Bien bloguer: l'art de faire des liens [fr]

[en] Some guidelines and advice for making links. Blogging is more than just shoving text in WordPress!

Pour bloguer, il ne suffit pas d’écrire des articles à la suite les uns des autres. Il faut apprendre à écrire en 2D — écrire en hypertexte. Bien maîtriser l’art du lien est indispensable pour celui ou celle qui veut bloguer un tant soit peu sérieusement.

Editeur visuel

Je donne ici les indications pour WordPress, que je vous conseille vivement d’adopter comme outil de blog.

  1. Si nécessaire, aller chercher l’URL (=adresse web) de la page web de destination et la copier.
  2. Dans le texte de son article, sélectionner les mots sur lesquels on veut mettre ce lien — ceux qu’on veut rendre cliquables.
  3. Cliquer sur le bouton représentant un maillon de chaîne dans la barre d’outils.
  4. Coller dans le pop-up qui apparaît l’adresse du lien précédemment copié, et appuyer sur entrée.

WordPress: faire un lien

Editeur HTML

Si on écrit en HTML directement, on sait en principe ce qu’on fait. Il peut arriver néanmoins qu’on doive aller farfouiller dans le code pour réparer des accidents. Dans ce cas, c’est utile de comprendre un peu ce qu’on voit. Un lien comme “Climb to the Stars“, ça ressemble à:

<a href="http://climbtothestars.org" title="Le blog de Stephanie.">Climb to the Stars</a>

Les parties en gras sont les bouts à ne pas toucher. Ce qui n’est pas en gras peut être modifié à volonté (destination du lien, texte pour quand on survole le lien, texte cliquable).

Etre efficace

Quand on écrit article après article, et qu’on veut les enrichir de liens joyeusement, et qu’on ne veut pas que ça prenne des plombes, il faut absolument abandonner sa souris et utiliser le clavier. De façon générale, moins on utilise la souris, plus on est rapide.

Voici donc comment ajouter un lien sous WordPress avec le clavier (sous OSX). Pour apprendre, n’hésitez pas à exercer cette séquence 10-20 fois pour bien l’intégrer.

  1. Seule manipulation à la souris autorisée (mais on peut aussi faire ça au clavier!): sélectionner les mots sur lesquels on veut mettre le lien 😉
  2. ⌘T — ouvre un nouveau tab de navigateur
  3. Ouvrir la page vers laquelle on veut que notre lien pointe: taper l’URL, les mots-clés pour chercher dans Google… Ne pas oublier d’utiliser les flèches pour naviguer dans les suggestions de complétion et la touche entrée pour valider. Pas besoin de souris!
  4. ⌘L — sélectionne l’URL dans la barre de navigation
  5. ⌘C — copie l’URL
  6. ⌘W — ferme le tab qu’on avait ouvert pour charger l’URL de destination, et nous ramène donc sur notre page WordPress avec les mots sélectionnés
  7. ⌥⇧A — ouvre la petite boîte de dialogue pour insertion du lien
  8. ⌘V — colle l’URL de destination. Pas besoin d’appuyer sur quoi que ce soit pour effacer le “http://” déjà dans le champ, il est sélectionné et sera écrasé quand on colle
  9. ⏎ [entrée] — pour valider tout ça.

Ça peut sembler long et compliqué écrit comme ça avec tous les détails, mais quand on a mémorisé la séquence et qu’elle est bien entraînée, ça prend quelques secondes (et on remarque par exemple que les étapes 5-6-7 sont quasi instantanées: on garde la touche ⌘ enfoncée et on appuie sur L, C, W à la suite). Exercez-vous, cela en vaut la peine: vous vous en féliciterez bientôt!

Faire les choses proprement

On rentre un peu dans les détails. Ils sont importants même si tout le monde n’est pas capable de les identifier, parce que comme les finitions d’un meuble ou la typographie d’un document imprimée, ils influent sur la perception globale qu’on aura de votre blog ou de vos articles.

