TMS : Les éclopés de l'ordinateur [en]

L’article dans Femina dont je vous parlais est enfin disponible en ligne : Les éclopés de l’ordinateur. Quelques rectifications, précisions, etc. dans un e-mail que j’ai envoyé à  la rédaction :

Bonjour,

Je désire apporter quelques précisions à  l’article (par ailleurs excellent) de Mona Chollet sur les TMS, « Les éclopés de l’ordinateur ».

Tout d’abord, une rectification : contrairement à  ce qui est écrit dans l’article, je n’ai pas dû apporter de documentation à  mon médecin pour qu’il prenne mon problème au sérieux, même si il m’a semblé effectivement un peu perplexe devant le temps qui passait sans que mon mal ne s’atténue. Je connais cependant des personnes qui l’ont fait, et j’ai indiqué certains articles qui me semblent particulièrement appropriés à  cet usage.

Ensuite, ce sont principalement mes propres « auto-soupçons » d’hypocondrie qui me ramènent à  mon clavier, plus que les remarques mon entourage ; lorsque la douleur s’atténue, je finis par me demander si je ne suis pas en train d’imaginer tout ça. Clairement, l’incrédulité initiale (qui se mue cependant rapidement en compréhension) d’autrui m’encourage dans cette direction…

Heureusement, je peux encore pratiquer le judo, quoique de façon limitée. Je ne fais plus de combat ni de chutes, et je m’entraîne plutôt « tranquillement ».

L’article ne précise malheureusement pas l’adresse de la liste de discussion par e-mail TMS-RSI. Je me permets de remédier ici à  cette omission :http://fr.groups.yahoo.com/group/tms-rsi/

Finalement, n’attendez pas de ne plus pouvoir taper pour utiliser un logiciel de reconnaissance vocale comme Dragon NaturallySpeaking. La rédaction simple est avec un peu d’entraînement plus efficace à  la voix qu’à  la main (à  plus forte raison si votre aisance au clavier laisse à  désirer…) Le prix de vente du logiciel est abordable, et cela permet de diminuer la charge sur vos bras. Bien entendu, tout ce texte a été dicté !

Meilleures salutations,

Stephanie Booth

Vous savez comme je m’inquiète toujours d’être comprise de travers…

Online Journal Etiquette [en]

Read, enjoy and listen to her: Gothic Miss Manners on online diaries.

Metablog [en]

À surveiller : pointblog.com, « toute l’actualité des blogs ».

Réflexions blogosphériques [en]

Un grand merci à  ceux et celles qui ont répondu aux « questions blogosphériques » que je leur avais envoyées il y a déjà  un petit bout de temps. J’avais l’intention de vous répondre personnellement, de façon détaillée, mais comme toujours à  vouloir trop bien faire on finit par ne rien faire du tout. Toutes mes excuses donc pour l’absence de réponse à  vos e-mails.

Je mijote donc un « petit papier » (qui n’aura d’autre prétention que de figurer sur ce site) dont le thème tournera autour de la question « que vaut ce que l’on peut dire aujourd’hui sur les weblogs ? ». Je procrastine peut-être, mais ça mûrit gentiment. Voici quelques réflexions préliminaires pour vous tenir en haleine.

Un point que plusieurs d’entre vous ont relevé est le suivant : on construit l’histoire en la racontant. Ce que l’on dit aujourd’hui sur les weblogs contribue à  façonner ce qu’est un weblog. C’est une idée à  méditer et à  creuser. Il y a du pouvoir entre nos mains.

La rapidité avec laquelle on se retrouve propulsé « spécialiste » sur le web m’étonne toujours. Qu’un journaliste plus ou moins bien informé cite quelqu’un comme référence pour un sujet donné, et voilà  cette personne « spécialiste ». C’est d’ailleurs ce qui m’a motivé à 
envoyer ce petit questionnaire, afin de récolter du matériel pour pouvoir pousser un peu plus loin quelques questions qui me travaillent.

