[en] If ever you're in France, at the Festival de Romans, and you bump into Christophe Ginisty, would you do me a favour and remind him that his company (Pointblog SàRL) still owes me money for an article I wrote roughly a year ago. Thanks in advance!
Il y a un an de cela, Cyril Fiévet me contactait pour savoir si j’étais toujours intéressée à contribuer au magazine Netizen, produit par la société Pointblog SàRL.
J’ai accepté avec plaisir, j’ai passé deux bonnes journées à suer sur mon clavier (littéralement, j’avais un crève du diable et une fièvre du tonnerre), et le résultat a été publié dans le numéro 2 de Netizen.
Restait à me faire payer (parce que oui, la gloire et tout c’est bien joli, mais c’est encore mieux quand ça permet de payer un peu le loyer et les croquettes du chat). D’abord, mea culpa, j’ai tardé — car je n’avais pas réalisé que Cyril m’avait envoyé par mail des choses à imprimer, remplir, signer, renvoyer, etc.
En juin (je crois, faudrait que je re-fouille dans mes mails pour être sûre), donc, motivée en partie par le lavage de linge sale qui a fait un peu le tour de la blogobille à l’époque, j’envoie un timide e-mail au rédac’ chef du défunt hibernant méditant magazine, histoire de savoir si j’ai une chance de voir un jour la couleur de ces euros durement gagnés.
Un forward ou deux plus tard, aussi bien Gilles Klein que Christophe Ginisty, qui dirige la société Pointblog, réagissent par mail pour me demander des détails pour qu’on puisse régler l’histoire. Très bien, donc.
C’est là que j’ai réalisé que je n’avais pas encore renvoyé les papiers. Je l’ai donc fait et j’en ai informé Christophe Ginisty par e-mail.
Puis, j’ai attendu.
Vous connaissez la chanson?
“J’ai attendu attendu elle n’est jamais venue…. daï daï daï daï tagada tsoin tsoin… daï daï daï daï…”
J’attends toujours.
Faut dire qu’entre-temps, j’ai quand même relancé Christophe une ou deux fois par mail, puis par courrier recommandé-signature-etc. (vous vous souvenez peut-être…). Ai aussi tenté de l’ajouter sur Skype (même si je suis une timide du combiné, avec Skype je m’en sors à peu près), mais sans résultat. Si je ne savais pas mieux, je me demanderais s’il n’était pas par hasard mouru.
Donc, chers amis lecteurs, si jamais vous allez au Festival de Romans et que vous y croisez Christophe Ginisty, vous voudriez bien lui rappeler que sa société me doit encore des sous, siouplaît, et qu’il doit y avoir dans une pile quelque part mails et courriers de ma part à ce sujet?