Voilà . A nouveau, je quitte l’Inde. Ces quatre semaines se retrouvent brutalement compressées en un instant qui m’échappe à présent. Ça a filé trop vite, comme on dit.
C’est comme si cette parenthèse restait une bulle séparée du reste de ma vie — peut-être parce que je ne peux véritablement la partager avec personne (mis à part Aleika) lorsque je suis en Suisse, et que la Suisse, je ne peux non plus réellement l’expliquer à qui que ce soit quand je suis en Inde.
Comment recoller les morceaux? Comment garder en moi à la fois ici et là -bas? Ça rendrait probablement les départs moins difficiles…