around)
  • put a large amount of butter in a pan (+ some cooking oil so it doesn’t go brown), maximum heat (I never lowered the heat till the end)
  • add 1/4 teaspoon of black mustard seeds, 1 teaspoon of whole cumin (not black cumin, eek), and a healthy quantity of curry leaves (10-15 I guess — they freeze very well btw, best way to store them)
  • when all that has crackled for a bit, add potato and onion, salt generously, stir around (and keep on stirring while you continue doing what follows)
  • chop some garlic and a small green chili (freezes well too) rather finely
  • add that in the pan, and half a teaspoon of turmeric (keep stirring!!)
  • chop a tomato (I did one and a half) into rather small pieces
  • when the onions start looking tender and the potato slices start being cooked (shouldn’t take more than 5 minutes in total) add the tomato, and salt again
  • break 4 eggs in a basin (or however many or few you wish), salt, pepper, 1/4 teaspoon of garam masala (mine contains black pepper, cinnamon, black cardamom, and cloves) add chopped coriander leaves (they also freeze well), and beat that all up (don’t forget to keep an eye on the pan, you don’t want anything to burn)
  • by now the mix in the pan should be reasonably dry (if it’s swimming in tomato juice you’re in trouble), so add the eggs, and keep on stirring gently so the eggs start looking like scrambled eggs with lots of nice indian stuff inside
  • when the mixture seems dry enough and edible to you, you’re done!

I’d normally eat this with naan or a chapati or lebanese bread (sometimes easier to get by here), but as I had none available I just used a spoon.

Indian Scrambled Eggs Improvisation 3

Bon appétit!

Slowing Down: About Cleaning, Laundry, Accounting, and Backlogs [en]

[fr] Il vaut mieux avoir un style de vie ou processus qui nous permet de faire les choses à mesure (compta, rangement, nettoyages, vaisselle...) que de courir et devoir s'arrêter pour s'occuper des désastres accumulés qui ont commencé à nous pourrir la vie.

I’ve just spent about 2 hours tidying up the flat and cleaning it. And yesterday, as I was about to head out to my concert, I couldn’t find my flashlight (which we need for one of the songs). It wasn’t where it was supposed to be, I couldn’t find it in the half-unpacked bag from our last concert two weeks ago, and basically lost 20 minutes turning the already messy flat upside down. (I found it finally. Hidden inside one of my concert t-shirts I’d taken out of the bag.)

This experience has allowed me to realise, after all these months of living a reasonably tidy and organized life (not too much, but enough to be functional), that it’s much easier to find something when the place is not in a mess *and* it’s nicer to clean/tidy as you go along rather than have to stop to do it (although I actually do like cleaning).

A year an a half ago I set off on a process which helped me crawl out of 10 years (maybe even a lifetime) of feeling overwhelmed by the mess in my living space (thanks, FlyLady). There’ve been ups and downs, but overall I have been living in a tidy flat for many months, doing my accounting, putting my laundry away instead of living in the laundry basket, and giving my flat a quick cleaning session once a week. I’ve been slacking these last few months though, probably because of calendar overload.

What’s the general teaching here? In the spirit of the “not running” and “doing things now” principles I detailed in my “Journey out of Procrastination” series, I’d say the following:

It’s better to go slower and have a process/lifestyle which allows you to deal with things as they come, rather than running around and having to stop to deal with the accumulated backlog once it starts impeding on your ability to live happily.

In practice, for me, that means I need to pay attention to build enough time into my days/weeks for:

  • unpacking bags
  • putting things away after I’ve used them
  • washing the dishes after the meal/snack
  • doing my accounting at least once a week
  • cleaning the flat roughly once a week
  • putting my laundry away the day after laundry day
  • taking things to the office

In summary: planning ahead enough so that I’m not in a rush. Added bonus: life is more enjoyable like that.

Comment faire du vrai thé froid [fr]

J’ai fait une razzia d’achat de thé il y a quelques mois, et la gentille dame du magasin de thé de la rue Enning m’a expliqué le secret pour faire du bon thé froid: il faut le faire tirer à froid. Après avoir essayé plusieurs fois (je suis ravie du résultat) je tiens à partager ce “truc” avec vous.

