C’est à la lumière de l’après que l’on lit le passé. On lui donne sens.
D’où l’hésitation à interpréter le maintenant.
D’où la clôture qu’apporte la mort, comme nous le dit Sartre.
Appliquons cela aux relations d’amour ou d’amitié.
Une fois que l’histoire est terminée, on parvient à extraire toute une série de signes avant-coureurs.
Mais prenons l’histoire présente. Ne pourrait-on pas y trouver ces mêmes signes, si on les cherchait? Et ne pourrait-on pas en trouver d’autres, en fonction des fins possibles que l’on peut inventer?