Redesign [en]

Serait-ce contagieux ? Trying to Find Myself change de look, avec en prime balisage allégé et conformité W3C.

Et en plus, c’est joli. Si il continue comme ça, ce garçon va finir par ramasser un blog d’or.

Totalement crétin [en]

Mat est enfin de retour avec Totalement crétin, une bouffée d’air frais à  consommer sans modération (bon, maintenant, au travail, Mat !)

Désillusion [en]

Non seulement j’apprends que ceci n’est pas un weblog, mais en plus je viens de découvrir que bingirl ne me lisait même pas.

Il ne me reste plus qu’à  m’acheter une falaise.

Wanted! [en]

Michel V. of b2 fame seems to have disappeared. The last traces he left on his weblog take us way back to December.

Any information on his whereabouts and state of health would be very much appreciated by his online friends and fans. Yes, we are thinking about rewards.

Avis de recherche [en]

Est-ce que quelqu’un aurait vu/entendu/lu Michel V. récemment ? Visiblement, je ne suis pas la seule à  me poser la question : j’ai reçu ce matin un e-mail (et Sam a visiblement reçu le même) me demandant si je savais comment le joindre. La dernière trace que je vois de lui sur son site date de décembre, et b2 n’a pas l’air d’avoir été touché depuis novembre.

Est-ce que quelqu’un a plus d’informations ? Michel, si jamais tu lis ceci, donne-nous un signe de vie !

Blogs suisses [fr]

Maintenant que les blogs d’or ont une catégorie pour les weblogs suisses et un bouton qui vous envoie aléatoirement sur un des sites inscrits, j’ai pu découvrir toute une cralée de petits weblogs qui ne demandaient qu’à  être ajoutés au portail SwissBlogs.

On commence à  être assez pour un système sérieux avec base de données et tout. Il y a des volontaires pour m’aider avec la maintenance? (Garder la liste à  jour, trier les inscriptions…)

Online Journal Etiquette [en]

Read, enjoy and listen to her: Gothic Miss Manners on online diaries.

Metablog [en]

À surveiller : pointblog.com, « toute l’actualité des blogs ».

Réflexions blogosphériques [en]

Un grand merci à  ceux et celles qui ont répondu aux « questions blogosphériques » que je leur avais envoyées il y a déjà  un petit bout de temps. J’avais l’intention de vous répondre personnellement, de façon détaillée, mais comme toujours à  vouloir trop bien faire on finit par ne rien faire du tout. Toutes mes excuses donc pour l’absence de réponse à  vos e-mails.

Je mijote donc un « petit papier » (qui n’aura d’autre prétention que de figurer sur ce site) dont le thème tournera autour de la question « que vaut ce que l’on peut dire aujourd’hui sur les weblogs ? ». Je procrastine peut-être, mais ça mûrit gentiment. Voici quelques réflexions préliminaires pour vous tenir en haleine.

Un point que plusieurs d’entre vous ont relevé est le suivant : on construit l’histoire en la racontant. Ce que l’on dit aujourd’hui sur les weblogs contribue à  façonner ce qu’est un weblog. C’est une idée à  méditer et à  creuser. Il y a du pouvoir entre nos mains.

La rapidité avec laquelle on se retrouve propulsé « spécialiste » sur le web m’étonne toujours. Qu’un journaliste plus ou moins bien informé cite quelqu’un comme référence pour un sujet donné, et voilà  cette personne « spécialiste ». C’est d’ailleurs ce qui m’a motivé à 
envoyer ce petit questionnaire, afin de récolter du matériel pour pouvoir pousser un peu plus loin quelques questions qui me travaillent.

Lorsque je me suis faite interviewer par la Radio Suisse Romande par exemple, la journaliste m’a à  un moment donné appelée « spécialiste des weblogs » (je ne me souviens plus si ce moment se retrouve dans l’interview finale ou non). Je ne me voyais pas du tout « spécialiste des weblogs ». J’étais tout au plus une personne qui en tenait un depuis un certain temps et qui s’intéressait d’assez près au sujet. Étais-je pour autant une spécialiste ?

Qui est à  même de reconnaître un spécialiste dans une discipline qui n’est pas la sienne ? J’ai l’impression qu’ici (sur le web, et peut-être ailleurs aussi ?), on est toujours un peu le spécialiste de quelqu’un qui en sait moins que soi. Certains s’adressent à  moi en tant que spécialiste du PHP, du positionnement CSS, des TMS, du hindi, des weblogs (!) et même des ordinateurs. J’ai des connaissances variables dans les domaines cités ci-dessus. Mais en suis-je « spécialiste » ? Certes, j’ai une certaine compétence dans chacun de ces domaines. Je connais également pour chacun d’eux des personnes qui en savent bien plus que moi. Mais quand on dit « tel ou tel est un spécialiste de… », on ne sous-entend pas « par rapport à  moi », on fait bien une évaluation du savoir ou des compétences de cette personne sur une échelle absolue.

Quelles sont donc les caractéristiques d’un spécialiste ? Quels critères avons-nous pour décider ou non d’appeler quelqu’un un « spécialiste » ? Questions à  creuser… Elles ne sont pas triviales : une fois que quelqu’un est un « spécialiste » de quelque chose, tout ce qu’il ou elle dit sur ce sujet à  un autre poids, une autre autorité.

Lorsque je vous donne plus haut la liste de mes « spécialités » (en souriant un peu), je me fais la réflexion suivante : un spécialiste, n’est-ce pas justement quelqu’un qui a une spécialité ? Et lorsque l’on dit que l’on se spécialise, est-ce que cela ne signifie pas que l’on va acquérir des connaissances approfondies dans un domaine précis au détriment des autres ? Autrement dit, une personne n’est-elle pas limitée dans le nombre de choses dont elle peut être « spécialiste » ? Reprenant mon cas, mes spécialisations seraient bien plus l’analyse et l’interprétation des discours, ainsi que la culture indienne, plutôt que tout ce dont il est question ci-dessus.

Tout ceci est encore bien confus, je suis la première à  l’admettre. La discussion ci-dessus ne me convainc qu’à  moitié, mais elle contient je l’espère quelques fils qui m’aideront à  tisser mon « petit papier »…

Remettre un peu d'espace dans le web [en]

Suivez les excellentes instructions de poxx pour ajouter votre site à  GeoURL. Internet a aboli l’espace, GeoURL lui redonne une place en localisant les différents sites Web sur une carte. Ensuite, vous pouvez par exemple faire connaissance de vos voisins (tiens, salut Bertrand !)

Notons que Maporama fonctionne même si vous n’habitez pas en France ! 😉