C’est ainsi que nous parviennent la plupart des informations, que ce soit de bouche à oreille, ou bien via les médias. Réfléchissez-y une secode: qu’est-ce qu’on répète? Ce qui nous marque d’une façon ou une autre. C’est un fait accepté que l’on se donne la licence (pas toujours poétique!) d’exaggérer un tantinet les paroles que l’on rapporte, afin de garantir que notre interlocuteur les trouvera également marquantes, et verra l’intérêt que nous leur avions trouvées.
Il n’y a rien de mal à ce comportement innocent – mais il fait parfois bon de rappeler son existance.
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