  • 1 litre d’eau froide
  • 1 cuillère à soupe de feuilles de thé
  • un carré de sucre (ou plus si entente)

Mettre le tout au frigo et laisser infuser toute la nuit (10-12 heures, ou même plus si vous voulez plus de goût). Il suffit ensuite de filtrer (en servant ou à l’avance), et voilà, vous avez du thé froid qui fera pâlir n’importe laquelle de ces mixtures industrielles qui essaient de porter le même nom!

Il va sans dire qu’on peut ainsi faire tirer toutes sortes de thé. Je suis plutôt amatrice de thé noir, donc j’ai déjà testé le Lapsang Souchon, le Lady Grey, le Thé des Moines, le Thé Paradis… mais comme m’a dit la dame du magasin: “on peut faire infuser à froid n’importe quel thé!”

Acheter un billet d'avion dès qu'on peut [fr]

[en] As the editor for ebookers.ch's travel blog, I contribute there regularly. I have cross-posted some of my more personal articles here for safe-keeping.

Cet article a été initialement publié sur le blog de voyage ebookers.ch (voir l’original).

Hier, j’ai passé un moment à tenter de retrouver un article en anglais que j’avais lu et qui expliquait que dès qu’on avait assez d’argent pour acheter un billet d’avion, il fallait le faire. Impossible de retrouver l’article, mais je vais vous parler de ça quand même, de mémoire.

La raison pour laquelle j’y pense pas mal ces jours, c’est parce que ça fait depuis le début de la semaine (et depuis pas mal de semaines avant ça) que je suis activement en train de ne pas acheter le fameux billet d’avion pour l’Inde dont je rêve depuis plusieurs années.

J’ai l’argent (on fait des miracles avec une minuscule somme mensuelle sur un compte épargne — si vous n’avez pas déjà de système comme ça en place pour pouvoir vous payer des vacances, je vous encourage vivement à le faire sans tarder!) et j’ai décidé quand je partais (plus ou moins), mais quelque chose me retient. Alors je repense à cet article et j’essaie de me souvenir de son contenu pour débloquer la situation.

Je sais qu’une chose que disait son auteur était que même si on n’avait pas de projet de voyage, il fallait faire le saut. Quand on s’y prend très à l’avance, les vols sont vraiment bon marchés. (Je vois bien ça, si j’avais acheté mon billet direct le premier jour où j’avais regardé les prix, il serait moins cher qu’aujourd’hui. Si j’attends encore, ça ne va pas s’arranger.)

Alors, qu’est-ce qui me retient? La peur de concrétiser un projet que je garde à l’horizon depuis plusieurs années, la peur aussi d’arrêter des dates et de réaliser que je n’ai pas fait le meilleur choix… Ah, quelle histoire, faire le meilleur choix. Vous avez lu The Paradox of Choice?

Bon, allez, je range mes doutes et mes peurs au vestiaire, et je vais acheter ce billet. Je vous promets une série d’articles indiens durant mon séjour en janvier 2011!

Flash Informatique: appel aux articles sur le thème "Société 2.0" [fr]

[en] Call for papers: Flash Informatique is looking for papers on the theme "society 2.0". The deadline is short but I encourage you to seize the occasion (I wrote an article for them a few years back). The publication is in French but it could contain a few articles in English. Go for it!

Avis aux amateurs, le magazine Flash Informatique de l’EPFL lance un appel aux contributions pour son numéro spécial d’été sur le thème “Société 2.0”.

Les délais sont courts (8 juillet pour une première version, éventuellement 12 si vraiment il faut) mais je vous encourage à saisir cette occasion. J’avais écrit pour eux un article sur les blogs il y a plusieurs années, et j’avais été ravie de pouvoir le faire!

Je suis certaine que les lecteurs de Climb to the Stars ont des tas de choses intéressantes à dire sur le sujet, donc n’hésitez pas.

WordPress.com Still Messes Up Tags and Categories [en]

It pains me to say it, but much as I love them, they still don’t quite get the difference between tags and categories. Yes, WordPress.com now makes a difference between tags and categories (and have been doing so for quite some time), but they are still missing part of the equation.

  • Categories are big pre-defined drawers to sort your posts in. They’re local.
  • Tags are labels you stick on posts after you have written them. There are tons of them and they’re messy and they’re global.

Logically, links on tags should point to the general WordPress.com tagspace (they do) — and links on categories should point to the local category pages of that particular blog. Only they don’t always.

The “Categories” widget works the way it should. But the rest is a mess. Examples.

