On a d’autres moyens pour faire face à la souffrance quand on est adulte que lorsque l’on était enfant.
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Je pense surtout aux réactions que l’on peut avoir face à la souffrance, plutôt qu’à la nature
de cette souffrance.
L’enfant n’a parfois d’autre choix que de prendre des décisions “handicapantes” pour sa vie
future (voire frisant l’auto-destruction) pour survivre, alors qu’en tant qu’adulte il y a
justement toute une palette de réactions plus nuancées à laquelle on peut faire appel…
Bonjour,
Boris Cyrulnik parle du phénomène de résilience décrivant, je cite : la capacité de réussir,
à vivre, à se développer en dépit de l’adversité (fin de citation). Plusieurs de ses livres
traitent de ce sujet dont “les vilains petits canards” et “un merveilleux malheur” dans
lesquels il parle (entre autre) de la faculté qu’ont certains enfants de se sortir de
situations critiques et de souffrances pour aborder par la suite une vie d’adulte beaucoup
plus équilibrée, voire même épanouissante. Bonne continuation.
Tous mes voeux pour 2003 Stephanie.
et ça tombe bien, la souffrance de l’enfant est plus binaire à mha (je vais bien/je souffre).
L’adulte a – quelle chance – toute une palette de souffrance à sa disposition.