  • Choix du lien de destination: vérifiez que celui-ci est pertinent par rapport à votre texte.
  • Quand on fait un lien vers un article, attention de bien prendre l’adresse de l’article (en cliquant sur le titre) et non simplement l’adresse du blog ou de la page d’accueil du site.
  • Après avoir publié votre article (ou avant, si vous prévisualisez), cliquez sur vos liens pour vérifier s’ils mènent là où vous le désirez. Surtout si vous débutez 😉
  • Nettoyez l’URL du lien de destination (suivant comment vous y êtes arrivés, il peut contenir des indications de source, comme ?utm_source=fb&utm_medium=fb... etc.). Enlevez des morceaux, appuyez sur entrée, regardez si vous arrivez toujours sur la bonne page.
  • Choix des mots sur lesquels on met le lien: d’une part, le lien met en évidence les mots sur lesquels il est (c’est l’occasion de les faire ressortir pour le lecteur); d’autre part, ces mots vont compter pour l’indexation du site de destination (et possiblement du vôtre) par les moteurs de recherche. Des fois, il vaut la peine de remanier sa phrase pour avoir une jolie suite de mots sur laquelle mettre son lien.
  • Espaces et signes de ponctuation: ne jamais les inclure dans le lien sauf si le lien porte sur toute la phrase. Attention au mode “sélection automatique des mots” qui sélectionne toujours l’espace après le dernier mot. Ça fait chenit, les espaces qui traînent à la fin des liens!
  • Si on met un lien sur une expression ou un nom, éviter de remettre le lien à chaque fois qu’on cite ce nom ou cette expression.
  • Ne cochez jamais la case “ouvrir le lien dans une nouvelle fenêtre” — target="_blank" c’est très bien pour les applications web comme Twitter et Facebook, mais vraiment pas top pour un blog ou un site web.
  • Eviter d’utiliser les URLs raccourcies (bitly et autres). Une URL raccourcie a toujours une espérance de vie plus courte que l’URL originale. Réserver les URLs raccourcies à Twitter, là où le nombre de caractères compte.
  • Trouver le bon équilibre entre pas assez de liens et trop de liens…

Bloguez bien! Avec des liens!

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Retweeting [en]

[fr] Le "retweeting", ou l'équivalent chez Twitter du forwarding d'e-mails.

So, lately, when people have asked me for a hand with something, all I’ve had to offer (due to a very tight time budget) has been along the lines of “I’ll be happy to retweet it”.

I got a few (virtual) blank stares.

Retweeting is the Twitter equivalent of e-mail forwarding.

It’s used to help spread requests for assistance further, or let more people know about fun and interesting stuff.

How does it work?

You write a tweet. Keep it under 120/125 chars (to leave a little space for the retweeting).

Twitter / charbax: Looking for $1000 sponsor ...

Some Twitter clients, like twhirl, for example, offer a “retweet” feature: just hit the retweet button and the tweet in question is “forwarded” with a prefix (I choose “RT” as it’s shorter than “retweeting” and each character counts).

twhirl - re-tweeting

If your client doesn’t support this, you can always just copy-paste the tweet by hand. The format is:

retweeting @somebody: original twitter message here!

or

RT @somebody: original twitter message here!

If I retweet something, my followers get to see it too.

Twitter / Stephanie Booth: RT @charbax: Looking for $ ...

The big difference between forwarding an e-mail and retweeting a tweet is that when you forward an e-mail, you are the one who decides who it goes to. With twitter, your tweet is sent to those who have elected to follow you.

Hopefully my retweeting will help Charbax find his sponsor for LeWeb’08!

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Démarrer avec Google Reader [en]

[fr] Getting started with Google Reader, for my French readers.

Comme ces temps je n’arrête pas d’initier des gens de mon entourage à Google Reader, je me suis dit, allez, hop, quelques instructions par écrit.

Google Reader, c’est [un lecteur RSS](http://climbtothestars.org/archives/2003/10/26/rss-feeddemon/) (ah oui, c’était en 2003 que j’expliquais ça, un peu trop en avance, pour changer) auquel vous avez accès si vous avez un compte GMail (qui n’en a pas?). En bref, ça permet de centraliser en un seul endroit toutes vos lectures de blogs et de nouvelles.

Dans votre GMail, cliquez sur “Reader” en haut à droite. Ça ressemble à ça:

Google Reader: accueil

Première chose à faire: ajouter un abonnement.