  • Look at the Coworking Léman site, which uses the Mistylook theme that I personally love. This article‘s category links to the general WordPress.com tagspace (wrong), whereas this one‘s category links to the local category page (right).
  • The La Muse site, which uses Ocean Mist, makes article categories link to the general tagspace (wrong) but at the bottom of the page, lists categories with the correct links to category pages.

I could find more.

In general, the problem seems to be that article category links are made to link to the tagspace just as tags do. I mean, what’s the point of having a difference between tags and categories (an important one, if you ask me) if you make them behave the same way in the templates? This is a major problem for me. I hope Automattic are listening and will do something about it. (I contacted support but was told, basically, that it was a feature.)

So, please, Automattic: make the links on category names link to local category pages, and the links on tag names take us to the global tagspace.

Thanks!

OS 10.6, iCal, gCal, and my iPhone [en]

[fr] Après ma mise à jour de OSX, petit problème avec iCal qui refusait de synchroniser avec mon iPhone les calendriers Google "délégués". La solution: ajouter chaque calendrier CalDAV individuellement. J'ai aussi trouvé la source des alarmes énervantes qui ont fait récemment leur apparition pour chaque nouvel événement que j'ajoutais: l'onglet "Notifications" dans Google Calendar.

I upgraded to OSX.6 (Snow Leopard) a week or so ago and discovered that iCal supported built-in sync with Google Calendar. I’d been using Spanning Sync until now (and was happy with it) but thought that if iCal did this out of the box, I might as well try it.

So, I set up delegation to add my multiple gCal calendars to iCal, but was disappointed that only my main calendar seemed to sync with my iPhone.

I found the solution to the problem here: how to make multiple Google Calendars in iCal sync with iPhone. In short, you turn off delegation, and add each gCal manually as a CalDAV account. Five minutes of work, but it works!

Since my upgrade I also had annoying notifications for each new event I created, even though I had turned off alarms in iCal. After hunting high and low, I spotted the “Notifications” tab in gCal calendar details, and discovered I had a series of default alarms set there for my main calendar. I turned them off, and while I was at it, linked my mobile phone to my account so I can get SMS alerts when I want them. (For once that this kind of stuff works with Switzerland too!)

De la créativité à l'action: workshops [fr]

Présentation des 4 workshops.

Atelier 1 — Kate Lindley

Thème “créer en équipe”. Un peu bateau? Buts: parler et formaliser une liste de conditions pour la créativité en équipe (contexte: Suisse romande).

Idée: changement de paradigme, anciennes approches vs. nouvelle vision: intelligence collective, interdépendances, solutions bottom-up, théorie Y, opportunités, work-outs (on laisse command and control, le créateur seul, le top-down, théorie X (McGregor), problèmes, etc…)

Utiliser des approches créatives avec apports constructifs différents.

  • Appreciative inquiry: construire sur ce qui marche bien
  • World Café: inclure toutes les parties présentes
  • Future Search: planification stratégique, look at the big picture
  • Open Space: optimiser le temps
  • Action Learning: diminuer la résistance au changement

Atelier 2 — Denis Hertz

Comment utiliser vos ressources intuitives pour résoudre des situations complexes de manière proactive. On a beaucoup parlé de processus et outils pour stimuler la créativité. Mais on a des ressources naturelles! L’intuition par exemple.

4 formes d’intelligence:

  • cognitive: je pense donc je suis “je sais”
  • émotionnelle: capacité à sentir ses émotions, celles des autres, et en faire quelque chose d’intelligent “je sens”
  • intuitive: capacité d’évaluer êtres et situations sans avoir besoin de raisonner “je sais”
  • collective: on est en interaction constante avec notre environnement; c’est l’ensemble qui définit le comportement des éléments

*steph-note: recommandation de lecture: Blink de Malcolm Gladwell.*

Faire le lien entre les performances analytiques et les capacités intuitives. Devenir plus conscient de cette articulation, acquérir de nouveaux réflexes utiles à la prise de décision.

Deux outils:

  1. décodage intuitif
  2. constellations systémiques d’organisation

Atelier 3 — Giorgio Pauletto

Observatoire technologique: create the service box.

L’économie s’est tertiairisée. Industrie de services. Tangibiliser une idée de service qui est par nature immatérielle.

On va mettre l’idée du service dans une boîte en carton, et dessiner sur la boîte la perception et la valeur ajoutée de ce service. Dire pourquoi c’est important, et quel problème ça résout.

Restitution en mode narratif. Raconter une histoire sur la base de la boîte qu’on a créée.

