[en] An introduction to Facebook groups and why I think they are great collaborative spaces.
Ce n’est pas un secret, j’adore les groupes Facebook. J’en ai démarré plusieurs et rejoint encore d’autres.
Je n’ai pas toujours été fan. J’ai connu les vieux groupes Facebook pas pratiques du tout, et j’ai vu arriver les groupes “nouvelle version” avec le scepticisme d’une vieille routière des nouvelles fonctionnalités “qui vont changer la vie” dans les médias sociaux.
Eh bien j’avais tort. Le groupe Facebook est une formule extrêmement efficace pour échanger et collaborer en ligne, que ce soit sur des choses sérieuses ou moins sérieuses.
D’abord parce que “tout le monde est déjà sur Facebook de toute façon”, donc pas besoin de persuader les gens d’ajouter un nouveau compte à leur collection, un nouvel endroit où trainer, une nouvelle interface à maîtriser.
Facebook, on connaît, les notifications pour le groupe arrivent au milieu de toutes les autres, on pense donc à y aller, on voit quand on nous répond, on voit quand on nous interpelle. C’est efficace.
Les sujets actifs remontent en haut de la page, donc quand on revient sur le groupe, on voit tout de suite où est l’action. Partager une photo ou une vidéo est simple comme bonjour (enfin si on connaît déjà Facebook), et ça marche depuis l’ordinateur, la tablette ou le mobile.
Les groupes peuvent être ouverts (tout le monde peut en voir le contenu, comme mon groupe “petite plantes”), fermé, c’est-à-dire que tout le monde peut voir le groupe, ses membres, sa description mais non pas son contenu (comme le groupe pour indépendants Going Solo), ou secret — à moins d’y être invité, impossible de savoir que le groupe existe. Si on va sur la page du groupe sans être membre, Facebook nous dit “passez votre chemin, y’a rien à voir ici”.
En ce qui me concerne, l’essentiel de mon activité sur Facebook se passe dans des groupes.
Prochain article sur le sujet? Comment démarrer un groupe Facebook.
Les groupes Facebook sont aussi chouettes que tu le dis pour autant que le sujet ne soit pas trop émotionnel : les plantes ça va, le business aussi, le boulot ça peut aller, les enfants et animaux domestiques ça commence à être risqué 😉
Les enfants et les animaux domestiques ça peut aller aussi, mais il faut modérer! Sujet de mon troisième article dans la série, tu vas aimer, je sens. En gros, plus c’est émotionnel, plus il faut à mon avis faire de la modération active. (Mais dans les groupes business aussi, sinon ça vire vite à chacun essaie de vendre sa salade.)