Google Reader: ajouter un abonnement

Définissez (si vous le désirez) un dossier pour votre abonnement. Vous pouvez ainsi séparer vos lectures par centre d’intérêt. C’est utile, car ensuite vous pouvez regarder toutes les “nouveautés” dans une seule catégorie sans vous soucier des autres. Exemples: blogs, mes amis, trucs préférés, nouvelles, horticulture, technique… bref.

Google Reader: s'abonner à un blog

Ajoutez autant d’abonnements que vous voulez:

Google Reader: détail d'ajout d'abonnement

Voilà, c’est aussi facile que ça!

Google Reader: tour du proprio

Au prochain épisode, je vous montrerai comment profiter des fonctionnalités “sociales” de Google Reader, et je vous présenterai Feedly, une extension Firefox qui “habille” Google Reader de tout un tas de trucs sympas (sans compter que c’est beaucoup plus agréable à l’oeil).

Google Reader: changer la langue

A bientôt!

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Browser Language Detection and Redirection [en]

[fr] Une explication de la méthode que j'ai suivie pour que http://stephanie-booth.com redirige le visiteur soit vers la version anglaise du site, soit la française, en fonction des préférences linguistiques définies dans son navigateur.

**Update, 29.12.2007: scroll to the bottom of this post for a more straightforward solution, using Multiviews.**

I’ve been working on [stephanie-booth.com](http://stephanie-booth.com) today. One of my objectives is the add an [English version](http://stephanie-booth.com/en/) to the previously [French-only site](http://stephanie-booth.com/fr/).

I’m doing this by using two separate installations of WordPress. The content in both languages should be roughly equivalent, and I’ll write a WordPress plugin which allows to “automate” the process of linking back and forth from equivalent content in different languages.

What I did today is solve a problem I’ve been wanting to attack for some time now: use people’s browser settings to direct them to the “correct” language for the site. Here is what I learnt in the process, and how I did it. It’s certainly not the most elegant way to do things, so let me know if you have a better solution by using the comments below.

First, what I needed to know was that the browser language preferences are sent in the HTTP_ACCEPT_LANGUAGE header (HTTP header). First, I thought of [capturing the information through PHP](http://www.webdeveloper.com/forum/showpost.php?s=d989341270ceae8820a3bc1c6273dc9e&p=217863&postcount=2), but I discovered that Apache (logical, if you think of it) could handle it directly.

[This tutorial was useful in getting me started](http://www.ibm.com/developerworks/library/wa-apac.html), though I think it references an older version of Apache. Out of the horses mouth, [Apache content negotiation](http://httpd.apache.org/docs/2.0/content-negotiation.html) had the final information I needed.

I’ll first explain the brief attempt I did with Multiviews (because it can come in handy) before going through the setup I currently have.

### Multiviews

In this example, you request a file, e.g. test.html which doesn’t physically exist, and Apache uses either test.html.en or test.html.fr depending on your language preferences. You’ll still see test.html in your browser bar, though.

To do this, add the line:

Options +Multiviews

to your .htaccess file. Create the files test.html.en and test.html.fr with sample text (“English” and “French” will do if you’re just trying it out).

Then, request the file test.html in your browser. You should see the test content of the file corresponding to your language settings appear. Change your browser language prefs and reload to see what happens.

This is pretty neat, but it forces you to open a file — and I wanted / to redirect either to /en/ or to /fr/.

It’s explained pretty well in [this tutorial I already linked to](http://www.ibm.com/developerworks/library/wa-apac.html), and [this page has some useful information](http://unix.org.ua/orelly/linux/apache/ch06_03.htm) too.

