Workshop: how to make it work? (Anne Heleen Bijl) [fr]

*Mes notes du workshop…*

1. chacun apporte une métaphore qui symbolise ses désirs pour le futur — 2020 (il y a une /vraie/ baguette magique si jamais on coince) — faire des sketches, pubs etc. datés 2020 sur tout ce que notre entreprise aura accompli de merveilleux. Wishful thinking. Faire émerger tous les désirs cachés concernant la projet.

2. moment eurêka – vision – small steps – concrete realisation

Attention, is le coeur n’y est pas, il faut faire autre chose! Ne choisir que des activités qui nous enthousiasment.

PMI: si on a des doutes, faire un PMI! Tout le monde participe:

– 3 minutes pour les points positifs, les avantages
– 3 minutes pour les points négatifs, les désavantages
– 3 minutes pour les points intéressants sans jugement de valeur (“qu’est-ce qui peut être intéressant”)

Autre méthode: moines dominicains. Deux personnes. On donne à la première un objet (jetable). Tant qu’on tient l’objet on peut parler (max 1-2 minutes, sinon c’est trop long à résumer). Quand on a fini on fait un pas en avant et on jette l’objet. C’est à la deuxième personne de résumer ce qu’a dit la première, jusqu’à ce que la première soit d’accord avec le résumé. Puis la deuxième dit avec quoi elle est pas d’accord, et avec quoi elle est d’accord, puis elle donne son opinion, fait aussi un pas en avant, et jette l’objet à la première, qui fait son résumé, etc. (Il faut partir assez loin, on continue le processus jusqu’à ce qu’on soit trop près pour continuer.) Ça marche à deux mais c’est vrai que c’est mieux avec un médiateur. Possible aussi avec des groupes antagonistes, en politique par exemple.

Idée: aussi faire en sorte que les jeunes coachent les vieux. Célébrer les succès.

Nearlings and beyonders can also be celebrated. (“good” failures)

Faire des excursions pour aller voir comme ça se fait ailleurs.

Une stratégie sous forme de mind map coloré (art map) est bien plus lisible qu’un mémo gris de 200 pages.

Donc une étape c’est de faire un art map de son projet pour que tout le monde le comprenne bien. Aussi pour tâches d’une équipe.

5 langues d’appréciation.

Exercice: le mur. 4 volontaires forment le mur. Le but c’est de séparer le mur au milieu pour accéder à quelque chose qui est derrière. Le mur ne doit pas coopérer. Pas beaucoup de place, on va éviter les solutions “physiques”. Très important: s’approcher du mur. Le mur est très sensible aux fausses promesses. Ce qui aide: demander au mur de quoi il a besoin pour pouvoir traverser, ou bien créer un avantage mutuel derrière le mur.

Pensée latérale: changer l’angle sous lequel on approche un problème. 5 façons:

– conversion: définir ce qu’on trouve normal et inverser (par exemple: on trouve normal que le chauffeur de taxi connaisse le chemin et pas le client, on renverse et les clients qui connaissent leur chemin forment les nouveaux chauffeurs).
– exagération: “tout Genève doit venir!” Exagérer le problème.
– wishful thinking: oser formuler ses désirs, complètement (baguette magique)
– choisir un mot arbitraire pour se stimuler (comme bananaslug)
– échapper à ce qu’on pense être normal, faire tomber l’idée dominante.

Les gens ne se sentent pas appréciés. Différentes langues (pas contente du gros bonus, aurait préféré un bouquet de fleurs). Il y a 5 langues différentes pour exprimer et recevoir la reconnaissance, et on a chacun notre langue favorite, une pour donner une pour recevoir. Si c’est dans une autre langue on ne le remarque même pas!

1. compliments (environ 20% des gens)
2. action pour l’autre
3. faire quelque chose ensemble, être là pour l’autre (majorité des gens)
4. contact physique (une personne sur 5)
5. cadeau matériel (pas de l’argent)

Pour l’histoire de la motivation et de l’argent, voir carotte et créativité ne font pas bon ménage.

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