*steph-note: intéressant!* On repart avec un objet physique!

Atelier 4 — Anne Heleen Bijl

Comment le réaliser? Engagement et synergie avec ceux avec qui on travaille. On va utiliser les 7 règles de communication créative de tout à l’heure. Inventer une petite entreprise de toutes pièces, et suivre une méthode primée qu’Anne a développée.

Workshop: how to make it work? (Anne Heleen Bijl) [fr]

*Mes notes du workshop…*

1. chacun apporte une métaphore qui symbolise ses désirs pour le futur — 2020 (il y a une /vraie/ baguette magique si jamais on coince) — faire des sketches, pubs etc. datés 2020 sur tout ce que notre entreprise aura accompli de merveilleux. Wishful thinking. Faire émerger tous les désirs cachés concernant la projet.

2. moment eurêka – vision – small steps – concrete realisation

Attention, is le coeur n’y est pas, il faut faire autre chose! Ne choisir que des activités qui nous enthousiasment.

PMI: si on a des doutes, faire un PMI! Tout le monde participe:

– 3 minutes pour les points positifs, les avantages
– 3 minutes pour les points négatifs, les désavantages
– 3 minutes pour les points intéressants sans jugement de valeur (“qu’est-ce qui peut être intéressant”)

Autre méthode: moines dominicains. Deux personnes. On donne à la première un objet (jetable). Tant qu’on tient l’objet on peut parler (max 1-2 minutes, sinon c’est trop long à résumer). Quand on a fini on fait un pas en avant et on jette l’objet. C’est à la deuxième personne de résumer ce qu’a dit la première, jusqu’à ce que la première soit d’accord avec le résumé. Puis la deuxième dit avec quoi elle est pas d’accord, et avec quoi elle est d’accord, puis elle donne son opinion, fait aussi un pas en avant, et jette l’objet à la première, qui fait son résumé, etc. (Il faut partir assez loin, on continue le processus jusqu’à ce qu’on soit trop près pour continuer.) Ça marche à deux mais c’est vrai que c’est mieux avec un médiateur. Possible aussi avec des groupes antagonistes, en politique par exemple.

Idée: aussi faire en sorte que les jeunes coachent les vieux. Célébrer les succès.

Nearlings and beyonders can also be celebrated. (“good” failures)

Faire des excursions pour aller voir comme ça se fait ailleurs.

Une stratégie sous forme de mind map coloré (art map) est bien plus lisible qu’un mémo gris de 200 pages.

Donc une étape c’est de faire un art map de son projet pour que tout le monde le comprenne bien. Aussi pour tâches d’une équipe.

5 langues d’appréciation.

Exercice: le mur. 4 volontaires forment le mur. Le but c’est de séparer le mur au milieu pour accéder à quelque chose qui est derrière. Le mur ne doit pas coopérer. Pas beaucoup de place, on va éviter les solutions “physiques”. Très important: s’approcher du mur. Le mur est très sensible aux fausses promesses. Ce qui aide: demander au mur de quoi il a besoin pour pouvoir traverser, ou bien créer un avantage mutuel derrière le mur.

Pensée latérale: changer l’angle sous lequel on approche un problème. 5 façons:

– conversion: définir ce qu’on trouve normal et inverser (par exemple: on trouve normal que le chauffeur de taxi connaisse le chemin et pas le client, on renverse et les clients qui connaissent leur chemin forment les nouveaux chauffeurs).
– exagération: “tout Genève doit venir!” Exagérer le problème.
– wishful thinking: oser formuler ses désirs, complètement (baguette magique)
– choisir un mot arbitraire pour se stimuler (comme bananaslug)
– échapper à ce qu’on pense être normal, faire tomber l’idée dominante.

Les gens ne se sentent pas appréciés. Différentes langues (pas contente du gros bonus, aurait préféré un bouquet de fleurs). Il y a 5 langues différentes pour exprimer et recevoir la reconnaissance, et on a chacun notre langue favorite, une pour donner une pour recevoir. Si c’est dans une autre langue on ne le remarque même pas!

1. compliments (environ 20% des gens)
2. action pour l’autre
3. faire quelque chose ensemble, être là pour l’autre (majorité des gens)
4. contact physique (une personne sur 5)
5. cadeau matériel (pas de l’argent)

Pour l’histoire de la motivation et de l’argent, voir carotte et créativité ne font pas bon ménage.