### Type maps

I used a type map and some PHP redirection magic to achieve my aim. A type map is not limited to languages, but this is what we’re going to use it for here. It’s a text file which you can name menu.var for example. In that case, you need to add the following line to your .htaccess so that the file is dealth with as a type map:

AddHandler type-map .var

Here is the content of my type-map, which I named menu.var:

URI: en.php
Content-Type: text/html
Content-Language: en, en-us, en-gb

URI: fr.php
Content-Type: text/html
Content-Language: fr, fr-ch, fr-qc

Based on my tests, I concluded that the value for URI in the type map cannot be a directory, so I used a little workaround. This means that if you load menu.var in the browser, Apache will serve either en.php or fr.php depending on the content-language the browser accepts, and these two PHP files redirect to the correct URL of the localized sites. Here is what en.php looks like:

And fr.php, logically:

Just in case somebody came by with a browser providing neither English nor French in the HTTP_ACCEPT_LANGUAGE header, I added this line to my .htaccess to catch [any 406 errors (“not acceptable”)](http://www.checkupdown.com/status/E406.html):

ErrorDocument 406 /en.php

So, if something goes wrong, we’re redirected to the English version of the site.

The last thing that needs to be done is to have menu.var (the type map) load automatically when we go to stephanie-booth.com. I first tried by adding a DirectoryIndex directive to .htaccess, but that messed up the use of index.php as the normal index file. Here’s the line for safe-keeping, if you ever need it in other circumstances, or if you want to try:

DirectoryIndex menu.var

Anyway, I used another PHP workaround. I created an index.php file with the following content:

And there we are!

### Accepted language priority and regional flavours

In my browser settings, I’ve used en-GB and fr-CH to indicate that I prefer British English and Swiss French. Unfortunately, the header matching is strict. So if the order of your languages is “en-GB, fr-CH, fr, en” you will be shown the French page (en-GB and fr-CH are ignored, and fr comes before en). It’s all explained in the Apache documentation:

> The server will also attempt to match language-subsets when no other match can be found. For example, if a client requests documents with the language en-GB for British English, the server is not normally allowed by the HTTP/1.1 standard to match that against a document that is marked as simply en. (Note that it is almost surely a configuration error to include en-GB and not en in the Accept-Language header, since it is very unlikely that a reader understands British English, but doesn’t understand English in general. Unfortunately, many current clients have default configurations that resemble this.) However, if no other language match is possible and the server is about to return a “No Acceptable Variants” error or fallback to the LanguagePriority, the server will ignore the subset specification and match en-GB against en documents. Implicitly, Apache will add the parent language to the client’s acceptable language list with a very low quality value. But note that if the client requests “en-GB; q=0.9, fr; q=0.8”, and the server has documents designated “en” and “fr”, then the “fr” document will be returned. This is necessary to maintain compliance with the HTTP/1.1 specification and to work effectively with properly configured clients.

Apache, Content Negotiation

This means that I added regional language codes to the type map (“fr, fr-ch, fr-qc”) and also that I changed the order of my language preferences in Firefox, making sure that all variations of one language were grouped together, in the order in which I prefer them:

Language Prefs in Firefox

### Catching old (now invalid) URLs

There are lots of incoming links to pages of the French site, where it used to live — at the web root. For example, the contact page address used to be http://stephanie-booth.com/contact, but it is now http://stephanie-booth.com/fr/contact. I could write a whole list of permanent redirects in my .htaccess file, but this is simpler. I just copied and modified the rewrite rules that WordPress provides, to make sure that the correct blog installation does something useful with those old URLs (**bold** is my modification):

# BEGIN WordPress

RewriteEngine On
RewriteBase /
RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} !-f
RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} !-d
RewriteRule . **/fr**/index.php [L]

# END WordPress

In this way, as you can check, [http://stephanie-booth.com/contact](http://stephanie-booth.com/contact) is not broken.

### Next steps

My next mission is to write a small plugin which I will install on both WordPress sites (I’ve got to write it for a client too, so double benefit). This plugin will do the following:

– add a field to the write/edit post field in which to type the post slug of the correponding page/post in the other language *(e.g. “particuliers” in French will be “individuals” in English)
– add a link to each post pointing to the equivalent page in the other language

It’s pretty basic, but it beats manual links, and remains very simple. (I like simple.)

As I said, if you have a better (simpler!) way of doing all this, please send it my way.

### A simpler solution **[Added 29.12.2007]**

For each language, create a file named index.php.lg where “lg” is the language code. For French, you would create index.php.fr with the following content:

Repeat for each language available.

