Jeudi 4, supplémentaire pour Chéserex [fr]

[en] An extra opportunity to come and see Café-Café (a group I'm part of) sing at Chéserex, next Thursday (May 4).

J’ai peut-être mentionné déjà  que je chantais depuis la rentrée scolaire dans le groupe Café-Café. Si tout va bien (comprendre: si j’arrête de bafouiller durant les répètes alors que je sais toutes mes paroles par coeur, et si donc le directeur du choeur me laisse monter sur scène) je serai présente sur scène à  Chéserex lors du concert de la semaine prochaine.

Vendredi et samedi sont pleins, il ne doit plus rester beaucoup de places pour mercredi, et on nous a confirmé ce soir que la supplémentaire de jeudi 4 mai aurait lieu. Donc, si ça vous dit, venez nous écouter!

Il y a un formulaire de commande sur le site du festival (ne vous laissez pas bluffer par le titre de la page, c’est bien un formulaire), mais comme il n’a pas encore été mis à  jour pour le jeudi, voici aussi un numéro de téléphone pour les réservations de billets: 079 228 18 90 (numéro valable uniquement pour jeudi, attention!)

En passant, cet événement explique mon absence et au prochain Bloggy Friday (allô Anne Do?) et aux Swiss Blog Awards — voyez d’ailleurs à  ce sujet l’excellent billet de Bruno Giussani au sujet de la sous-représentation des blogs francophones et italophones pour ce prix.

La chanson, bande-son de nos vies [fr]

Une citation de Jean-Jacques Goldman.

[en] Jean-Jacques Goldman: songs are the soundtracks of our lives.

Récemment, je disais à  un journaliste que la chanson
n’était pas forcément ce qu’on appelle un art majeur, un art qui
termine dans des musées, qui est fait pour la pérennité, pour la
postérité, mais que par contre, c’était un outil de l’immédiat,
qu’aucun autre art ne pouvait remplacer. Je disais que moi j’étais un
peu, enfin, que nous étions un peu comme le papier peint des gens,
c’est-à -dire on était la bande-son de leur existence. On met pas du
papier-peint dans des musées, et nous, c’est pareil. Peut-être que
cette musique ne restera pas, peu importe, mais je sais que les gens
se rencontrent, se regardent, se touchent, font l’amour, font des
enfants, se marient, sur ces musiques-là . Moi, personnellement, ça me
suffit (rires).

Jean-Jacques Goldman, 24.04.1998(interview radiophonique)