Holidays [en]

I’m on holidays! On the train, riding home, on my way to buy a digital camera (if my

photographer shop manages to sell me one in less than half an hour), un-pack my Barcelona suitcase,

iron a bunch of clothes (or not, Aleika has an iron in Birmingham), drive up to the cattery (40

minutes) and drop off the animal there for

his first fortnight at the “hotel”, clean up the flat a bit and pack my suitcase.

Two weeks of real holidays, Birmingham-Leeds-Dublin-Birmigham, the first real holidays I will

have had in ages. No dissertation to write, no courseworks left aside to steal a few days of guilty freedom, no

“other-things-I-should-be-doing-instead-of-this”. Real holidays.

I may or may not be online these next two weeks. Everything is possible. Time to read, spend time with Aleika,

Akirno, my Grandparents and Kitof, take photographs, and maybe play about with Movable Type. We’ll see as it goes.

I’ve taken a step to organising my next holidays, too. I’ll be going back to India for a month in February, and I’ve

already had my holiday sheet signed. I’ll be booking tickets soon.

As I tend to loose track of where people I know online live, don’t hesitate to let me know if

I’ll be coming around your place. I like going out for a coffee and a chat, and as I said recently,

the bit I prefer about the Internet is meeting people.

Illumination et prise de conscience [en]

Mes études sont bel et bien terminées. Il y a dix jours, je me suis rendue à  l’université une dernière fois en tant qu’étudiante, pour recevoir mes résultats. Sans grande surprise, mais néanmoins avec grand soulagement, je trouve mon nom dans la liste des étudiants ayant réussi leurs examens. Je me rends un étage plus bas pour l’apéro, je reçois l’enveloppe renfermant mes notes, je serre la pince au doyen. Je ne reste pas longtemps, je ne connais plus personne. Je préfère retourner célébrer ça avec mes collègues.

La grande surprise, c’est mon travail de psychologie de la religion: Illumination et prise de conscience: un point de rencontre entre zen et psychothérapie?, qui bien qu’écrit un peu en catastrophe (c’est un euphémisme), m’a valu un 5.5 sur 6. Pour ceux qui viennent de contrées ou de pays où la notation est différente, sachez que c’est une excellente note.

J’ai donc mis ce petit travail en ligne (après avoir laborieusement nettoyé le “HTML” produit par Word), d’une part parce que finalement j’en suis assez satisfaite, et d’autre part parce que plusieurs personnes m’ont demandé à  le lire. Je vous recommande d’ailleurs d’imprimer la version Word et de le lire sur papier, ce sera bien plus agréable qu’à  l’écran.

En passant, je vois que la liste de mes écrits s’allonge. En tâche de fond, je songe à  réorganiser le site, et je garde à  l’esprit cette remarque (de Denis, je crois): il y a tellement de choses sur mon site qu’on ne s’y retrouve plus, et que ça décourage de partir en exploration. Alors pour aujourd’hui, visitez un peu la section écriture, et si vous lisez l’anglais, arrêtez-vous sur un petit texte dont j’avais oublié l’existence, et que j’ai relu tout à  l’heure: Librarian.

Backlog [en]

Les billets à  écrire qui s’empilent, mais pas trop d’envie de les écrire (ça viendra). Une réponse à  Mediatic pour son dernier commentaire sur l’affaire milou, quelques réflexions sur divers sujets gribouillées dans un carnet papier à  Barcelone et recommandations perso style guide touristique pour cette belle ville, une Lemanic Bloggers Night fort réussie, des études terminées avec des résultats ma foi fort satisfaisants, et FeedDemon que j’utilise depuis une heure ou deux et que j’adore déjà .

Plus tard, donc. J’ai faim, il fait beau, mon frigo est vide, et cinoche ce soir.

C'est ce soir! [en]

Non, ce n’est pas trop tard! Je vous raconterai Barcelone après. Pour le moment, si vous êtes de près ou de loin dans la région de Vevey, si vous avez un weblog, rejoignez-nous pour la Lemanic Bloggers Night. Oui, même si vous n’êtes pas inscrits. Débarquez, vous devriez pouvoir nous trouver.

A bientôt!

PS: j’aurai un poil de retard, ne vous en faites pas…

Touchée [en]

C’était il y a un instant ou il y a quelques jours. J’ai été touchée. Par

Dehors, on dirait l’hiver.

Vieille peau [en]

Autre signe de vieillissement avancé: deux ados jouent avec des sonneries de portable dans la cour, volume à  fond.

Eh bien ça m’énerve, ces bruits qui troublent la tranquillité de mon dimanche matin… J’ai manqué leur crier de faire moins fort depuis mon balcon!

Je ressemble de plus en plus aux mamys de mon immeuble, et mon weblog ressemble de plus en plus à  un “lifeblog-des-petits-riens-de-ma-vie”. A surveiller (les deux!)

Foutoir [en]

Caramba! J’avais oublié le Foutoir Suisse. Me voilà  bloquée en haut de l’avenue du Mont-Blanc par… un troupeau de moutons, qui descendait cette même avenue.

Là , voyez-vous, je me suis crue de retour à  Pune, l’espace d’un instant (que j’adore cette expression).

Résultat: de retour à  la maison après un détour par Cery (pas pour ce que vous pensez!), j’attendrai cet après-midi pour me rendre en ville en bus.

Entre les quatre amendes de parkage en trois jours de cette semaine, et le comptoir la semaine prochaine, j’éprouve en ce moment une légère irritation à  l’égard de ma ville chérie.

Away [en]

It’s almost eerie how easily I can bear the absence of someone I care for when I’m warned of the absence. And equally eerie how unbearable an unannounced absence can be to me.

Souvenir élastique [en]

Les souvenirs se modifient avec le temps. C’est un phénomène connu, recherché et documenté. Pourtant, on croit à  nos souvenirs. Il est dans leur nature de nous paraître le reflet exact de ce qu’il s’est passé ou de comment l’on s’est senti.

Mes souvenirs sont en train de tricher. Je le sais, parce que j’ai pris des notes sur le moment. Mon intellect a tout enregistré et sait très bien comment je me sentais à  ce moment-là , mais je me mets à  croire ma mémoire qui me dit que c’était autrement.

Alors les regrets commencent à  prendre le pas sur ma certitude d’avoir agi au plus près de mes émotions, d’avoir été fidèle à  qui je suis, et de ne pas avoir abdiqué une part de moi-même pour un possible qui semblait s’offrir.

Ou pas.

Petit pas [en]

Entre le désir et la peur, toujours.

La peur a fini par avoir le dessus, et j’ai fermé les portes qui s’étaient entrouvertes, peut-être.

Mais avant cela, j’ai pu goûter la chaleur offerte, entre le plaisir et la peur.

Un petit pas.