**Do not** put an index.php file in your root directory, just the index.php.lg files.

Add the two following lines to your .htaccess:

Options +Multiviews
ErrorDocument 406 /fr/

…assuming French is the default language you want your site to show up in if your visitor’s browser doesn’t accept any of the languages you provide your site in.

You’re done!

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Bloguer avec WordPress, c'est facile! [fr]

[en] A few screenshots to demonstrate how technically easy it is to write a blog post with WordPress.

Bon, au risque [de me répéter](http://climbtothestars.org/categories/comment-bloguer/ “Je me répète pas vraiment, mais c’est le message sous-jacent.”), bloguer n’est pas techniquement difficile. Si vous savez envoyer un e-mail, vous avez les compétences techniques pour écrire dans un blog. Comme les images sont plus parlantes que de grosses tartines comme j’ai l’habitude d’en pondre, voici j’espère de quoi vous convaincre, en images. J’affectionne particulièrement la plateforme [WordPress](http://wordpress.org), qui se décline en plusieurs parfums selon votre humeur, vos compétences, et vos besoins.

– [WordPress tout court, en anglais, à installer sur votre serveur](http://wordpress.org/)
– [WordPress en français à installer sur votre serveur](http://xavier.borderie.net/wp-fr/ “Avec instructions et tout.”)
– [WordPress multi-utilisateurs](http://mu.wordpress.org/ “Règles avancées.”)
– [WordPress.com](http://wordpress.com/): c’est hébergé, donc rien à installer, c’est gratuit, c’est facile, mais c’est encore en anglais. Notez que ça n’a pas retenu [Anne Do](http://annedominique.wordpress.com), [Cath](http://cath.wordpress.com), [Isa](http://isablog.wordpress.com), le [CRAB](http://crablog.wordpress.com), [l’Abrincate](https://bboeton.wordpress.com/), [Marla](http://chroniques.wordpress.com/), [le Climenole](http://climenole.wordpress.com/), [Chroniques Martiennes](http://chroniquesmartiennes.wordpress.com/), [Ecosphère](http://ecosphere.wordpress.com/), [Fautes de française](http://fautesdefrancais.wordpress.com/) et la [quantité d’autres blogueurs francophones](http://www.google.com/search?as_q=%C3%A0&lr=lang_fr&as_sitesearch=wordpress.com “Quelques pistes, merci Google.”) qui utilisent cette plate-forme.

Donc, fini le blabla. Une fois votre blog “installé” (facile avec [WP.com](http://wordpress.com “Allez! On s’inscrit!”), un peu plus complexe pour les autres solutions), vous cliquez sur le lien “connexion” qui se trouve sur celui-ci et vous verrez l’écran suivant, où vous vous identifiez grâce à votre nom d’utilisateur et votre mot de passe (qui vous auront été fournis lors de la mise en place du blog):

wp-login-fr-rempli

Une fois qu’on a cliqué sur “connexion”, WordPress sait qui on est — comme lorsque l’on rentre dans son compte e-mail. On a donc accès à la partie cachée du blog (derrière la scène, les coulisses), accessible depuis n’importe où pour autant qu’on ait une connexion internet et qu’on se souvienne de son mot de passe. Comme l’e-mail, en fait.

Une fois la connexion faite, on clique sur l’onglet “Ecrire” pour pouvoir écrire un billet.

wp-post-fr-rempli

En cliquant sur la photo, vous en voyez une version plus grande, avec des commentaires (il faut passer la souris sur la grande photo pour les voir). En gros, ça ressemble beaucoup à un formulaire de rédaction d’e-mail, non? La seule grosse différence c’est que le bouton à activer s’appelle “Publier” et non pas “Envoyer”. Allez, on écrit une bafouille et on publie.

Mince! et si on a oublié de mettre quelque chose dans le billet qu’on vient de publier? Si on a laissé passer une faute d’orthographe? Pas de panique. On clique sur “Gérer”, ce qui nous donne accès à la liste des derniers articles publiés.

wp-gerer-blog-fr

Il suffit de cliquer sur “Modifier” et on retrouve l’écran d’édition affiché plus haut. C’est le même pour faire un nouveau billet ou pour modifier un billet existant, sauf que dans ce deuxième cas, le formulaire sera pré-rempli avec le contenu du billet.