Lorsque je me suis faite interviewer par la Radio Suisse Romande par exemple, la journaliste m’a à  un moment donné appelée « spécialiste des weblogs » (je ne me souviens plus si ce moment se retrouve dans l’interview finale ou non). Je ne me voyais pas du tout « spécialiste des weblogs ». J’étais tout au plus une personne qui en tenait un depuis un certain temps et qui s’intéressait d’assez près au sujet. Étais-je pour autant une spécialiste ?

Qui est à  même de reconnaître un spécialiste dans une discipline qui n’est pas la sienne ? J’ai l’impression qu’ici (sur le web, et peut-être ailleurs aussi ?), on est toujours un peu le spécialiste de quelqu’un qui en sait moins que soi. Certains s’adressent à  moi en tant que spécialiste du PHP, du positionnement CSS, des TMS, du hindi, des weblogs (!) et même des ordinateurs. J’ai des connaissances variables dans les domaines cités ci-dessus. Mais en suis-je « spécialiste » ? Certes, j’ai une certaine compétence dans chacun de ces domaines. Je connais également pour chacun d’eux des personnes qui en savent bien plus que moi. Mais quand on dit « tel ou tel est un spécialiste de… », on ne sous-entend pas « par rapport à  moi », on fait bien une évaluation du savoir ou des compétences de cette personne sur une échelle absolue.

Quelles sont donc les caractéristiques d’un spécialiste ? Quels critères avons-nous pour décider ou non d’appeler quelqu’un un « spécialiste » ? Questions à  creuser… Elles ne sont pas triviales : une fois que quelqu’un est un « spécialiste » de quelque chose, tout ce qu’il ou elle dit sur ce sujet à  un autre poids, une autre autorité.

Lorsque je vous donne plus haut la liste de mes « spécialités » (en souriant un peu), je me fais la réflexion suivante : un spécialiste, n’est-ce pas justement quelqu’un qui a une spécialité ? Et lorsque l’on dit que l’on se spécialise, est-ce que cela ne signifie pas que l’on va acquérir des connaissances approfondies dans un domaine précis au détriment des autres ? Autrement dit, une personne n’est-elle pas limitée dans le nombre de choses dont elle peut être « spécialiste » ? Reprenant mon cas, mes spécialisations seraient bien plus l’analyse et l’interprétation des discours, ainsi que la culture indienne, plutôt que tout ce dont il est question ci-dessus.

Tout ceci est encore bien confus, je suis la première à  l’admettre. La discussion ci-dessus ne me convainc qu’à  moitié, mais elle contient je l’espère quelques fils qui m’aideront à  tisser mon « petit papier »…

Sell Standards With Numbers [en]

Picked up in the comments at What do I know (a page in the chapter “How to Sell Standards to the Managers”):

I was tired of the other developers calling to ask me if the page looked okay on the Mac. The other developers kept tossing in more tables and spacers to .fix. it for the Mac..So I was driven to tell a manager last week that his home page currently has 800 lines of code, 160 transparent spacers, 21 nested tables, over 36,000 characters and a page size of 65K. (Total copy on the page was less than 1500 characters!)

65K isn.t too awful, but a CSS redesign brought it down to under 12K and it looks almost identical in modern browsers.

Jeff Hartman

Wishlist [en]

Unobtrusive DHTML [en]

Having just tested it five minutes ago, let me tell you that unobtrusive DHTML is to web pages what Plug-and-Play is to hardware.

Web design : la vie, c'est le changement [en]

Si vous souffrez de réticences à  abandonner les bonnes vieilles méthodes qui ont fait leurs preuves depuis 1995 (comprenez, par exemple, l’utilisation de tableaux pour la mise en page), lisez (et relisez) l’histoire de Clarence le poney. C’est une très jolie histoire, et elle explique bien dans quelle situation se trouvent bon nombre de web designers aujourd’hui.