Voilà l’essentiel à maîtriser pour pouvoir alimenter un blog. Pas sorcier, non? Donc, si vos craintes concernant les possibles difficultés techniques se sont envolées, faites un rapide détour par [Blog pour les nuls](http://climbtothestars.org/archives/2006/02/25/blog-pour-les-nuls/), lancez-vous, et donnez-moi votre adresse pour que je puisse aller jeter un oeil!

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Intégrer coComment sur votre blog [en]

Vous savez probablement que je ne jure que par [coComment](http://cocomment.com “Visitez le site coComment, et créez un compte si ce n’est pas déjà fait!”), dans la genèse duquel j’ai eu la chance de jouer [un petit rôle](http://climbtothestars.org/archives/2006/02/04/cocomment-enfin-public/ “Lisez un petit bout de l’histoire de coComment.”).

**Ça sert à quoi?**

Ça sert principalement à choses pour l’instant:

1. collectionner ses commentaires faits sur différents blogs en un seul endroit, comme on peut le faire en les [bookmarquant avec del.icio.us](http://del.icio.us/steph/my_comments “Voir mes commentaires sauvagardés.”), mais de façon bien plus pratique;

2. voir facilement si quelqu’un d’autre a répondu à un de nos commentaires — mais attention, ceci ne marche pas très bien pour l’instant, car coComment est [seulement capable de suivre les commentaires de gens ayant un compte coComment](http://www.cocomment.com/teamblog/?p=40 “Voir les explications. Recherche de solution en cours.”).

**S’inscrire**

[Ouvrir un compte, c’est super facile](http://www.cocomment.com/register “Allez-y maintenant.”), il suffit de donner nom et e-mail et de choisir un nom d’utilisateur et un mot de passe.

On notera qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un blog pour trouver une utilité à coComment. Il y a des personnes qui participent activement à la blogosphère à travers leurs commentaires, sans pour autant être blogueurs. CoComment est pour vous!

**Rendre coComment plus pratique**

Une fois le compte ouvert, coComment vous fournit un [bookmarklet](http://www.cocomment.com/tools/bookmarklet), une sorte de lien “favori” que vous pouvez faire glisser dans la barre d’outils de votre navigateur ou dans vos favoris. Ensuite, quand vous laissez un commentaire chez quelqu’un, vous cliquez sur le bookmarklet dans votre navigateur avant de publier le commentaire.

Ça, ça devient très vite barbant. On oublie de cliquer sur le bookmarklet. Du coup, notre commentaire n’apparaît pas sur notre [page de conversations coComment](http://www.cocomment.com/comments/steph “Voir ma page de conversations.”). Il paraît qu’on peut maintenant [cliquer sur le bookmarklet après avoir envoyé le formulaire](http://www.cocomment.com/teamblog/?p=43 “Ils le disent ici.”), mais personnellement je n’ai pas testé.

Les commentateurs peuvent faire quelque chose pour se simplifier la vie. Les auteurs de blogs peuvent faire quelque chose pour simplifier la vie de leurs commentateurs.

**Plus pratique pour moi qui laisse des commentaires**

Pour ça, il faut utiliser [Firefox](http://www.mozilla-europe.org/fr/ “C’est le moment de le télécharger et de l’installer si ce n’est pas encore fait.”). Deux solutions s’offrent à vous.

1. [Le script GreaseMonkey](http://userscripts.org/scripts/show/3165 “Page du script.”). Ce script vous évite de devoir cliquer sur le bookmarklet à chaque fois. Vous pouvez donc oublier coComment quand vous laissez vos commentaires, c’est tout automatisé. Sympa, non?

Script, GreaseMonkey, chinois? Pas peur, instructions pour les nuls. D’abord, installer l’extension GreaseMonkey (non, ça fait pas mal). Pour ça, on commence par s’assurer que l’on a Firefox 1.5 (voir lien ci-dessus), puis on va sur [le site de l’extension GreaseMonkey](http://greasemonkey.mozdev.org/ “C’est par ici.”). Une fois là -bas, on cliquera sur le lien qui s’appelle “Install GreaseMonkey” dans la deuxième moitié de la page. On dit oui à tout ce que nous demande Firefox (oui on veut installer l’extension, oui, oui, OK on ferme le navigateur et on le rouvre…)

Ensuite, [on clique sur ce lien-ci qui va installer le script](http://userscripts.org/scripts/source/3165.user.js “Lien direct d’installation, faut dire oui à tout.”) et on dit également oui à tout.

Voilà ! C’est fait 🙂

2. [L’extension Firefox pour coComment](http://the-enginerd.blogspot.com/2006/02/firefox-extension-for-cocomment.html “C’est par ici.”). Même chose que plus haut, on clique sur le lien, on clique ensuite sur “Download coComment! for Firefox”, et on dit oui, amen à tout ce que nous demande notre navigateur chéri. L’extension me paraît moins utile que le script GreaseMonkey, car elle ne fait qu’ajouter le bookmarklet coComment au menu contextuel qui apparaît lors d’un clic droit (ou long clic pour les personnes qui ont un Mac). Mais il paraît que c’est utile parfois lorsque les commentaires sont dans une fenêtre pop-up. Personnellement, j’ai vu que ça ne marchait pas tout le temps, mais j’essaie quand même.

**Note:** j’ai désactivé l’extension Firefox vu que je ne l’utilise pas. A vous de voir si elle vous sert.

**Plus pratique pour moi qui ai un blog**

Si vous avez un blog, vous pouvez faire en sorte que vos commentateurs, s’ils ont un compte coComment, n’aient pas besoin de cliquer sur le bookmarklet, même s’ils n’ont pas installé l’extension GreaseMonkey décrite ci-dessus. Cool, non? Pour cela, il faut rajouter du code javascript pas trop loin du formulaire de commentaires.

[Le code est fourni à la fin de ce billet](http://www.cocomment.com/teamblog/?p=37 “Code à la fin, explications au début.”) par Merlin. Comme j’utilise une version assez standard de WordPress, je n’ai eu personnellement qu’à copier-coller ce qui était donné dans le billet. Bon, faut encore voir si ça fonctionne 😉 Attention, donc, si vous avez un autre outil de blog, il faut peut-être adapter le code. Cet autre billet [explique plus précisément quel rôle joue chaque ligne](http://www.cocomment.com/teamblog/?p=21 “Décorticage du javascript en question.”) et vous aidera certainement à modifier le code si nécessaire.

**Attention!** Pour le moment, j’arrive pas à faire marcher ça. Plus de nouvelles dès que c’est réglé. Ça marche maintenant, mais il faut faire attention aux [guillemets malins pas si malins quand ils sont dans du code](http://climbtothestars.org/archives/2006/02/19/integrer-cocomment-sur-votre-blog/#comment-55276 “Lire les explications.”)…

**Oui mais… DotClear, autres plateformes de blog, etc…?**

Pas de panique. Premièrement, il faut savoir que les gars de coComment bossent d’arrache-pied pour [augmenter le nombre de plate-formes avec lesquelles ils sont compatibles](http://www.cocomment.com/supported “La liste, à ce jour.”). Si votre blog n’est pas compatible avec coComment, mais que vous pouvez modifier votre formulaire de commentaires, tout n’est pas perdu.

[Le dernier billet que j’ai mentionné](http://www.cocomment.com/teamblog/?p=21 “Oui, c’est un poil technique, mais pas impossible.”) explique comment faire. Il faut donc rajouter un certain nombre de lignes javascript dans le formulaire, et voilà ! Je suis certaine que DotClear fournit toutes les informations nécessaires mais avec d’autres noms que ceux auxquels s’attend coComment. Il suffirait donc qu’un(e) DotClearien(ne) prenne le taureau par les cornes et adapte le javascript aux variables de DotClear (la version publiée utilise les variables WordPress). Si vous faites ce travail, rendez-le public sur votre blog, et je lancerai un lien dans se direction! Qui s’y colle?

**Mise à jour:** Nicolas propose en commentaire [le code à intégrer à DotClear](http://climbtothestars.org/archives/2006/02/19/integrer-cocomment-sur-votre-blog/#comment-55665). Quelqu’un peut confirmer que ça marche?

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